Mourir.... dormir.... dormir! rêver peut-être? Ah! là est l'écueil; car dans ce sommeil de la mort, ce qui peut nous venir de rêves, quand nous nous sommes soustraits à tout ce tumulte humain, cela doit nous arrêter. Voilà la réflexion qui nous vaut cette calamité d'une si longue vie! Car qui supporterait les flagellations et les humiliations du présent, l'injustice de l'oppresseur, l'affront de l'homme orgueilleux, les angoisses de l'amour méprisé, les délais de la justice, l'insolence du pouvoir, et les violences

