Michèle Laframboise's Blog, page 4
April 23, 2010
Whew! Another one hit the road...
Just finished and mailed the manuscript of a new novel. En route to my publisher...
Whew! That book gave me a lot oftrouble challenges!
First, a comic book project (La plume japonaise, now published) pushed back the manuscript completion by two months, adding more stress.
Then, I encountered difficulties on the science front, plus all the work on how to dispense the relevant information- minimising exposition. I passed tens of hours on the net, for factual research on science info sites. But I ended up making cuts for the good of my public.
Last, and the worst hurdle, I agonized over one character's development impacting the plot.
The first version had this character way too over-the-board evil, which would be fine for some audience or Saturday cartoons ("Bwa-ha-ha-ha!") and spectacular action scenes, but would not respect the cultural aspects of the society I'm carefully constructing.
So I decided to give this character "a running chance".
It took three agonising weeks to rebuild or retouch the whole plot, I proof-read two times, modifying, finding and correcting science flaws here and there...
I found myself more depressed, thinking: what the heck, all this work and nobody read my YA novels anyway (especially since I do SF without cute vampires)
From this tenuous work, a more nuanced character emerged, and it actually brought a new development concerning another pivotal character. And some spectacular action scenes!
Now, awaiting the word of my editor....
Whew! That book gave me a lot of
First, a comic book project (La plume japonaise, now published) pushed back the manuscript completion by two months, adding more stress.
Then, I encountered difficulties on the science front, plus all the work on how to dispense the relevant information- minimising exposition. I passed tens of hours on the net, for factual research on science info sites. But I ended up making cuts for the good of my public.
Last, and the worst hurdle, I agonized over one character's development impacting the plot.
The first version had this character way too over-the-board evil, which would be fine for some audience or Saturday cartoons ("Bwa-ha-ha-ha!") and spectacular action scenes, but would not respect the cultural aspects of the society I'm carefully constructing.
So I decided to give this character "a running chance".
It took three agonising weeks to rebuild or retouch the whole plot, I proof-read two times, modifying, finding and correcting science flaws here and there...
I found myself more depressed, thinking: what the heck, all this work and nobody read my YA novels anyway (especially since I do SF without cute vampires)
From this tenuous work, a more nuanced character emerged, and it actually brought a new development concerning another pivotal character. And some spectacular action scenes!
Now, awaiting the word of my editor....
Published on April 23, 2010 14:40
April 6, 2010
Signing schedule at the SILQ
Here is my schedule of signings for the next SILQ. As a writer and a comic artist.
Voici mon horaire de dédicaces au SILQ, à la fois comme écrivaines et bédéiste.
PROLOGUE: I'm signing _L'axe de Koudriss_ (La quête de Chaaas, tome 3) Médiaspaul, 208 p. L'axe de Koudriss
RECF: I'm signing _La plume japonaise_, Vermillon, 56 p. manga Plume japonaise La
Horaire- Schedule
MERCREDI 7 avril
RECF 10h-11h (hmmm... my plane landing at 10h35!!!)
ESPACE FANZINE: 12h - 13h
PROLOGUE 13h - 15h
RECF 16h-17h
CAFÉ rencontre: 18h45 , (Kaffeeklatch )
JEUDI (THURSDAY) 8 avril
PROLOGUE 10h - 12h
atelier, Dessin 12h30
RECF 14h-15h
ESPACE FANZINE: 15h - 16h
RECF 18h-19h
VENDREDI (FRIDAY) 9 avril
RECF 10h-11h
Atelier, Dessin 11h30-12h00
PROLOGUE 13h - 14h30
RECF 15h-16h
PROLOGUE 19h - 20h30
SAMEDI (SATURDAY) 10 avril
RECF 10h-11h
PROLOGUE 13h - 15h
RECF 16h-17h
DIMANCHE (SUNDAY) 11 avril
RECF 10-11 h
PROLOGUE 11h - 12h
L'espace fanzine is in stand 347
Voici mon horaire de dédicaces au SILQ, à la fois comme écrivaines et bédéiste.
PROLOGUE: I'm signing _L'axe de Koudriss_ (La quête de Chaaas, tome 3) Médiaspaul, 208 p. L'axe de Koudriss
RECF: I'm signing _La plume japonaise_, Vermillon, 56 p. manga Plume japonaise La
Horaire- Schedule
MERCREDI 7 avril
RECF 10h-11h (hmmm... my plane landing at 10h35!!!)
ESPACE FANZINE: 12h - 13h
PROLOGUE 13h - 15h
RECF 16h-17h
CAFÉ rencontre: 18h45 , (Kaffeeklatch )
JEUDI (THURSDAY) 8 avril
PROLOGUE 10h - 12h
atelier, Dessin 12h30
RECF 14h-15h
ESPACE FANZINE: 15h - 16h
RECF 18h-19h
VENDREDI (FRIDAY) 9 avril
RECF 10h-11h
Atelier, Dessin 11h30-12h00
PROLOGUE 13h - 14h30
RECF 15h-16h
PROLOGUE 19h - 20h30
SAMEDI (SATURDAY) 10 avril
RECF 10h-11h
PROLOGUE 13h - 15h
RECF 16h-17h
DIMANCHE (SUNDAY) 11 avril
RECF 10-11 h
PROLOGUE 11h - 12h
L'espace fanzine is in stand 347
Published on April 06, 2010 12:54
•
Tags:
comic-book, manga, science-fiction, signings, ya-literature
March 5, 2010
Michèle is three times Aurora finalist
My last novel, L'axe de Koudriss is now an Aurora finalist in the Best Novel In French category.
My short-story , Billet de faveur in Galaxies 41 is finalist for the Best Short-Form In French category
and
Le jardin du general, Manga. Fichtre, Montréal is fianlist in the Best Work In French (Other)
The Aurora prizes are one of the rare Canadian awards for the SF and fantastic works. For the full list of works and authors, see the Aurora awards site
My short-story , Billet de faveur in Galaxies 41 is finalist for the Best Short-Form In French category
and
Le jardin du general, Manga. Fichtre, Montréal is fianlist in the Best Work In French (Other)
The Aurora prizes are one of the rare Canadian awards for the SF and fantastic works. For the full list of works and authors, see the Aurora awards site
Published on March 05, 2010 16:40
•
Tags:
aurora-awards, canada, finalists, science-fiction
March 1, 2010
Mon appui au SLO
Lettre envoyée au Salon du livre de l'Outaouais
lundi le 1er mars
Je vous écris pour réitérer mon appui, ma confiance et ma reconnaissance envers votre équipe qui organise le Salon du livre de l'Outaouais.
Je suis une auteure franco-ontarienne résidant près de Toronto. Si je reviens à ce Salon depuis 10 ans, et ce, toujours à mes frais (à une exception près, en 2002), c'est qu'au bout de mes cinq heures de train, j'y retrouve une ambiance et un accueil chaleureux. Loin du gigantisme du Salon de Montréal (et de celui de Paris à 1700 kiosques en 2008!), l'échelle du SLO est juste à taille humaine: je peux quitter ma table de dédicace pour aller saluer un collègue et revenir sans travers!
Les bénévoles sont l'âme d'un salon, et je profite de cette occasion pour les saluer; ils-elles mériteraient d'être nommés séparément.
C'est avec stupeur que j'ai appris la hausse de loyer à laquelle vous avez eu à faire face cette année, et qui a sans doute nui aux efforts de promotion du Salon.
La lecture est un acte solitaire: un Salon vient regrouper les passionnés, comme des milliers de fils qui tissent une trame variée, et il permet un contact privilégié entre l'auteur et ses lecteurs... et entre les lecteurs eux-mêmes!
Je suis aussi une lectrice: dans un Salon, je découvre de nouveaux auteur-e-s avec lesquels je noue des relations. De lire et voir leur travail, d'écouter les conférences, me motive à me dépasser.
Un Salon du livre est donc un antidote efficace contre le sentiment de solitude et le marasme qui peuvent nuire à notre vie d'écrivain. Il offre parfois un "coup de fouet" salutaire pour terminer un manuscrit, réviser, se préparer pour une entrevue, etc.
Une autre facette dynamique du Salon sont les ateliers d'animation que j'ai pu donner au cours des années. J'ai eu la joie de partager ma vision de la "crème glacée littéraire" avec des jeunes, pour les encourager à lire et à découvrir les différentes saveurs de livres.
Sans imagination, une société ne peut faire face aux défis qui l'attendent. Le SLO fournit aux auteurs, amateurs et lecteurs de l'engrais et des semences d'imagination pour l'avenir.
Et c'est afin de garder grande ouverte cette précieuse fenêtre de l'imagination, pour nous tous, que je persiste et signe,
Michèle Laframboise
Auteure et artiste franco-ontarienne
Mississauga, Ontario
****************
Je garde un beau souvenir du dernier Salon du livre de l'Outaouais. Ce que j'ai écris dans ma lettre ci-haut, c'est en pensant à vous, lecteurs et amateurs, rencontrés ici et ailleurs au cours des Salons du livre.
Dans cette ère de performances et de coupures, les institutions culturelles sont en danger. Le SLO a eu à faire face cette année à une hausse de loyer qui a nui à sa promotion. Je vous invite à écrire aux organisateurs du Salon pour exprimer votre soutien.
Salon du livre de l'Outaouais
lundi le 1er mars
Je vous écris pour réitérer mon appui, ma confiance et ma reconnaissance envers votre équipe qui organise le Salon du livre de l'Outaouais.
Je suis une auteure franco-ontarienne résidant près de Toronto. Si je reviens à ce Salon depuis 10 ans, et ce, toujours à mes frais (à une exception près, en 2002), c'est qu'au bout de mes cinq heures de train, j'y retrouve une ambiance et un accueil chaleureux. Loin du gigantisme du Salon de Montréal (et de celui de Paris à 1700 kiosques en 2008!), l'échelle du SLO est juste à taille humaine: je peux quitter ma table de dédicace pour aller saluer un collègue et revenir sans travers!
Les bénévoles sont l'âme d'un salon, et je profite de cette occasion pour les saluer; ils-elles mériteraient d'être nommés séparément.
C'est avec stupeur que j'ai appris la hausse de loyer à laquelle vous avez eu à faire face cette année, et qui a sans doute nui aux efforts de promotion du Salon.
La lecture est un acte solitaire: un Salon vient regrouper les passionnés, comme des milliers de fils qui tissent une trame variée, et il permet un contact privilégié entre l'auteur et ses lecteurs... et entre les lecteurs eux-mêmes!
Je suis aussi une lectrice: dans un Salon, je découvre de nouveaux auteur-e-s avec lesquels je noue des relations. De lire et voir leur travail, d'écouter les conférences, me motive à me dépasser.
Un Salon du livre est donc un antidote efficace contre le sentiment de solitude et le marasme qui peuvent nuire à notre vie d'écrivain. Il offre parfois un "coup de fouet" salutaire pour terminer un manuscrit, réviser, se préparer pour une entrevue, etc.
Une autre facette dynamique du Salon sont les ateliers d'animation que j'ai pu donner au cours des années. J'ai eu la joie de partager ma vision de la "crème glacée littéraire" avec des jeunes, pour les encourager à lire et à découvrir les différentes saveurs de livres.
Sans imagination, une société ne peut faire face aux défis qui l'attendent. Le SLO fournit aux auteurs, amateurs et lecteurs de l'engrais et des semences d'imagination pour l'avenir.
Et c'est afin de garder grande ouverte cette précieuse fenêtre de l'imagination, pour nous tous, que je persiste et signe,
Michèle Laframboise
Auteure et artiste franco-ontarienne
Mississauga, Ontario
****************
Je garde un beau souvenir du dernier Salon du livre de l'Outaouais. Ce que j'ai écris dans ma lettre ci-haut, c'est en pensant à vous, lecteurs et amateurs, rencontrés ici et ailleurs au cours des Salons du livre.
Dans cette ère de performances et de coupures, les institutions culturelles sont en danger. Le SLO a eu à faire face cette année à une hausse de loyer qui a nui à sa promotion. Je vous invite à écrire aux organisateurs du Salon pour exprimer votre soutien.
Salon du livre de l'Outaouais
Published on March 01, 2010 09:10
•
Tags:
bookfairs, culture, imagination, slo, writing
February 15, 2010
Chocolate medal - La médaille en chocolat !
(Francais plus bas!)
More and more, the time lag separating athlete's position is dwindling. The performance were evaluated in seconds, then, in tenths of seconds, now in hundreth... Soon, will results appear with three decimals after the second?
Drug use is the great temptation for athletes who gave up so much of themselves to get on the podium. The genetic lottery favors some more than other. Hi-tech materials and fabrics do the rest. Despite the tech, a youth comes so close to the podium...
Do you remember the 2nd, 3rd place in a game? (And the fourth, which I call the chocolate medal). In those great expectations, with the new drug tech emerging each year, the temptation is strong... for the athlete and or the trainer! And woe to the stadium star who has fallen!
And the efforts sometime do not bring the results. We saw a sad accident happen.
We heard the commentators for weeks: Canada should bring 15 medals, no 20, and at least 5 gold... Great expectations!
I don't like this attitude of "reserving" medals, as if it were a due. Many countries, with few means, will live the Olympic ideal, participate without winning. And 8 or 10 developed countries, pouring millions in training and trinkets (while The province of BC cut the art budget from 46 millions to... 3 millions), make the prognostics.
So: all athletes won't win the first place, but all will participate. And it is an accomplishment just to be choosen for the Games…
To all of you, athletes, I attribute, for your efforts, the chocolate medal, 65% cocoa!
****************
De plus en plus, les différences qui séparent les places de athlètes sont infimes. Jadis en secondes, puis en dixièmes de seconde, maintenant on compte les centièmes de seconde... à quand le millième?
Le dopage, c’est la grande tentation des athlètes qui ont donné beaucoup d’eux ou d’elles-mêmes pour souvent peu de reconnaissance. La loterie génétique en favorise quelques-uns. Et les matériaux hi-tech font le reste. Et malgré tout, il en manque parfois si peu pour monter sur le podium…
Avez-vous remarqué comme on oublie vite un athlète qui arrive en 2e, 3e ou 4e place (la médaille en chocolat, que j’appelle)? Dans ce conditions, et avec les nouvelles tehniques de dopage indétectables, la tentation est forte… Et quand le dieu du stade se fait pincer? L’opprobe s’abat sur ceux qui ont cédé à la tentation de tricher – ou cédé à leur entraineur!
Et les efforts des athlètes? Ou ceux qui ont un accident et ne peuvent finir? J'espère qu'il n'y aura pas d'autre accident mortel aux Jeux.
J’entend les commentateurs depuis des semaines: le Canada devrait récolter 15 médailles, non 20, dont 5 en or...
C’est cette attitude de se « réserver » des médailles qui m’irrite, comme si cela nous était dû! Je rappelle que 140 des 160 pays, avec peu de moyens, vont vivre l’idéal de participer sans gagner. Et les huit ou dix pays les plus, ahem! « développés », ceux qui peuvent comme nous trouver des millions pour l’entrainement des athlètes amateurs, se font les prognostics.
Tous les athlètes ne gagneront pas, mais tout participeront. Déjà, c’est tout un travail pour être sélectionné aux Jeux…
À vous tous et toutes, athlètes dont la carrière risque d’être courte, j’attribue, pour vos efforts, la médaille en chocolat noir à 65 % de cacao!
))))))))))))))
Référence SFF: Les Olympiades truquées, Joelle Wintrebert, Bifrost-Étoile vives, 1998
Un bon suspense qui montre le très lourd prix à payer pour atteindre le podium, quand le dopage est institutionnalisé!
Les Olympiades truquées
More and more, the time lag separating athlete's position is dwindling. The performance were evaluated in seconds, then, in tenths of seconds, now in hundreth... Soon, will results appear with three decimals after the second?
Drug use is the great temptation for athletes who gave up so much of themselves to get on the podium. The genetic lottery favors some more than other. Hi-tech materials and fabrics do the rest. Despite the tech, a youth comes so close to the podium...
Do you remember the 2nd, 3rd place in a game? (And the fourth, which I call the chocolate medal). In those great expectations, with the new drug tech emerging each year, the temptation is strong... for the athlete and or the trainer! And woe to the stadium star who has fallen!
And the efforts sometime do not bring the results. We saw a sad accident happen.
We heard the commentators for weeks: Canada should bring 15 medals, no 20, and at least 5 gold... Great expectations!
I don't like this attitude of "reserving" medals, as if it were a due. Many countries, with few means, will live the Olympic ideal, participate without winning. And 8 or 10 developed countries, pouring millions in training and trinkets (while The province of BC cut the art budget from 46 millions to... 3 millions), make the prognostics.
So: all athletes won't win the first place, but all will participate. And it is an accomplishment just to be choosen for the Games…
To all of you, athletes, I attribute, for your efforts, the chocolate medal, 65% cocoa!
****************
De plus en plus, les différences qui séparent les places de athlètes sont infimes. Jadis en secondes, puis en dixièmes de seconde, maintenant on compte les centièmes de seconde... à quand le millième?
Le dopage, c’est la grande tentation des athlètes qui ont donné beaucoup d’eux ou d’elles-mêmes pour souvent peu de reconnaissance. La loterie génétique en favorise quelques-uns. Et les matériaux hi-tech font le reste. Et malgré tout, il en manque parfois si peu pour monter sur le podium…
Avez-vous remarqué comme on oublie vite un athlète qui arrive en 2e, 3e ou 4e place (la médaille en chocolat, que j’appelle)? Dans ce conditions, et avec les nouvelles tehniques de dopage indétectables, la tentation est forte… Et quand le dieu du stade se fait pincer? L’opprobe s’abat sur ceux qui ont cédé à la tentation de tricher – ou cédé à leur entraineur!
Et les efforts des athlètes? Ou ceux qui ont un accident et ne peuvent finir? J'espère qu'il n'y aura pas d'autre accident mortel aux Jeux.
J’entend les commentateurs depuis des semaines: le Canada devrait récolter 15 médailles, non 20, dont 5 en or...
C’est cette attitude de se « réserver » des médailles qui m’irrite, comme si cela nous était dû! Je rappelle que 140 des 160 pays, avec peu de moyens, vont vivre l’idéal de participer sans gagner. Et les huit ou dix pays les plus, ahem! « développés », ceux qui peuvent comme nous trouver des millions pour l’entrainement des athlètes amateurs, se font les prognostics.
Tous les athlètes ne gagneront pas, mais tout participeront. Déjà, c’est tout un travail pour être sélectionné aux Jeux…
À vous tous et toutes, athlètes dont la carrière risque d’être courte, j’attribue, pour vos efforts, la médaille en chocolat noir à 65 % de cacao!
))))))))))))))
Référence SFF: Les Olympiades truquées, Joelle Wintrebert, Bifrost-Étoile vives, 1998
Un bon suspense qui montre le très lourd prix à payer pour atteindre le podium, quand le dopage est institutionnalisé!
Les Olympiades truquées
Published on February 15, 2010 08:30
•
Tags:
french-science-fiction, olympic-games, society, vancouver