Cara Vitto's Blog, page 21

Pas d’été sans Le sorcier blanc

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23 mars 2014, dans 3 mois je publie "Le Sorcier blanc". J’ai une fois de plus relu le manuscrit et oh ! Désespoir ! j’ai constaté que plusieurs phrases étaient encore à revoir…. Mais combien de fois faudra-t-il que je relise le texte avant que je ne le juge acceptable ? Pourtant, ce n’est pas faute de l’avoir lu, relu, examiné, passé à la moulinette avec mon super logiciel détecteur de fautes…. Bref, cela fait maintenant plus d’un an que le roman est en relecture et je n’en vois pas la fin !

Retour en arrière : mars 2013, la première version du Sorcier blanc est terminée et je l’envoie à mon groupe de lecteurs français préféré (merci à vous !). Je récolte les premiers commentaires (toujours très pertinents) et au cours de l’été 2013, je réécris le manuscrit. Je me suis alors naïvement dit : « Voilà, j’ai la version définitive, chouette, je vais le mettre sur Amazon. ». Mais ça, c’était juste avant de donner le manuscrit à mon deuxième groupe de lecteurs préférés, celui qui vit comme moi en expatriation. Et là…le verdict est tombé, impitoyable : c’est impubliable tant que je vis au Congo et la fin est trop rapide…

Je ne fais pourtant aucune révélation particulière sur le pays, l’histoire se situe d’ailleurs dans un pays africain imaginaire : le Boutou, je ne crée aucune polémique, que ce soit d’un point de vue politique (j’ai horreur de la politique) ou sur le monde expatrié. Malgré tout, certains détails ont été jugés « gênants » et trop « sensibles » par rapport à la situation du pays.

Quel est ce mot déjà ? Dé….démo…démocra… ah non, c’est vrai, mon dico ne l’accepte pas.

La publication attendra donc juillet 2014, date à laquelle je rentre vivre en France.

En attendant, j’en profite pour réécrire la fin, et apporter encore quelques améliorations…le problème est qu’à chaque relecture, je modifie certains passages, je retire des phrases, en ajoute d’autres...on en revient toujours à la même problématique : mais jusqu’à quand doit-on modifier un manuscrit ?! En tout cas, c’est promis, à la fin juin, le sorcier blanc sera prêt et publié !

27 commentaires de L’élément 119 sur Amazon

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Vous êtes à présent 27 à avoir commenté le roman L’élément 119 sur le site d’Amazon. Un grand merci à vous.

Vos réactions sont toujours aussi positives mais une personne a été déçue par la fin « à moins que l’auteur prévoit une suite ».

J’envisage en effet d’écrire la suite de L’élément 119 et j’ai intentionnellement laissé une ouverture afin de poursuivre l’aventure…mais il va falloir être patient, ce n’est pas mon projet immédiat…. J’ai commencé un nouveau roman avec de nouveaux personnages et d’autres lieux, loin des plateformes de la mer du Nord et de l’Afrique….quoique, il y aura peut être un petit passage en Afrique, je ne peux pas m’en empêcher…

Voir tous les commentaires Amazon ==> ICI

L’élément 119, une touche de fantastique, un soupçon de thriller et une histoire qui traverse les siècles

Vendre ou écrire il faut choisir

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C’est incroyable l‘énergie dépensée pour la promo d’un livre. Je ne parle pas des minutes... enfin, plutôt des heures passées sur les réseaux sociaux pour faire connaître le livre mais plutôt du temps que cela enlève pour écrire un autre roman. Une minute passée pour faire la promo ne correspond pas à une minute en moins pour écrire mais à au moins 5 ou 6 car l’état d’esprit n’est pas le même. Il est même totalement contradictoire ! Je commence à comprendre l’utilité des éditeurs et des agents…

Amis auteurs auto-édités, j’ai besoin de votre avis, comment faites-vous pour écrire et vendre en même temps? Parvenez-vous à glisser de la case du cerveau qui sert à écrire à celle qui fait la promo sans trop de difficulté? Astreignez-vous à un emploi du temps bien structuré ? Abandonnez-vous la promo pour vous consacrer à l’écriture ? Ou bien, arrêtez-vous d’écrire pour vous adonner à la promo exclusivement ?

Il va bien falloir que je fasse un choix car l’envie d’écrire un troisième roman me démange. Le sorcier blanc est terminé depuis longtemps, il est en relecture et j’attends notre départ du Congo pour le publier. Le troisième roman tape au coin de ma porte. Le personnage principal commence à partager mes jours….je ne vais pas laisser Alena toute seule sans l’imprimer sur quelques pages tout de même !…oups, j’ai parlé d’Alena là?…bon, et bien je crois que je n’ai plus le choix, je vais commencer à écrire…et pour la promo de L’élément 119 …et bien, tant pis !

L’élément 119 s’expose

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La peinture qui illustre L’élément 119 est en exposition à la fondation Bassengo à l’occasion de la journée de la femme. Si vous êtes de passage à Pointe Noire, n’hésitez pas, allez-y !

La fondation Bassengo ==> ICI

Toutes les peintures de Cara Vitto ==> ICI

L’élément 119 chroniqué par Les tribulations d’une lectrice

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Depuis que L’élément 119 est sur le web et que je surfe sur la blogosphère, je rencontre des passionnés ouverts et curieux qui chroniquent leurs lectures sur leur blog.

Un grand merci au blog « Les tribulations d’une lectrice » pour sa chronique de L’élément 119 !

La chronique est ==> ICI

Extrait :

« J’ai passé un très bon moment avec ce roman et, une fois la première page tournée, j’ai eu beaucoup de difficulté à le reposer tellement j’ai été happée par l’histoire.

Les chapitres assez courts donnent une certaine aisance à la lecture de cet ouvrage ainsi qu’un rythme très prenant à l’histoire. »

…

« …En bref, si vous aimez les thrillers qui ont un côté fantastique, cet ouvrage est pour vous, n’hésitez pas.

Le roman L’élément 119 est disponible à la médiathèque du CPGOS

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Tous les adhérents peuvent l’emprunter librement

CPGOS - Quartier situé derrière l’avenue Stéphane Tchitchelle - Pointe Noire Congo

Je serais très heureuse de faire parvenir gratuitement un exemplaire papier de L’élément 119 à toutes les bibliothèques qui m’en feraient la demande. Alors, amis bibliothécaires, n’hésitez pas, envoyez-moi un mail pour recevoir votre exemplaire : cara.vitto@yahoo.fr (seule condition, avoir une adresse postale compatible avec les conditions de livraison Amazon, c'est-à-dire : France Métropolitaine, Monaco, Belgique, Luxembourg).

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Guy Bassinga, un des bibliothécaires du CPGOS a réceptionné le livre. Derrière lui, la fresque peinte par Guillaume Makani décore un des murs de la bibliothèque. Guillaume Makani est un peintre congolais qui réalise de magnifiques scènes de vie congolaises, avec notamment ses célèbres tableaux de la gare de Pointe Noire.

Pour en savoir plus sur Guillaume Makani :

http://www.mosaique-congolaise.com/7.html

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Et sinon, le roman L’élément 119 est toujours disponible sur Amazon, en format broché ==>ICI ou en ebook==> ICI

Bienvenue sur le site de Cara Vitto !

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Découvrez mon univers, le roman l’élément 119, le sorcier blanc, toutes mes peintures et les secrets d’une apprentie écrivaine !

Des romans, des peintures…mais combien de couches ?

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Il me faut environ 30 heures pour peindre une toile, et 1.200 pour écrire un roman…j’ai néanmoins remarqué qu’il existait un point commun entre les deux activités : la multitude de couches que l’auteur applique avant de parvenir à un résultat acceptable !

Au bout d’un moment, les premières couches ne sont plus visibles, mais elles se devinent et l’air de rien, elles forment un bon ciment ! Certains pourraient penser qu’elles sont inutiles, mais pas du tout ! Leurs existences assurent en fait le relief et la profondeur de la toile ou du roman.

Voici ma dernière peinture : « Plage de Pointe Noire ». Comme toutes les autres peintures, je ne compte plus le nombre de couches que j’ai appliquées…

Toutes les peintures sont dans l'onglet Peintures

Les peintures 2014

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Plage de Pointe noire – 2014 – 65X80

Cette peinture représente notre premier jour sur la plage de Pointe Noire. Arrivés depuis peu, nous découvrions la moiteur et la chaleur du Congo. L’air de l’océan nous rafraichissait, mais j’étais stupéfaite de l’intensité des vagues. J’ai voulu représenter, de manière un peu abstraite et exagérée, la sensation d’être vulnérable face à un élément naturel aussi impressionnant.

Les peintures 2013

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Côte Sauvage – 2013 - 65X80

Depuis ma fenêtre, à la tombé du jour, le rouge des couchers de soleil est sublime, et leurs reflets sur les arbres magnifique. Les ombres sont tellement marquées sur le mur blanc qu’il m’arrive de les confondre avec de vrais arbres.

Par rapport au véritable paysage qui m’a inspiré, j’ai ajouté des maisons et des arbres au loin pour recréer l’ambiance africaine.

J’ai particulièrement eu du mal avec les ombres…jusqu’à ce que m’aperçoive qu’une touche de violet permettait de faire illusion…

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Un arbre dans le désert – 2013 - 100X80

J’ai une fois de plus utilisé une des photos du livre « Hommage à l’Afrique » pour effectuer cette toile. J’ai trouvé cet arbre très beau, seul survivant digne et resplendissant au milieu du désert aride.

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Oiseau de nuit – 2013 – 54X64

Après l’oiseau de jour qui m’a donné tant de fil à retordre, j’ai eu besoin de me libérer avec une toile abstraite 100% couteau ! Je me suis régalée. De quoi illustrer la quatrième de couverture du Sorcier blanc.

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Oiseau de jour – 2013 – 54X64

J’ai imaginé cette toile pour illustrer mon deuxième roman : Le sorcier blanc. J’ai mis bien plus de trente heures pour réaliser cette peinture ! J’ai vraiment eu du mal. Il faut dire que mon professeur Guillaume n’était pas là pour me conseiller et que je reprenais le pinceau après deux mois d’interruption….j’avais oublié à quel point le pinceau n’était pas fait pour moi et j’ai accumulé plusieurs couches avant de me rappeler que le couteau existait, MON outil ! Pour trouver la variété de verts qui caractérise la nature, j’ai utilisé des bleus différents : cobalt, primaire, phtalo…

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Oiseau rigolo – 2013 – 40X60

C’est ma deuxième toile réalisée sans modèle, avec un oiseau inventé de toute pièce. J’ai imaginé cet oiseau que je voulais joyeux et rigolo pour mettre dans la chambre de mon fils. Finalement, j’avoue l’avoir égoïstement laissé dans le salon, car j’aime beaucoup le regarder…

Du coup, j’ai peins d’autres petites toiles avec des bonhommes rigolos pour mettre dans la chambre des enfants.

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Les paillotes – 2013 – 60X72

J’ai utilisé une des magnifiques photos du livre « Hommage à l’Afrique » pour effectuer cette toile. J’aime beaucoup le point de vue resserré sur les paillotes qui apparaissent en gros plan. Elles paraissent identiques, mais elles ont chacune des formes et des couleurs différentes. Au début, j’ai utilisé le pinceau. Le résultat a été catastrophique. Le pinceau n’est pas mon outil, je suis mauvaise en dessin alors que le couteau permet de réaliser des effets très intéressants, comme la paille par exemple. Mon professeur Guillaume Makani m’a expliqué comment et où mettre l’ombre des paillotes sous les toits et sur le sol. C’est ce détail qui donne toute la profondeur à la toile.

Je compte prochainement faire d’autres peintures de paillotes.

Pour en savoir plus sur Guillaume Makani : Makani, un peintre qui monte

http://www.basango.info/MAKANI_a1015.html

Mosaïque congolaise :

http://www.mosaique-congolaise.com/7.html

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Abstrait bleu – 2013 – 117X90

C’est ma première toile réalisée sans modèle. Je suis partie d’une idée : faire un coucher de soleil abstrait en s’inspirant du style Rothko. Je voulais jouer avec une ligne d’horizon, le reflet du haut vers le bas tout en encadrant le tout d’un beau bleu. La toile est immense et j’ai mis du temps à trouver les bonnes couleurs…autant dire que j’y ai laissé plusieurs tubes de peinture ! Mais finalement, c’est en se trompant, en recommençant et en multipliant les couches qu’un tableau prend une vraie dimension…

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Femmes devant un dispensaire – 2013 – 60X72

L’image initiale provient du livre « Hommage à l’Afrique », livre sublime qui révèle des photos superbes. J’ai modifié la composition de l’image en centrant l’image autour de la porte et de la fenêtre et en faisant asseoir deux femmes à l’entrée, comme si elles attendaient l’ouverture du dispensaire. J’aime beaucoup le contraste du bandeau jaune et rouge du haut en opposition avec le bleu/vert du mur. Grâce à mon professeur Guillaume Makani, j’ai appris la technique du drapé avec les vêtements des femmes et aussi, ceux du plus léger, du bandeau. J’ai réutilisé la technique du mur de la première toile pour peindre le banc en pierre. J’ai adoré faire le mur en sculptant au couteau des effets sombres et clairs. Décidément, le couteau est vraiment mon outil préféré ! Quand le tableau a été terminé, j’ai voulu rajouter un rayon lumineux sur le poteau de droite et sur le sol pour donner une sensation de vie et je suis très contente du résultat. J’ai étiré l’ombre pour imiter les lumières rasantes des fins d’après-midi.

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Les cailloux – 2013 – 80X65

Je suis partie d’une photo qui montre des cailloux en gros plan dans de l’eau. J’ai mis beaucoup de temps à trouver le bon bleu et la bonne technique. J’ai commencé au pinceau jusqu’à ce que je réalise que ça ne fonctionnait pas. Je suis très vite revenue à mon outil préféré : le couteau qui permet de réaliser des effets très beaux.