Philippe Saimbert's Blog, page 4
April 4, 2014
Monsieur Jo: le chat équilibriste. Vidéo de chat drôle
Je lance une campagne de promotion à l'aide de vidéos. Ces dernières présentent des chats dans des postures drôles, émouvantes ou originales.
Si vous avez des vidéos de chats, de chiens ou d'animaux répondant à ces critères, ce serait gentil de me les envoyer.
Si elles sont sélectionnées, je vous offrirai l'un de mes romans dédicacés et vous serez cités à la fin de la vidéo.
Bien entendu, vous devez être le créateur de la vidéo. Il n'est pas possible de reprendre une vidéo diffusée sur le net.
Toutous et matous sont mis à l'honneur dans mes romans "L'héritage de tata Lucie" et "Il faut marier Bertrand!".

Monsieur Jo, le chat équilibriste : vidéo de chat drôle et marrant
Si vous aimez les chats, retrouvez Joyeux, le terrible matou de tata Lucie dans le roman humoristique de Philippe Saimbert : " L'héritage de tata Lucie " ...
April 2, 2014
L'héritage de tata Lucie: roman d'humour dans les Pyrénées!
Une histoire d’héritage rocambolesque en plein cœur du Béarn.
« L’héritage de tata Lucie » a été salué par une publication au Club France Loisirs, le coup de cœur du salon du livre d’Orthez en 2010, le coup de cœur des libraires Fnac en 2012 (version poche), le coup de cœur de Kobobooks en mars 2014 et de nombreuses critiques disponibles sur le site de l'auteur.
L’HISTOIRE :
Tata Lucie est une emmerdeuse. De son vivant ce n’était pas une sainte mais, une fois morte, elle se surpasse pour pourrir la vie de sa famille. Le testament est clair : pour toucher l'héritage, ses neveux doivent s’installer avec toute leur famille dans la maison de la défunte. Et ce n’est pas un palais ! Tata Lucie leur a réservé une autre surprise, une sorte de chasse au trésor rocambolesque, les pieds dans la boue. Bienvenue à la campagne ! C'est certain, les chers neveux ne vont pas s'ennuyer et, au cœur du Béarn, ils sont entraînés dans une aventure qu'ils ne risquent pas d’oublier... Mais que ne ferait-on pas pour toucher le pactole ? Comique de situation, dialogues savoureux et coups de théâtre s’enchaînent jusqu'au final orchestré par la chère tata Lucie. Un dénouement forcément étonnant.
La version eBook est disponible sur Kobo-Fnac, Amazon, Apple iBookstore et Google Play. La version papier est uniquement disponible sur Amazon.
Ci-dessous la bande annonce du roman (oui, je sais, nous sommes plus dans le film d'auteur que dans le blockbuster!).

L'AUTEUR Philippe Saimbert est romancier et scénariste. Passionné de littérature, de BD, de rock et de cinéma, l'auteur a signé depuis 1999 plusieurs bandes dessinées et romans chez divers é...
http://www.amazon.fr/Lh%C3%A9ritage-tata-Lucie-Philippe-Saimbert/dp/B00JAC1YGI/
March 19, 2014
Les auteurs, bientôt tous à poil?
Bonjour à tous,
Le salon du livre de Paris ouvre ces portes ce Jeudi et offre une des rares opportunités aux auteurs de faire entendre leurs voix, aussi, afin de faire connaitre nos revendications (ici), nous invitons toutes les personnes qui soutiennent cette démarche (adhérents, auteurs non-adhérents, lecteurs…etc) à diffuser notre message sur les réseaux sociaux.
Comment ?
En postant le visuel de l’opération (en bannière d’introduction) avec ce lien vers le texte des revendications (ci-dessous) :
http://www.syndicatbd.org/pdf/CONFERENCE%20DE%20PRESSE%20DU%2018%20MARS%202014(4)14_12.pdf
C’est à nous tous d’agir pour faire bouger les lignes ! Relayez, partagez !
Merci,
Le snac BD.
SNAC 80 rue de Taitbout 75009 Paris
Tél. : 01.48.74.96.30
Courriel: snac.fr@wanadoo.fr

February 26, 2014
La fin prochaine de Windows XP: installer Windows 7 ou 8 ou bien... changer d'ère avec Linux?
Le 8 avril 2014 sonnera le glas de mon bon vieux Windows XP.
Un système d'exploitation qui m'a accompagné depuis 7 ans maintenant. Microsoft va donc supprimer le support et les mises à jours de XP.
Les failles informatiques ne seront plus comblées et des millions de PC dans le monde risquent de devenir la proie des hackers. Bien entendu, les geeks sauront trouver une solution mais quid de cette pauvre Madame Michu? Sans oublier Monsieur Michu!
J'avoue que cette décision arbitraire me met en rogne.
Imaginez une voiture achetée il y a 7 ans. Elle a certes bien roulé mais fonctionne aux petits oignons et rend toujours d'inestimables services.
Eh bien, du jour au lendemain, le constructeur vient vous annoncer qu'il sera désormais impossible de l'entretenir. Plus de pièce détachées, plus de contrôles techniques. Vous pourrez toujours rouler avec mais... à vos risques et péril!
Ou alors il faut changer le moteur... si les éléments qui entourent ce dernier ne sont pas trop vieux.
Sinon, il ne vous reste qu'à mettre la tuture à la casse.
En 7 ans d'utilisation, je n'ai jamais formaté Windows XP. Ce qui n'était pas le cas avec Windows 98 (gardant mes PC assez longtemps, je n'ai pas connu Millenium et Vista).
J'ai donc commencé à me renseigner pour faire évoluer la machine. Il se dégage quatre solutions:
1) Acheter et installer Windows 7. Par "chance", Windows 7 peut être installé sur mon PC. Mais avec un coût d'une centaine d'euro pour une version OEM. Version utilisable une seule fois et sur la même bécane. Je vais donc devoir repayer un OS alors que XP fonctionnait très bien, je le répète.
2) Acheter et installer Windows 8. Bis repetita par rapport à Seven. De plus, et en ce qui me concerne, il est hors de question de passer à Windows 8. Pour l'avoir essayé chez un pote... l'interface est une horreur d'ergonomie. Rien de plus moche et non-fonctionnel que ces "tuiles". Oui, je sais, je suis "old school", j'ai mes habitudes mais un système d'exploitation est censé me faciliter la vie et non me la compliquer. Je ne suis pas contre l'évolution de la technologie, loin de là, mais je n'ai ni l'envie ni le temps de perdre des heures à réapprendre le modus operandi d'un nouvel OS.
Concernant les deux solutions ci-dessus, je ne parle même pas des éventuels problèmes d'incompatibilités de drivers et de logiciels qui vont avec (sans compter le temps perdu pour les régler).
3) Changer de PC. Je pourrais me tourner vers Toshiba car cette marque s'est mise à revendre des PC sous Windows 7 tellement les clients étaient mécontents de Windows 8. Dans ce cas, la dépense est encore plus conséquente! Il est vrai qu'en France, les auteurs ne doivent pas se plaindre. C'est un milieu où il n'est pas de bon ton de parler d'argent. Seule la "Création" est importante. Ne soyons pas mesquins.
4) Faire migrer mon vieux PC vers Linux, le mythique système d'exploitation libre et gratuit développé par des milliers de bénévoles à travers de monde. Cette démarche altruiste m'a souvent interpellé même si je n'ai pas franchi le pas pour l'instant.
Linux dont le pingouin est l'emblème. Nombre de personnes se demandent pourquoi le pingouin est devenu l’emblème de cet OS. Moult supputations ont été lancées. La plus courante étant que le créateur de Linux, Linus Thorvald aurait été mordu par ce charmant animal lors de la visite d’un zoo. Cet épisode l’aurait inspiré lors du choix de la célèbre mascotte. D’autres disent que le pingouin aurait été le logo gagnant d’un concours organisé en 1996 pour le noyau Linux.
Qui plus est et si on fouille bien, ce ne serait pas un pingouin mais… un manchot. En anglais, « « penguin » se traduit par manchot. Et un fin observateur a noté que le bec de Tux (nom de la mascotte) était jaune : donc il ne pouvait pas s’agir d’un pingouin. Mais bel et bien d’un manchot.
Je ne vais pas rentrer dans ces querelles intestines, aussi intéressantes soit-elles. Permettez-moi d’apporter une autre explication, un autre éclairage au choix du pingouin/manchot dans cette affaire.
Et si l’explication était quelque part métaphysique, touchait à l’inconscient, "à la part de cristal" (l’expression n’est pas de moi, hélas!) que tout un chacun a en soi?
Étudions de plus près les mœurs et coutumes de ce charmant animal. Je traiterai ensemble le pingouin et le manchot: ils sont cousins germains (les lignes ci-dessous sont tirées de Wikipédia et d'un blog).
On peut signaler que le latin pinguis signifie : "qui rend gras", et par suite fertile, fertilisant, puis riche.
Les pingouins sont des oiseaux sociaux, dont il est peu d’exemples, ils vivent et agissent en groupe et obéissent simultanément à certaines habitudes de vie.
Un des caractères particuliers des oiseaux sociaux est la curiosité.
Les principales menaces pour le manchot lorsqu’il est dans l’eau sont deux mammifères : le Léopard de mer qui s’attaque aux adultes et aux jeunes lors de leurs premières plongées, et l’orque, qui s’attaque aux adultes. NB: l’orque est un gigantesque poisson que l’on appelle parfois "baleine tueuse".
La nature est quand même riche en métaphores. Étonnant, vous ne trouvez pas?..
Le pingouin est bel et bien l’emblème de Linux. Il en est la chair, le drapeau, l’emblème et l’âme.
D'après cette célèbre citation (faussement attribuée à Malraux qui l’a réfutée) : « Le 21ème siècle sera spirituel ou ne sera pas". Laissez-moi en douter. Tout laisse à penser qu'il est avant tout matérialiste. Un matérialisme sans limite ni frontière.
Je suis persuadé que le 21ème siècle devra être fraternel, philanthropique et humaniste. A l'image de Linux.
Dans le cas contraire et dans pas bien longtemps… il ne sera plus.
Références:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Manchot_empereur
http://www.remydegourmont.org/de_rg/autres_ecrits/revues/depechedetoulouse/pingouins02.htm
[image error]
Wikipédia, l'encyclopédie libre
Le MF 88 ( Metro Fer appel d'offre 19 88) est un matériel roulant sur fer du métro de Paris. Il équipe depuis 1994 la seule ligne 7 bis. Directement dérivé du prototype Boa, ce matériel appor...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
January 23, 2014
Statut juridique et fiscal des auteurs auto-édités. Bientôt du nouveau?...
Pendant des années, je réglais mes cotisations sociales à l'Agessa (tout du moins, mes éditeurs le faisaient pour moi).
Mais depuis que je suis auteur indépendant, tout s'est compliqué. Car l'Agessa refuse d'affilier les auto-édités. J'ai donc dû prendre le statut d'auto-entrepreneur. A l'instar de nombre de mes collègues.
Statut qui ne me satisfait nullement car je me considère comme auteur et non comme commerçant. D'autant plus que je ne fais pas d'achat-revente de livres. Je vends uniquement mes œuvres sur les plateformes de vente online au format numérique et papier en Print On Demand (impression à la demande: il n'y a pas de stock). Tous les auteurs indépendants que j'ai pu lire ou rencontrer sont soucieux d'être en règle vis-à-vis des cotisations sociales.
Nombreux sont les blogs et témoignages qui abordent les problèmes rencontrés par les indépendants. Tant au niveau du statut juridique que fiscal. Les réponses des diverses administrations (malgré leur bonne volonté) sont souvent confuses et contradictoires. Selon le code APE (qui désigne l’Activité Principale de l’Entreprise) délivré par l'Urssaf, les plafonds de revenus autorisés ne sont pas les mêmes. Et la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) est payable ou pas.
Et je ne parle pas des revenus qui sont à déclarer soit en BNC soit en BIC selon le code attribué.
Il arrive aussi parfois que certaines Urssaf considèrent les indépendants comme des auteurs (et non comme des artisans/commerçants) et les renvoient vers... l'Agessa. Qui n'accepte pas les auteurs auto-édités, je le répète.
Avec l'explosion du phénomène de l'édition numérique indépendante, il serait souhaitable que les auteurs qui vendent leurs propres œuvres en version numérique et en impression à la demande par les plateformes online puissent cotiser en tout ou partie sur ces revenus liés à leurs créations au sein de l'Agessa. Régler leurs cotisations de façon simple et rapide dans un système cohérent. C'est en tout cas le vœu de beaucoup d'auteurs.
Le thème va être abordé dans le bulletin des auteurs du Snac (Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs) du mois de janvier. Le Snac est en train de recueillir des témoignages afin de mener une réflexion sur la possibilité de prise en compte, par l'Agessa, des auteurs indépendants diffusant directement leurs œuvres numériquement.
Etant moi-même adhérent au Snac, je vous tiendrai au courant si des décisions concrètes émergent de ces réflexions au cours des prochains mois. N’hésitez pas à communiquer au Snac vos témoignages et vos avis sur le sujet.
January 22, 2014
Interview sur la radio Rockenfolie. Au programme: rock, nostalgie, amitié, roman d'humour, concerts, eighties, AC/DC, Rammstein, Rose Tatoo et bien d'autres sujets.
J'ai eu le plaisir et l'honneur d'être invité à l'antenne de la radio Rockenfolie.
Un beau moment de partage où les questions pertinentes de Sébastien, le sympathique animateur, m'ont permis d'aborder de nombreux thèmes: mon parcours de romancier et de scénariste BD, mon amour pour la musique rock, les groupes qui ont fait vibrer mes vingt ans (AC/DC, Rose Tatoo, Blessed Virgins, Shaking Street, Bérurier Noir, etc.), mes concerts cultes (AC/DC, Rammstein, Rose Tatoo, Starshooter, etc.).
Nous avons aussi évoqué ma jeunesse dans les eighties, mes amis, mes années rock et punk, la formidable énergie et liberté de ton qui régnaient à cette époque.
Bref... tout un pan de ma vie disparu à jamais.
Je vous invite à découvrir cette interview en lançant le player ci-dessous.
January 19, 2014
Roman d'humour en Béarn
[image error]
Bonjour à toutes et à tous! Je suis le romancier Philippe Saimbert. Romancier est un bien grand mot que je n'aime pas utiliser. Je préfère et de loin, auteur. Je délaisse les réseaux sociaux, trop chronophages à mon goût, pour me lancer dans l'aventure du blog.
Après des années passées au sein de l'édition traditionnelle, je me tourne du "côté obscur de la Force" pour me lancer dans l'aventure de l'auto-édition.
Après le succès de mon roman en Béarn intitulé "L'héritage de tata Lucie":
http://www.amazon.fr/Lhéritage-de-tata-Lucie-ebook/dp/B00DSP1A3K
j'ai le plaisir de vous présenter ma nouvelle comédie (située entre Pau et Arzacq): "Il faut marier Bertrand!"
http://www.amazon.fr/faut-marier-Bertrand-Philippe-Saimbert-ebook/dp/B00GYA4BT6
L’HISTOIRE : Dans ce livre à l’esprit rock et déjanté, une bande de quadras pour le moins originaux, décident de marier coûte que coûte l’un de leurs amis. Et ce malgré les nombreux obstacles à surmonter pour mener l’entreprise à son terme.
Le narrateur porte un regard tendre, amusé et nostalgique sur son passé, sa bande d’amis et une belle histoire d’amour qui le hante toujours. Il évoque également ses groupes et concerts cultes : AC/DC, Rammstein, Rose Tatoo, Starshooter et bien d’autres.
Rock et cinéma sont mis à l’honneur à travers cette relecture toute personnelle d'un thème classique de la littérature. Si vous avez eu vingt ans dans les eighties, vous devriez reconnaître nombre de références musicales et cinématographiques.
Autant vous dire de suite que je suis un grand amateur de rock et d'œuvres du septième Art.
Bien à vous
Philippe
January 8, 2014
Les commentaires Amazon (et consorts). Des porteurs de lumière aux assassins de l'ombre.
Quel bonheur pour un auteur, quand l'un de ses lecteurs lui envoie un petit mot pour le féliciter, le remercier, l'encourager ou bien encore lui raconter quelque anecdote concernant un projet publié. Parfois, il suffit de quelques lignes pour éclairer votre journée. Et ma foi, certains correspondants ont une plume aussi douce que belle. Je les appelle les "porteurs de lumière".
Tout n'est pas rose, bien entendu, car d'autres ont la plume bien acérée et blessante. Mais tout auteur se doit d'accepter les critiques. Surtout quand elles sont écrites avec talent et bien argumentées. Ce qui n'est pas toujours le cas, nous allons y venir.
Je viens de recevoir deux critiques assassines coup sur coup. Double impact. Bien entendu, avec le temps et l'expérience, on arrive à prendre du recul avec ces "assassins de l'ombre". Mais il reste un goût amer au fond de la gorge, surtout quand il s'agit d'un(e) collègue qui vient dénigrer votre propre travail. Attention, je n'aime pas le travail de tous mes collègues écrivains mais dans ce cas... je m'abstiens de faire des commentaires dans la sphère publique.
Il y a suffisamment de gens "motivés" pour clouer au pilori les oeuvres des romanciers. Surtout, celles des romanciers indépendants. Concernant ces derniers, les critiques, de virulentes, se font souvent féroces et impitoyables.
Bizarre, vous avez dit bizarre?...
Je dois admettre que certains titres mériteraient une relecture sérieuse. Mais la majorité des textes que j'ai pu lire étaient d'excellente facture. Et les critiques, quand elles sont argumentées et sincères, peuvent grandement améliorer un texte.
A ce sujet, il semblerait qu'un label de qualité se mette en place pour les projets indépendants. Il va falloir que je me penche sur la question. En ce qui me concerne, concernant les corrections (orthographe, maladresses, typographie, répétitions, etc.), je fais appel à une personne aussi sympathique que compétente. Je vous rassure... il reste quand même des coquilles.
Mais revenons-en aux "assassins de l'ombre". Cette personne met un mauvais commentaire à mon livre (quelle idée quand on y songe!) mais surtout... elle glisse en douce les références de son propre roman en fin de commentaire.
Ah! la nature humaine...
Autre "assassin": la personne dont l'achat n'est pas certifié par Amazon mais qui le crucifie joyeusement. Ajoutant perfidement une pique bien sentie sur un autre projet associé au même thème. Là encore, vous allez me dire: "Oui et alors? Tout le monde n'est pas obligé d'aimer votre style et vos histoires, M. Saimbert!". Certes, certes.
Je suis quand même allé faire un tour sur la fiche de cette personne et j'ai constaté que, outre ses commentaires sur l'achat de matériel de bricolage et de jardinage... j'étais le seul roman qu'elle avait critiqué.
Pas de bol... cette personne achète UN roman et PAN! Elle déteste et le dézingue.
Pas de chance pour elle. Ni pour moi d'ailleurs. Enfin bon.
Abandonnons ces fâcheux incidents pour revenir aux lecteurs qui ont pris du temps pour vous écrire un gentil mot. En ce qui me concerne, il y a, bien entendu, les fans de la première heure ("fan" est sans doute un bien grand mot). Ceux qui me suivent depuis plus de quinze ans (avant d'être indépendant, j'étais édité à compte d'éditeur). Ceux-là connaissent et apprécient mon travail et m'envoient en privé de longs commentaires avec de non moins longues digressions sur leurs vies privées. Ils trouvent toujours une petite anecdote à me raconter, un détail qui les a touchés. Je me souviens d'un monsieur rencontré lors d'un salon du livre et qui évoquait avec nostalgie la péripapéticienne qui exposait ses charmes à l'une des fenêtres du Palais des Pyrénées à Pau.
Dame apparaissant dans "L'héritage de tata Lucie" (publicité habilement déguisée mais que cela reste entre nous).
Et puis il y a les nouveaux intervenants. Que l'on découvre avec émotion. Telle cette adorable lectrice, rencontrée sur le net, qui a baptisé l'un de ses chats: "Joyeux". Du nom du chat éponyme figurant dans "tata Lucie". Nous avons eu une touchante conversation où nous avons évoqué notre amour commun des chats. Elle m'a raconté comment son père avait été sauvé par un matou durant la seconde guerre mondiale.
Un beau moment de partage. Pour toutes ces rencontres et celles qui vont venir... je suis heureux.
Heureux de vous lire et d'écrire.
PS: en photo jointe, Lord Chester, félin de haute lignée appartenant à Viviane et Nathalie, immortalisé en train de lire "tata Lucie". Il est vrai que les Angora turcs sont des chats très intelligents...
