Les aventures de Gaston Lagaffe au sein des éditions Dupuis : ses expériences culinaires, ses innovations en matière de matériel de bureau ou d'automobile, ses créations d'instruments de musique, ou encore les nombreux sinistres dont il est responsable.
Delaf (the pen name of Marc Delafontaine, born October 9, 1973 in Sherbrooke, Quebec), is a Québécois comics creator and illustrator, notable for his work in The Bellybuttons (Les Nombrils), a comics feature that he co-created with his wife, Maryse Dubuc.
Een nieuw album van Guust Flater door een nieuwe tekenaar. Knap gedaan! Boomers zoals ik, die zijn opgegroeid met Guust, kunnen zich weer even terug in de tijd wanen.
Delaf hace un buen trabajo muy en el estilo de Franquin (hasta transcurre en la misma época que cuando él dibujaba la serie) Gags divertidos y buen dibujo pero nada original que diferencie este álbum de los de el creador de Gastón)
Estou contente. Parece que estamos a voltar à aplicação das fórmulas antigas na BD franco belga. Este novo Lagaffe tem o humor de Franquin e desenhos extremamente fiéis ao original em vez das experiências muito aborrecidas por onde andou outro herói do Franquin: Spirou. Não sou nada contra as experiências levadas a cabo por autores diferente, antes pelo contrário. Lucky Luke por Matthieu Bonnhome é um excelente exemplo de como reinventar uma série de BD.
La reprise de Lagaffe par un autre que Franquin, pourquoi pas (Franquin en son temps avait bien repris Spirou). Mais pourquoi l’avoir laissé dans son époque? Pourquoi Gaston n’est-il pas mon voisin de bureau? Tout se joue sur la nostalgie. Mais force est de reconnaître que pas mal de gags fonctionnent bien, avec des clins d’oeil en arrière-plan bien vus. Un bon retour, mais peut-être moins bon que ce qu’on aurait pu espérer
Delaf était déjà extraordinaire avec les nombrils. Certes son humour grinçant transparaît dans certaines planches, mais les gags gardent leurs saveurs d’ antan. Nous retrouvons entre autre Moizelle Jeanne, l'amoureuse transie de Gaston (qui ne capte aucun des signaux qu'elle envoie) ; M. de Mesmaecker, l'homme d'affaires irascible qui n'arrive jamais à signer des contrats ; Prunelle, le patron stressé de Gaston, victime favorite de ses inventions. Un régal de revoir Prunelle et toute la rédaction sous la pression de Gaston… Toujours aussi rêveur. Franquin avait un style cependant inimitable. Tout en détail et en poésie, avec des personnages parfois « flagadas » ce que Delaf a un peu de peine à reproduire.
Bidonnant volume ! Quel bonheur de retrouver le dessinateur des Nombrils dans ce 22e tome 25 ans après le dernier de Franquin. Un québécois qui assure haut la main la relève belge. Chapeau !
Loin de la polémique judiciaire, j'ai adoré cet album de reprise qui relance la philosophie du personnage de manière intelligente. Vraiment content d'avoir un nouveau Gaston entre les mains
Vraiment excellent, ce n'est pas du Franquin, c'est du Delaf. Ce n'est pas pareil, c'est différent, mais c'est tout aussi bon. Je suis vraiment content de retrouver cet univers que j'aime tant et tout ces personnage. Ca ma fait du bien de lire cette bédé ce soir.
Je suis souvent méfiant des " repreneurs ". Mais je dois reconnaître que c'est une réussite. On retrouve l'esprit Gaston Lagaffe et ça fait un bien fou. Les gags en une page sont les plus réussis à mon sens.
Question dessins, rien à redire, ils sont beaux, ils sont style Franquin.
Sauf que pour l'ambiance, je ne m'y retrouve pas. Pour moi, cet album, ce n'est pas "Gaston". Ce n'est pas MON Gaston. Car je pense que beaucoup de lecteurices ont une image de LEUR Gaston à eux. Qu'il existe beaucoup d'images de Gaston. Des images que toustes pouvaient retrouver dans le Gaston de Franquin, mais que certain.e.s, comme moi, ne retrouvent plus dans le Gaston de Delaf (et que d'autres retrouveront quand même). Je ne retrouve pas mon Gaston parce qu'ici : - Il ne dit pas souvent "M'enfin". - Il ne dort presque jamais, il est trop énergique. Dans le temps, même quand Gaston faisait des expériences, il était souriant et tranquille. - On ne le voit presque jamais avec le courrier en retard, on n'en parle pas assez. Or, Gaston, c'est dormir et le courrier en retard. - Gaston est en plus un gars las, sans énergie. Même quand on lui donnait des vitamines. Même quand il faisait des inventions, sous Franquin, Gaston était plutôt calme. Ici, il a une énergie débordante. - Trop peu de blagues qui ont une suite. On tombe d'un sujet dans l'autre, alors qu'une blague récurrente ou une blague qui se développe et devient de mal en pire au fil des pages, c'est très amusant. - En plus, ici, on tombe d'une blague dans l'autre qui date de l'époque de Franquin. L'album est comme un amalgame, un ramassis des inventions ou évènements de ces temps-là. - Pour moi il a toujours été clair que Gaston et M'oiselle Jeanne s'aimaient, que Franquin aurait voulu en faire des amants, mais qu'il ne pouvait pas de son éditeur. Il y a une très belle image où on voit, je pense, Gaston rêver de lui et Mademoiselle Jeanne en une sorte de voyage d'amour (je vais rechercher où on peut trouver cette belle image). Mais ici, Gaston laisse M'oiselle Jeanne seule dans les bois ? Au lieu de se taper un bon weekend, lui qui adore camper dans la nature (et madamoiselle Jeanne en plus) ? Il n'aurait pas de solution au manque de place dans la tente ? Pas acceptable. - L'ambiance à la rédaction était différente sous Franquin, beaucoup plus sympa. J'adorais regarder comment Yves Lebrac dessinait. Il ne se préoccupait pas trop de Gaston, sinon avec bienveillance (sauf quand sa gomme était transformée). Lebrac, il dessinait parmi tout le capharnaum, c'était beau, cette concnetration, cet amour pour le dessin. Alors qu'ici, Lebrac ne fait que réchigner et prédire des mauvaises choses que Gaston fera. Prunelle aussi était au fond bienveillant. Et quand Gaston lui disait 'm'enfin, ton courrier en retard et tout ça, c'est très bien, mais il ne faut pas oublier les choses importantes dans la vie quand-même' alors Prunelle pensait 'Au fond il a raison.' - Toute la rédaction d'ailleurs ne semble faire rien d'autre que d'attendre avec appréhension et fureur la prochaine gaffe de Gaston. Et ce n'est pas drôle.
Mes excuses, Delaf, je sais combien vous y avez travaillé, combien vous aimez Gaston, et oui, les dessins sont beaux. Il y a de bonnes trouvailles dans les blagues, mais je ne retrouve pas l'ambiance de MON Gaston. Mes excuses, même si c'est bien dessiné, mais je m'en tiendrai au Gaston de Franquin.
Det här egentligen en lite knepig serie att recensera. Goodreadskontot är egentligen till som en köpguide till biblioteken och till serieintresserade låntagare i alla åldrar men kanske ungdomar i första hand. Det här blir något sorts mellanting av recension av en serie som riktar sig till alla och den riktiga serienörden:
Gaston är en tecknad serie skapad av André Franquin 1957 (!) Franquin är en legend inom serievärlden och mest känd för att serien Spirou (som han egentligen inte är upphovsman till men som han tecknade länge).
Serien handlar om serieförlaget som ger ut Spirou (Dupuis) och främst då om Gaston som är vad ungdomar nu skulle uttrycka som "jävligt chill". Han arbetar egentligen aldrig men har en massa kreativa idéer och mystiska uppfinningar för sig. Det blir fullständigt kaos bara han ska gå upp för trappen.
Serien slutade tecknas i slutet av 90-talet då Franquin gick bort. Så det här är en ny serie av Delaf, en kanadensisk tecknare.
Om man gör det lätt för sig och svarar på den enkla frågan om det är en bra serie så är svaret tveklöst ett rungade ja. Den har ett tilltal som passar alla eftersom figuren är universell. Man känner igen delar hos sig själv och hos andra. Det är ett skitbra nytt seriealbum med Gaston helt enkelt.
Man kan egentligen sluta läsa här och läsa serien i stället.
Om man vill komplicera till det så tyngs albumet ner lite av dess historia. Franquins dotter stämde förlaget. Delaf har fått en ganska omöjlig uppgift. Det första som slår en är att Franquin nämns mycket respektfullt (han är trots allt med i serien eftersom det handlar om Spirou-redaktionen) det andra är att Delaf verkligen härmat Franquins stil till den milda grad att det blir lite svårt att inte se den som en kopia som inte egentligen bidrar med så mycket.
Det känns mer som ett hyllningsalbum än en riktig serie.
Serien är egentligen lite barnslig och har alltid varit det men nu utspelat den sig i en svunnen tid och måste dessutom ta hänsyn till vuxna serieälskare vilket gör att den kan kännas lite ambivalent och lite.... ja som en historielektion. Även om skämtet med den bärbara telefonen var kul (liten extra eloge till översättningen).
Men man skrattar när det lyckas bli sådär riktigt Gaston tokigt samtidigt som en del små strippar också fångar värmen i karaktären på ett underbart sätt och då spelat det andra inte så stor roll. Om Delaf får lite självförtroende och fria tyglar kan nästa album bli ett mästerverk. Nu är det bara jättebra och en väldigt stark 4:a
Préparez vos zygomatiques : le pire trieur de courrier de la création est de retour!
Fidèle à l'esprit de Franquin, Delaf assure la relève et donc après une petite pause, Gaston Lagaffe déboule dans les bureaux de la rédac' avec sa dégaine beatnik et son gros lot d'énormités farfelues comme jamais.
On commence avec des gags sur une planche, histoire de retrouver Prunelle, 'Moizelle Jeanne, Fantasio, Monsieur de Mesmaecker et compagnie puis l'album se termine avec une drôle d'aventure.
Ah, je ne vous ai pas parlé de la réapparition des objets cultes comme le Gaffophone, le Gaston latex, la boite du petit chimiste, la boule de bowling ? Qu'à cela ne tienne, vous les redécouvrirez en lisant l'album.
Pour ma part, De la pure rigolade mais qu'est-ce que j'ai ri! D'absolument tout : du savant capharnaüm, des onomatopées, des blagues à deux sous ou carrément hilarantes et des dessins aussi beaux que ceux de Franquin.
Pour ainsi dire, je suis épatée du travail de Delaf qui a repris à la perfection "au micropoil" tous les codes et tous les éléments du plus génial des gaffeurs et de son univers.
Je dirai même qu'après tout ce temps, je suis heureuse que son humour n'ait pas pris une seule ride.
Le retour du géant de la gaffe, égal à lui-même, et de toute sa clique. Et malgré les années 80 qui font vieillottes de nos jours, et le courrier en retard, l'humour n'a pas pris une ride et les clins d'œil aux concepts qui font l'actualité sont appréciables. Totalement hilarant.
Merci à Delaf pour ces retrouvailles car le plaisir de retrouver un ami d'enfance au top de sa forme comme ça, ça n'a pas de prix.
Le retour tant attendu de Gaston dans le tome 22 intitulé "Le retour de Lagaffe", illustré par Delaf, ramène à la vie l'un des personnages les plus attachants de la bande dessinée franco-belge. Créé il y a 66 ans par le génie d'André Franquin, Gaston débute en tant qu'antihéros paresseux pour évoluer rapidement vers un personnage débordant d'imagination et d'énergie, pourvu que cela n'implique pas de travailler.
Cette série iconique présente une galerie de personnages hauts en couleur : Moizelle Jeanne, l'amoureuse éperdue de Gaston (qui ne semble guère saisir les signaux qu'elle envoie) ; M. De Mesmaecker, l'homme d'affaires constamment irrité et incapable de finaliser le moindre contrat ; Prunelle, le patron stressé de Gaston et victime privilégiée de ses inventions farfelues, et bien d'autres.
"Gaston" demeure indiscutablement l'une des séries les plus hilarantes de l'histoire de la bande dessinée franco-belge, portée par un style graphique expressif et d'une dynamique follement entraînante.
Pour honorer l'esprit et l'œuvre exceptionnelle d'André Franquin, Delaf a entrepris un travail d'analyse minutieux. Le résultat de cette collaboration est tout simplement stupéfiant et remarquable, offrant une continuité qui préserve l'essence même de Gaston. Les fans retrouveront avec joie cet univers exubérant et loufoque, illustré avec une maîtrise artistique remarquable, rendant hommage de la plus belle des façons à cet incontournable de la bande dessinée.
J'ai adoré! défi de relève relevé avec brio. je dirais même encore une coche meilleur que les anciens! le dessin est superbe, plein de détails. Hyper dynamique, .... je dirais mieux que Franquin pour le dessin. Scénario? pas mal à égalité. j'ai bien ri d'avoir conservé le personnage dans la même époque mais avec l'oeil et les références actuelles (le aiephone: hilarant!). Dès la première page, on retombe dans un univers connu. J'ai passé une excellent moment à retrouver un vieil ami comme s'il n'y avait pas eu d'éclipse de 25 ans du tout dans notre amitié! et plein de nouvelles niaiseries qui auraient très bien pu être aussi scénarisés par Franquin! Magistrale relève. Bravo Delaf, un dessinateur de chez nous dont j'avais acheté tous les albums des Nombrils, d'un autre style, pour mes filles qu'elles et moi avons vraiment beaucoup aimé! J'avais hâte de voir les Gaston après la polémique de les reprendre ou pas et j'ai été plus qu'agréablement séduite!
Le premier mot qui m’est venu à l’esprit après quelques pages de lecture fut : époustouflant ! Réellement bluffant !
Il a fallu beaucoup de temps à Delaf pour étudier minutieusement, non seulement le coup de crayon, Le Gaston, l’unique et inimitable ! Non seulement du temps mais aussi de l’abnégation et je pense beaucoup d’admiration pour Franquin pour arriver à faire revivre Gaston et non pas uniquement à l’imiter !
Il est absolument impossible de décrire le contenu d’un album de Lagaffe, c’est trop farfelu et hilarant et ça serait trahir l’impression que chacun va y trouver !
Bravo et merci à l’auteur pour avoir su capter l’essence du génie et du talent de Franquin !
Dans l'absolu, ce n'est pas un mauvais album: le dessin est compétent, les gags et l'histoire tiennent la route. Mais ça n'est pas du Gaston. Les personnages sonnent faux, les gags n'ont pas la profondeur qu'avaient les originaux, et les rappels d'anciens gags donnent plus l'impression de repompage qu'un réel hommage. L'exercice de la reprise d'une série est difficile, surtout quand on évolue dans l'ombre d'un génie comme Franquin et avec les attentes qui y sont associées. Pas dit que d'autres auraient fait mieux. Peut-être aurait il mieux fallu, paradoxalement, s'éloigner plus de l'œuvre originale avec un spin-off qui aurait plus laissé la place au nouveau dessinateur de s'exprimer, ou alors (suggestion audacieuse !) accepter que certaines œuvres ne peuvent pas survivre à leur auteur.
J'ai adoré cet album qui m'a beaucoup fait rire. C'est une vraie bouffée d'air frais. Les gags s'enchaînent et sont tous aussi excellents les uns que les autres.
Les péripéties de Lagaffe sont incroyables et je dois dire que j'admire ses collègues qui n'ont pas des journées de tout repos.
Les illustrations sont très bien réalisées et n'ont rien à envier aux premiers albums.
Je suis très contente d'avoir découverte cette pépite et je remercie les éditions Dupuis et NetgalleyFrance pour cette lecture.
Mein erster Gaston Band - weil mir der Buchomat von DIE ZEIT diese Leseempfehlung für den Sommer ausgespuckt hatte (https://www.zeit.de/kultur/2024-07/bu...). Kurzweilig, aber ich hatte gedacht (weil ich Gaston nur vom Namen kannte) es wäre eine durchgehende Geschichte wie bei anderen humoristischen francobelgischen Comics, die ich kenne, und nicht diese one pager.
Ist ok, aber motiviert mich jetzt noch nicht, die älteren Bände von Franquin auch sofort zu lesen.
Creo que nunca había llegado a leer un tomo completo de Gastón Elgafe, y cuando vi este en la biblioteca no lo pensé dos veces, a pesar de no ser uno de los originales de Franquin sino una imitación a cargo del autor canadiense Delaf.
‘Gastón’ es muy divertido, y se ve a la legua el pedazo de plagio que supuso Mortadelo, pero no acabo de ver la gracia a esta especie de “homenaje” tan al pie de la letra, con sus máquinas de escribir y sus coches de los años 60. Supongo que será muy lucrativo.
Bof. Sympathique sur plusieurs pages et j’ai bien aimé l’idée d’une histoire au long cours dans le final. Mais rester dans l’époque des premiers albums, alors que même Franquin avait réussi à faire évoluer Gaston, c’est… étrange comme hommage. Et (spoiler)
Voir la rédaction bourrée à l’alcool juste pour l’intérêt de l’histoire, c’est également très étrange.
Cela ne valait pas toute cette polémique autour de l’œuvre de Franquin, car on en est loin.
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Yet another sad example of unimaginative copying, where the goal isn't to be innovative but to mimic the original as closely as possible. We've previously seen the same superficial imitation with Asterix and Corto Maltese. On the surface, it looks deceptively similar, but in spirit, it's as far from Franquin as one could get. Franquin was never a copyist. The fact that the album contains meta-comments about Franquin's genius doesn't make it any more acceptable.
Les dessins de Delaf sont totalement bluffants, et on voit dans les références et dans les gags une volonté incroyable de respecter l'oeuvre originale. Même si on sent parfois les différences d'écriture, ça fait très plaisir de retrouver Gaston, Prunelle et tous les autres dans une BD si pleine d'amour pour le travail de Franquin.