An unusual play of Moliere's - play whose characters are not seventeenth-century Frenchmen but ancient Greeks and Greco-Roman gods, a play combining the flavors of vaudeville, fantasy, high comedy, farce, and even opera.
The god Jupiter is once again in love. But how can he seduce the faithful Alcmene? By taking the features of her husband of course! Meanwhile his servant Mercury will pass for the valet Sosie. But then Amphitryon and Sosie return from the war ... Quiproquos, misunderstandings, twists... Molière manages mythological fantasy brilliantly!
French literary figures, including Molière and Jean de la Fontaine, gathered at Auteuil, a favorite place.
People know and consider Molière, stage of Jean-Baptiste Poquelin, also an actor of the greatest masters in western literature. People best know l'Ecole des femmes (The School for Wives), l'Avare ou l'École du mensonge (The Miser), and le Malade imaginaire (The Imaginary Invalid) among dramas of Molière.
From a prosperous family, Molière studied at the Jesuit Clermont college (now lycée Louis-le-Grand) and well suited to begin a life in the theater. While 13 years as an itinerant actor helped to polish his abilities, he also began to combine the more refined elements with ccommedia dell'arte.
Through the patronage of the brother of Louis XIV and a few aristocrats, Molière procured a command performance before the king at the Louvre. Molière performed a classic of [authore:Pierre Corneille] and le Docteur amoureux (The Doctor in Love), a farce of his own; people granted him the use of Salle du Petit-Bourbon, a spacious room, appointed for theater at the Louvre. Later, people granted the use of the Palais-Royal to Molière. In both locations, he found success among the Parisians with les Précieuses ridicules (The Affected Ladies), l'École des maris</i> (<i>The School for Husbands</i>), and <i>[book:l'École des femmes (The School for Wives). This royal favor brought a pension and the title "Troupe du Roi" (the troupe of the king). Molière continued as the official author of court entertainments.
Molière received the adulation of the court and Parisians, but from moralists and the Church, his satires attracted criticisms. From the Church, his attack on religious hypocrisy roundly received condemnations, while people banned performance of Don Juan. From the stage, hard work of Molière in so many theatrical capacities began to take its toll on his health and forced him to take a break before 1667.
From pulmonary tuberculosis, Molière suffered. In 1673 during his final production of le Malade imaginaire (The Imaginary Invalid), a coughing fit and a haemorrhage seized him as Argan, the hypochondriac. He finished the performance but collapsed again quickly and died a few hours later. In time in Paris, Molière completely reformed.
"El mero error se vuelve auténtico crimen y, aun din consentimiento, la inocencia perece."
Una obra que no me gustó tanto y que si bien es cierto es presentada como comedia tiene creo yo algo de tragedia en muchos pasajes. La historia es conocida Anfitrión es un general tebano esposo de Alcmena (la futura madre de Hércules). Antes que él vuelva de una reciente guerra Júpiter, el dios de dioses, viene transfigurado de Anfitrión con el objetivo de seducir a su esposa. Las risas vienen del lado sobre todo del criado Sosia quien se lleva las peores partes en la gran confusión que supone tener a aparentemente "dos" Anfitriones. No sé si al ser basado en otros autores como Plauto eso quitó algo de frescura y talento del mismo Molière.
"Amphitryon" raconte l'histoire de Jupiter qui prend l'apparence d'Amphitryon un roi de Thèbes antique afin de séduire sa femme Alcmène. Hercule va naitre de cet adultère. Dans sa pièce, Molière suit de près le texte la première version de Plaute (254 av. J.-C. - 184 av. J.-C.). Celui qui a écrit l'introduction à la pièce de Molière dans l'édition que j'ai lu a déclaré que le texte francais de Molière était meilleur que le texte latin de Plaute. Je ne suis pas en mesure de dire si c'est vrai. Je ne lis pas le latin et j'ai lu le texte de Plaute en traduction. Finalement j'a trouvé les deux pièces des boulevards minables. L'intrigue n'avait pas d'intérêt pour moi et les personnages de deux auteures manquaient de profondeur.
M’étant mis en tête de lire les grands chefs-d’oeuvre de Molière, je n’avais pas inclu Amphitryon dans la liste. Jusqu’à ce que j’ai vu qu’elle faisait partie des dix pièces magistralement traduites en anglais par le poète américain Richard Wilbur.
Inspirée d’une ancienne légende déjà évoquée par Homère et Hésiode et qui a fait l’objet d’une pièce de même nom de l’auteur romain Plaute, la pièce de Molière raconte les malentendus provoqués par les passions charnelles de Jupiter.
En l’ocurrence, sa passion pour la belle Alcmène, épouse du victorieux général thébain Amphitryon, le décide à prende l’apparence de celui-ci pour séduire sa femme. Il se fait accompagner de Mercure qui, lui, prend la forme de Sosie, valet d’Amphitryon. Les quiproquos se multiplient.
On l’aura compris, le nom commun « sosie », désignant un double, vient de cette histoire, qui a fait l’objet de tant de versions (Plaute, Rotrou, Molière, Dryden, Kleist, Giraudoux, sans parler de l’influence sur la légende du roi Arthur).
Je n’ai pas lu les autres versions, à part celle de Plaute, mais il est intéressant de voir combien Molière a ajouté à l’histoire originale, et combien aussi il a supprimé. Sosie, le malheureux valet, devient un des plus grands personnages comiques de tous les temps, et on comprend bien que Molière s’était reservé le rôle pour lui-même.
Du très grand théâtre, par un immense auteur. Amphitryon mérite bien qu’on l’ajoute à la liste des incontournables de Molière, au même titre que Le Misanthrope, Tartuffe, Le Bourgeois Gentilhomme et tant d’autres.
A classic Roman myth where Jupiter, once again, can't keep it in his pants. This time apparently it is ok because Jupiter took the form of her husband *face palm*
It is a humorous tale, and although Jupiter is a jerk, I didn't mind the story.
If I was allowed ONE book to keep on a deserted island, the Works of Shakespeare OR the Works of Moliere, it would be Moliere.....in English, of course.
The poets do what pleases them. It is not the only stupidity we have detected in these gentlemen.
Damn! Who would have thought that JBP knew Bill O'Reilly:
How many people describe battles from which they remained far away! In order to act my part without discredit, I will rehearse it a little.
JBP never ceases to amaze --and amuse!-- me.
I feel inclined to make your acquaintance by slapping your face.
To show courage against men who have none merits condemnation.
All these, AND he had long hair. He was such a hottie and a wit:
I prefer a convenient vice to a fatiguing virtue.
Fifteen years of married life exhaust nonsense; we said all we had to say to each other a long time ago.
That we should all do well to send all men to the devil; the best of them is not worth much.
The very ending seemed a bit pressed and forced, but I still want to direct this, choreograph this, and design its costumes. It's a really short play, easy to visualize, and a riot. I must be a Moliere groupie.
I knew the story before from the version by Heinrich von Kleist. The piece is written in verse and ends with a deus ex machina. Today is Molière's birthday, so I won't blame him for being a bit lame here! (I loved Le Malade Imaginaire though.)
Moi qui suis fan de Molière, je le découvre autrement. Ce n'est clairement pas sa meilleure pièce à mon goût. Ici, Amphitryon sort de l'esthétisme traditionnelle de la comédie car nous n'avons plus l'étude d'un caractère, une pièce en 3 actes, le cadre spatio-temporel et la question de la vraisemblance sont remis en question. Dans cette pièce, il est question d'une perte d'identité. En tout cas, j'ai trouvé intéressant la façon qu'a Molière de s'être approprié une oeuvre de Plaute et de la renouveler avec des éléments comiques à outrance tels des situations cocasses... Pourtant, nous avons une comédie à la fois simple dans l'intrigue mais complexe dans les personnages à travers la présence des dieux comme Jupiter ou bien Mercure. Molière nous les présente comme de simples hommes, loin de nous impressionner surtout Jupiter. C'est d'ailleurs original pour Molière car il a choisi un milieu antique au lieu du milieu bourgeois habituel. Jupiter est montré comme un être qui vole la femme d'un autre, on peut même aller dire que nous avons un homme cruel qui utilise l'identité du mari d'Alcmène pour la faire sienne sans son consentement. Cette pièce rappelle aussi la position de la femme au XVIIe siècle, celle qui est soumise à son mari. Cela se constate par le peu de paroles des femmes, les hommes qui s'en servent pour assouvir leurs besoins physiques et la nécessité d'une descendance. Malgré l'originalité de la pièce, nous retrouvons des archétypes de la comédie entre le mari cocu - notion discutable -, le valet rusé ou le valet naïf...
Pour conclure, Molière et moi, c'est pour la vie. J'ai adoré sa pièce très originale pour son époque mais aussi pour lui-même avec un cadre antique, un non-respect des règles classiques sur le thème de l'identité.
Molière využil osvědčeného antického námětu, v němž bohatě rozvinul poměrně jednoduchou, ale plně fuknční zápletku. Jediné, co bych mu vytkl, jsou někdy možná až moc dlouhé dialogy i monology, které bych osobně zkrátil. Rozřešení zápletky na konci jsem čekal trochu překvapivějším (detektivnějším) způsobem, ale vzhledem k tomu, že se zřejmě musel držet předlohy, užití principu deus ex machina zde myslím příliš nevadilo.
Mikešův překlad je kongeniální a řekl bych, že vůbec nejlepší, co jsem od něj četl (a to jsem jich opravdu přečetl dost). Překladatel má velkou slovní zásobu, básnické cítění a využívá s přehledem dokonalých rýmů.
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I especially liked Wilbur's preface to the play which dealt with more than the problems of translation! Wilbur's analysis of the plays themes might be more appropriate to an afterword than a preface but I found his remarks insightful.
La obra está bien porque es una comedia distendida, que entretiene y hace reír. Sin embargo, echo de menos al Molière pícaro y burlón que critica a la sociedad sin miedo alguno. Aquí no he podido conectar tanto con la trama, cuyo fin es algo repentino a pesar de todos los equívocos que iban in crescendo, pues se abandona en pos de una finalidad meramente «moralizante», nada en sintonía con el carácter típico del autor; queda en evidencia que la intención de la obra es justificar los adulterios de su protector Luis XIV y, en cierto modo, consolar al marqués de Montespan. Al final, las constantes confusiones y su comicidad, en especial entre Sosia y Mercurio, la salvan, volviéndola agradable.
3.5 stars. A story of Roman Gods playing at their wim with mortal humans... written by a late Renessaince era Frenchman. The story was interesting, and certainly French, but I prefer the ancient's stories of their own gods.
Une pièce de Molière avec toutes ses qualités : humour, bagarre et quiproquo. On croit à la métamorphose et c'est intéressant de découvrir le personnage de Sosie qui fait entièrement partie de la langue française aujourd'hui !
Lecture obligatoire donc bon... On se perdait dans l'histoire mais j'ai bien apprécié le concept de vers libres. Il faut par contre vraiment se concentrer pour comprendre l'œuvre.
No sé pas com deu sonar en francès, però la versió en italià de Patrizia Cavalli és una meravella. Quant al contingut, crec que m'estimo més l'Amfitrió de Plaute.
Very original for Molière, basing something on mythology rather than on an arranged marriage, but not for me. Went right over my head, I fear. Too much impersonation.
Seit langer, langer Zeit endlich mal wieder eine "Pflichtlektüre". In diesem Fall ein Drama, das ich für meinen Kurs "Einführung in allgemeine und vergleichende Literaturwissenschaften lesen muss. "Amphitryon" wurde (laut meiner Ausgabe) 1668 in Paris uraufgeführt. Ich habe gehört, dass das Stück für Molière von daher untypisch sein soll, dass es nicht um französische Adelsmänner geht, sondern dass er seine Komödiantische Moralpredigt im antiken Rahmen, nämlich mit dem "Tatort" Theben und antiken Persönlichkeiten, Götter sowie Menschen, zum Besten gibt. Genau gesagt fängt die Misere damit an, dass der gute Göttervater Jupiter sich in die frisch verheiratete Menschenfrau Alkmene verguckt (oder sie einfach nur heiß findet), deren Gatte Amphitryon sich gerade in der Schlacht um Theben gefindet. Diesen Umstand nutzt er schamlos aus, nimmt die Gestalt von Amphitryon an (seine Neigung zum Gestaltwandeln wird am Anfang von seinem Gehilfen Merkur und der Nacht herrlich parodiert) und schleicht sich so ganz einfach zu Alkemene ins Bett und verbringt mit ihr eine ungewöhnlich lange Liebesnacht (da er zuvor der Nacht befohlen hat, länger zu währen). Am nächsten Morgen verlässt er sie wieder und kurz darauf erscheint der echte Amphitryon und fühlt sich von der verhaltenen Wiedersehensfreude seiner Frau gekränkt. So entsteht grob gesagt ein total theatralischer Ehestreit und totale Verwirrung. Zumal sich Jupiter später wieder einmischt und Alkmene dazu bringt ihm wieder zu verzeihen. Insgesamt ist es also ein heilloses Durcheinander, zumal nicht nur Jupiter Amphitryon die Identität stiehlt, sondern auch Jupiters Gehilfe Merkur Amphitryons Gehilfen Sosias die Identität stiehlt. Meiner Meinung nach ist Merkur wirklich ein hundsgemeiner Kerl, der selber sagt, dass er aus reinem Vergnügen Sosias neckt und ärgert, was sich vor allem auf seine Beziehung zu seiner Gattin Cleanthis auswirkt. Deren Verhältnis schien noch nie das Beste gewesen zu sein, aber Merkur schafft es das Ganze so sehr zu zerrütten, dass Cleanthis Sosias mehrmals droht ihm untreu zu werden. Ich muss sagen, dass ich die Neckereien zwischen Cleanthis und Sosias mit am unterhaltsamsten fand und besonders bei Cleanthis oft laut loslachen musste. Noch besser fand ich aber das Vorspiel zwischen der Nacht und Merkur. Ich habe so gelacht. Wirklich gut, so muss ein Buch eröffnet werden! Obwohl die Götter den Menschen in dem Stück wirklich böse mitspielen, empfinde ich es trotzdem zum größten Teil als sehr lustig. Trotzdem finde ich, dass es im 3. Akt dann doch irgendwann umschlägt und einem das Lachen im Halse stecken bleibt, etwa als Amphitryon für einen Hochstapler gehalten wird, er nicht mehr in sein Haus darf und seine Freunde sich von ihm abwenden. Auf diesen Teil folgt dann aber glücklicherweise die Moral von der Geschicht, als die Götter sich zu erkennen geben und Amphitryon durch den Segen des Jupiters und die Prophezeiung eines Heldensohnes namens Herkules die Umstände wieder gut machen will. Denn dann ist auf einmal alles gut zwischen Amphityon und Alkmene. Die Ehre ist nicht beschmutzt, sondern gerade weil es ein Gott war, mit dem Alkmene ihr Lager teilte, soll alles vergessen sein. Und Amphitryons Ehre ist dadurch sogar noch gesteigert, dass sich der höchste aller Götter seiner Gestalt bemächtigen musste, um Alkmene "rumzukriegen". Platt gesagt heoßt das also, dass sich die Götter alles erlauben können, weil sie eben Götter sind, egal wie verkommen sie sind. Ich muss sagen, dass mir diese kurze Lektüre von ca. 60 Seiten sehr gut gefallen hat. Es war kein Problem sie in einem Rutsch durchzulesen und für das 17. Jahrhundert war die Sprache auch erstaunlich verständlich und einfach zu lesen. Man kann also sagen, dass es sich hier um die perfekte Schullektüre handelt: Wenige Seiten, leicht zu lesen und zu verstehen und dazu noch amüsant und mit einer netten Botschaft am Ende. Was will man mehr? Wenn ihr also dieses Werk auf eurer Leseliste in Uni oder Schule sehen solltet, müsst ihr keinesfalls in Panik verfallen. Ich würde auch unheimlich gerne das Stück mal auf der Bühne sehen. Ich glaube, dass dort die Komik noch viel besser als beim Lesen herauskommen wird. Ich bin jedenfalls gespannt, was wir im Seminar noch darüber sagen werden und wie sich Kleists Version des Stoffes, die ich auch noch lesen muss, hier von unterscheidet.
l'highlight è stato leggere nella prefazione "mancava poco che Molière non divenisse una specie di geniale Rigoletto che irride al signor di Ceprano, marito dell'amante del duca di Mantova" proprio mentre stavo passando per Ceprano in autostrada. poesia.
I have to say, after reading some, from head to toe excellent plays of Molière's, I was disappointed by this one. I'm not saying it's a bad drama, but it leaves a lot to be desired. I was soooo annoyed by the stupidity of almost all of the characters, especially Sosias and Amphitryon. They even admit to themselves both that there is another one of them existing somehow, and they still forget about it when they meet each other or "each other", and instead of stopping and thinking which one it could be, they take everything for granted. It was also pretty disappointing that Mercury and Jupiter chose to reveal themselves so abruptly, without any real reason, or if there was any, it was not written in the play. Especially in the case of Jupiter - he supposedly loves Alkmene, there was not a single scene about him getting bored with her and wanting to chase another lady... and all of a sudden, he reveals himself and gives Alkemen back to her husband? It does not make any sense. However, there were some really funny comic parts, especially from Sosias.
A nouveau une pièce de Molière lue pour un de mes cours et à laquelle j'ai été aussi insensible qu'à mon ordinaire. L'humour de Molière ne m'atteint décidément pas et me laisse de marbre. Le sujet lui-même était assez intéressant : la question du double, du sosie et de l'imposture, mais traité peut-être un peu trop rapidement à mon goût. La fin arrive trop facilement et m'a paru déplacée presque. Quelques aventures supplémentaires ne m'auraient pas déplu. En ce qui concerne la forme versifiée, Molière la maîtrise toujours aussi bien, et les vers se lisent très naturellement et agréablement.
Quand les dieux se mêlent des histoires d'Hommes, cela devient la pagaille, surtout quand il est question de séduire une femme fidèle à son époux. Pas mal, mais c'est loin d'être la meilleure pièce de Molière.