«Jane ne recevait jamais de paquet chez elle. Elle le prit. Solide, rectangulaire et plutôt lourd : sans doute un livre. Elle se battit contre l'enveloppe rembourrée, agrafée et collée. Elle en sortit une chemise en carton jaune. Une disquette tomba sur le sol carrelé avec un bruit sec. La chemise contenait un manuscrit en feuilles détachées. Sur la première page, elle lut :
LE PROBLÈME AVEC JANE roman
Pas de nom d'auteur. Elle regarda l'enveloppe marron : pas de nom d'expéditeur. Le paquet avait été posté à New York cinq jours plus tôt. Elle parcourut rapidement les premières pages. Il s'agissait d'elle. Quelqu'un de bien informé. Le manuscrit comptait trois cent soixante pages et s'achevait sur cette phrase : "En bas elle trouva le paquet avec le manuscrit." À travers ce thriller psychologique, dans un style simple et tendu, c'est une radiographie des rapports amoureux et sociaux dans l'Amérique contemporaine que nous propose Catherine Cusset.
Catherine Cusset was born in Paris in 1963. A graduate of the École Normale Supérieure in Paris and agrégée in classics, she got a Ph.D in Paris and another one at Yale, and she taught 18th-century French literature at Yale for 12 years. She is the author of ten novels published by Gallimard between 1990 and 2013, among which En toute innocence, Le problème avec Jane (finalist for Medicis prize and Grand Prix littéraire des lectrices d’Elle 2000), La haine de la famille, Confessions d’une radine, Un brillant avenir (Prix Goncourt des lycéens 2008) and Indigo. She is translated into 15 languages. The Story of Jane was published by Simon and Shuster in 2001. After 20 years in the States, Catherine Cusset recently moved to London with her American husband and daughter.
Catherine Cussets Roman "Janes Roman" entfaltet eine fesselnde Geschichte, in der die Protagonistin Jane Cook, eine angesehene Professorin für französische Literatur, plötzlich mit einem Manuskript konfrontiert wird, das jedes Detail ihres Lebens akribisch beschreibt. Die Unbekannte oder der Unbekannte hinter diesem Werk offenbart ein beunruhigendes Maß an Kenntnis über Janes innerste Gedanken und ihre intimsten Beziehungen der letzten Jahre. Im Zentrum des Romans stehen vor allem das Manuskript und damit Janes Suche nach beruflichem, akademischem Erfolg und einer liebevollen Beziehung.
Was mich zunächst irritierte, war die leicht angestaubte Atmosphäre des Romans, der vor über 20 Jahren erstmals veröffentlicht und nun neu übersetzt wurde. Themen wie Abtreibung, Heirat und Frauenrolle werden heute in der Literatur oft aus einer anderen, weniger traditionellen Perspektive betrachtet. Teilweise schimmert Kritik an Janes verstaubter Haltung durch, dennoch findet im Roman hierzu eher keine Entwicklung statt. Trotzdem ließ mich die Neugier nicht los, wer hinter diesem Manuskript steckt und wie Janes Geschichte enden würde.
Die Übersetzung enttäuschte mich an einigen Stellen, insbesondere als das N-Wort auftauchte. Es wäre einfach gewesen, eine weniger diskriminierende Formulierung zu wählen, die den Sinn des Textes nicht verändert hätte. Solche sprachlichen Entscheidungen trüben für mich den Lesegenuss und lenken von der eigentlichen Handlung ab.
Trotz dieser Kritikpunkte entwickelte die Geschichte einen Sog. Mit jedem Kapitel wuchs meine Spannung, während Jane versuchte, den Verfasser des Manuskripts zu enträtseln. Die komplexe Dynamik zwischen Jane, den Männern in ihrem Leben und den Verdächtigen hielt mich bis zur letzten Seite gefesselt. Das hatte sogar ein bisschen „Yellowface“-Vibes - vielleicht wurde der Roman deshalb dieses Jahr neu übersetzt? Insgesamt ist "Janes Roman" von Catherine Cusset ein fesselnder, wenn auch inhaltlich leicht veraltet wirkender, sehr französischer und akademischer Beziehungsroman, der den Leser dennoch in seinen Bann zieht.
Jane est Professeur dans une universite des États-Unis. Elle reçoit un livre manuscrit. Ce livre raconte en détail, chronologiquement, sa vie sentimentale. Jane lit ce livre, le lecteur avec elle. Entre chaque chapitre, un chapitre plus court nous dévoile les sentiments, interrogations, suppositions quant à l'auteur de l'ouvrage, de Jane.
Au départ, l'idée est intrigante et on s'assied volontiers avec Jane pour lire et réfléchir. Mais, après plus de 300 pages, on se lasse un peu, car il ne s'agit pas d'un enquête, d'un thriller haletant, mais toujours de ces chapitres du livre qui, grosso modo, répètent la même histoire (Jane à un certain nombre d'ex.) Chacun, à ses yeux est susceptible d'avoir fouillé sa vie pour en tirer le texte qu'elle a devant les yeux. Et, lorsque l'auteur est finalement connu le pétard est mouillé, cela n'a plus vraiment d'intérêt -sans compter que une telle démarche semble trop irréaliste.
Car rien n'a échappé à l'écrivain mystère qui, outre une renquête serrée, imagine les détails et les ressentis de Jane au cours des divers événements toujours au plus proche de la vérité (y compris le nombre d'orgasmes, d'ailleurs ce livre est rempli de trop de sexe trop explicites complètement inutiles) Ce point ne m'a pas aidé à adhérer à la trame.
Donc, ce n'est pas vraiment une réussite.
Cependant, j'ai apprécié lire les aventures de Jane tant affectivement que professionnellement. Même s'il s'agit d'une personne insupportable par manque de confiance, par peur de la solitude, ces mêmes défauts me l'ont rendue attachante, finalement, car elle se débat avec ses échecs, ses espoirs, sa quête sentimentale comme sociale. Laissons ceci à l'auteur : les pages se tournent toutes seules.
Jane est finalement une personne telle qu'on en croise beaucoup. Elle a une situation enviable, mais n'est pas brillante dans sa fonction : elle a la flemme de suivre l'actualité liée à sa thèse en cours d'édition, elle est noyée par le quotidien et ne se préoccupe pas des étudiants. Aimée par son mari, elle le présente comme un joli trophée et retarde par tous les moyens possibles la possibilité de mettre fin à leur relation à distance, par caprice, pour le tester, et lui mène une vie infernale. Entourée d'amis investis et sincères, elle se sent supérieure à son amie qui n'est 'que' assistante sociale, elle trahit étourdiment son meilleur ami en proie à une crise sentimentale cruciale au moment ou pour une fois, il compte sur elle.
Surtout, elle juge le physique, l'orientation sexuelle et le couleur de peau de ses meilleures amies, se plaçant systématiquement au-dessus en tant que blanche hétérosexuels et universitaire.
Comme lu ailleurs, on est loin du talent d'une Joyce Carol Oates.
Il y a donc, dans ce livre, un effet page turner associé au fil des pages à une lassitude et un dégoût liés la personnalité de Jane.
I read this book in French. For the first 2/3 of it I thought it was pretty boring but continued reading as it had been recommended by a colleague who thought I would enjoy it. It does get a little more interesting towards the end as the plot takes an unexpected turn and reveals a rather intricate construction. It was an easy read, but the problem with Jane is that I didn't really care about her and her story...
If you ever wanted to know what it's like to be a tenure-track professor in the French department at Yale (I mean, DeVayne) struggling with a messy love life, read this book. Deeply satisfying
The Story of Jane is a tiresome annoying 450-page read. No wonder is title in French is "The problem with Jane". Yet, I forced myself to finish it, resisting the constant temptation to shut it midway.
What kept me reading was the novel's ingenious premise, laid out in the first few pages: in her building's doorway, Jane - a 30-something French professor in a prestigious American university - finds a package addressed to her with no sender's name. Inside, there's a manuscript. When she starts reading it, Jane is startled to find out the novel is all about her.
Every little event of her work, her love life and her (many) neuroses are told in such great detail that Jane - clueless about who the author is - anxiously flips to the last page: there, the last sentence gives her the chills: ."And downstairs, she found the package with the manuscript."
The idea is great. The rest, not so much - especially not Jane, an irksome character who whines like she breathes. She's so pesky, insecure and neurotic that it's impossible to empathize with her. The best I could do was finish the book and then tuck it away for it never to be found again.
What seemed interesting in the beggining ended poorly. Nice ideea of the plot even though the entire book concentrates over the love life of Jane. The end? Why, how, what? It was rushed. I feel like the entire ,,thriller” genre is tided up in the first pages and the last 5 raws of the book, sadly. Otherwise really simple and choerent writing.
Ich war sehr gespannt auf den vermeintlich neuen Roman der französischen Autorin Catherine Cusset. “Vermeintlich”, da “Janes Roman” im Original schon im Jahr 1999 veröffentlicht, 2001 zum ersten Mal ins Deutsche übersetzt wurde und somit schon 25 Jahre alt ist. Die Handlung entspinnt sich um das Leben der gleichnamigen Hauptprotagonistin. Jane erhält eines Tages ein Paket, in dem sich ein Manuskript befindet, das detailliert von ihrem Leben erzählt. Wer ist der mysteriöse Absender, der anscheinend eine Vielzahl ihrer Geheimnisse kennt?
Was mich am meisten an diesem Buch überraschte, ist, welch großen Raum das Manuskript in der Handlung einnimmt. Wir lesen dieses quasi gemeinsam mit Jane von Anfang bis Ende. Ihre Gedanken dazu und ihre Vermutungen, wer sich hinter dem Absender verbirgt, werden im Vergleich dazu auf wenigen Seiten zusammengefasst.
Ebenfalls überraschend und interessant ist die im Roman enthaltene kritische Auseinandersetzung mit der akademischen Welt und den Schwierigkeiten, die insbesondere Frauen haben, in diesem von Männern dominierten Bereich ihren Platz zu finden. Dass die Autorin selbst als Dozentin in Yale gearbeitet hat, lässt annehmen, dass ihre persönliche Erfahrung ggf. auch einen gewissen Einfluss auf diesen Aspekt der Erzählung genommen hat.
Jane selbst blieb leider stets unnahbar. Ihre wechselnden Liebhaber, die häufige Beschreibung erotischer Szenen, ihre gefühlsarme, empathielose Art wirkten auf mich sehr stereotyp französisch. Einige ihrer Ansichten und Entscheidungen empfand ich zudem als schwer nachvollziehbar und hielten mich zu ihr bis zum Ende auf Distanz. Auch, da ich kaum eine Entwicklung in ihrer Art erkennen konnte.
Ich persönlich hätte mir zudem gewünscht, dass ein stärkerer Fokus auf der Gegenwart und der Enthüllung des Absenders des Manuskripts liegt.
Fazit: Ein gleichermaßen anspruchsvoller wie auch schwieriger Roman. “Die Definition von Glück”, letztes Jahr ebenfalls im Eisele Verlag erschienen, konnte mich weitaus mehr überzeugen. (3/5)
Je trouve ce bouquin dangereux. Jane passe son temps avec des hommes dangereux (soit physiquement, soit psychologiquement manipulateurs, soit misogynes, soit qui s'attendent à ce qu'elle abandonne tout pour leur carrière de merde). Et elle, elle passe son temps entre carpette et oh my God non ma carrière et à pleurnicher tout le temps. Bref. La fin est encore pire. Pour un bouquin sorti en 1999 c'est normal. Mais ça me saoule de voir qu'il a reçu un prix. Restez loin de ce bouquin si vous êtes féministes et/ou que vous avez vécu des trucs compliqués avec les hommes (mais à qui est-ce que ce n'est pas arrivé) pour éviter de vous trigger.
this book was somewhat of an emotional roller coaster. jane pissed me off/stressed me out throughout most of the book but that kind of pushed me to want to read more. prior to reading this book i read some of the reviews and a lot of them mention how bad they thought the ending was but personally I found the ending beautiful. i think the ending is what makes this book special. it's such a sad buy satisfying ending(to me). obviously this book is not for everyone but if you can get past jane's occasional dumb decisions you will enjoy it.
Ein zufälliger Fund der sich leicht lesen ließ, aber mich unglaublich sauer gemacht hat, leider nicht auf eine gute Art und Weise… Die Protagonistin, eine intelligente Frau mit Ecken und Kanten, legt zwar eine angenehme und glaubwürdige Charakterentwicklung hin, aber weder sie noch die Autorin scheinen die furchtbar toxischen und misogynen Freundschaften und Beziehungen die die Protagonistin zu Männern führt zu reflektieren. Auch wenn das Original von 1999 ist, erwarte ich von einer Neuauflage von 2024 eine Überarbeitung rassistischer Stereotype und Beschreibungen, die nicht angebracht sind.
"Janes Roman" ist keine neue Geschichte, sondern stammt von 1999 und wurde bereits 2002 bei Ullstein verlegt. Am 27.Juni erscheint die neue Adaption im Eisele Verlag.
Mit diesem Roman habe ich tagelang regelrecht gekämpft, aber ich habe durchgehalten bis zur letzten Seite und wurde überraschenderweise zumindest mit einem guten Ende belohnt. Ich habe Cussets Roman "Die Definition von Glück" gelesen und war schwer begeistert, mir gefielen sowohl Schreibstil als auch der Plot unheimlich gut. Dieses Werk bereitet mir allerdings echte Kopfzerbrechen, weil ich nicht wirklich zuordnen kann, was mir das Buch eigentlich sagen will. Es ist nahezu klischeehaft französisch, wäre es kein Buch, sondern ein Film, dann mit Sicherheit in sehr gedeckten Farben, intellektuelle aber minimalistische Dialoge, viel nackte Brust... Es ist keine Liebesgeschichte, dafür fehlen Emotionen. Es gibt viel Erotik, ohne dass sie einen berührt. Es ist kein Entwicklungsroman, denn die Hauptprotagonistin entwickelt sich keinen Millimeter weiter: sie hat einen Freund, der ist ihr egal bis er sich von ihr trennt, dann ist sie nahezu besessen von ihm; sie verliebt sich neu, sie wird betrogen oder betrügt, da eine Trennung, da ein neuer Typ, dort ein One-night-stand, hier eine Ehe, ein Seitensprung... und so plätschert es weiter vor sich hin. Trotz aller Intimitäten blieb mir die Protagonistin extrem fremd und unnahbar und nervte mich an vielen Stellen auch gewaltig. Allein das mysteriöse Manuskript, das sie erhält und die Romanform ihrer Affairen ist, hat mich bei Laune gehalten, weil ich wissen wollte, wer das nun geschrieben hat. Das Ende war tatsächlich nicht schlecht, die Auflösung eine Überraschung. Aber leider war es für mich ein etwas quälendes Leseerlebnis, das mich nicht wirklich überzeugen konnte.
While I was reading this book, the thing that stuck out to me the most was how critical I became of Jane. Her life was full of so much drama and yet... nothing happened. Her character has very little personality, and she exercises very little power over her own life. What really kept me turning the page is the mystery woven between each chapter: Who wrote the story of Jane, and had it delivered to her doorstep? She comes up with suspect after suspect, all of them men, and the reader wonders how she has so many people in her past who would want to write a whole book just to make her feel uncomfortably observed. I recommend this one for readers who like A Very Nice GIrl by Imogen Crimp, and Mona by Pola Oloixarac.
I love this story because it's such a puzzling story. The idea and premise of the story is stunningly brilliant, and the suspense in the current day scenes -- trying to piece the clues together -- gave it a mystery-type feel. While, at times it had its Sex in the City-type moments (which is when the book was least enjoyable for me) the ending -- the most important part of any book -- made it very much so worth finishing.
Ma première impression après la lecture de « le problème avec Jane » est une grande déception. En effet j’ai trouvé ce roman Grand prix des lectrices de Elle 2000 très ennuyant et inintéressant, peut-être le plus mauvais de Catherine Cusset. Je me suis forcée pour le finir. Il manque totalement d’originalité et de profondeur surtout le personnage de Jane. C’est du niveau d’un roman de gare. Même le style est mauvais.
Jane, eine Uni-Professorin im Fachbereich Französisch findet eines Tages ein Buch vor ihrer Tür mit dem Titel Janes Roman. Neugierig beginnt sie zu lesen, um festzustellen, dass ihr eigenes Leben detailgetreu wiedergegeben wird. Fasziniert und geschockt versucht sie herauszufinden, von wem sie dieses Manuskript bekommen ist.
Ich fand den Plot, sein eigenes Leben in Buchform zu haben und heraus zu finden, wer es geschrieben hat hoch spannend. Schnell musste ich feststellen, dass 90 % des Romans, die Wiedergabe des Manuskriptes war. Jane liest dieses Manuskript in 3-4 Tagen durch und immer wenn sie innehält, hat sie einen anderen Gedanken, welcher ihrer Freunde oder Feinde es geschrieben haben könnte. Leider fand ich den Roman recht zäh: Jane ist nicht unbedingt sympathisch. Weder als Anfängerin im Uni-Betrieb, arm, schüchtern und immer die falschen Männer findend, noch als gestandene Professorin, verheiratet, die gerade zu arrogant auf mich gewirkt hat. Selbst der Plot-Twist am Ende hat nicht über die Längen hinweg geholfen.
Dieses Buch war irgendwie interessant und ich bin mir immer noch nicht ganz sicher, ob ich es mit 2 oder 4 Sternen bewerten soll. Es hat mich auf jeden Fall irgendwie gefesselt und ich wollte wissen, wie es weitergeht. Auf der anderen Seite war Jane mir total unsympathisch und ihr Leben hat auf mich einfach traurig gewirkt, was wahrscheinlich absichtlich so war. Aber dadurch konnte ich nicht wirklich eine Verbindung zu den Charakteren aufbauen. Durch den (sehr guten) Schreibstil wurde ich sehr auf Distanz zu den Protagonisten gehalten, was eher ungewöhnlich für einen Roman dieser Art ist. Gefallen hat mir die Geschichte trotzdem oder vielleicht sogar gerade deshalb. Die Auflösung hatte ich mir leider etwas anders vorgestellt. Ich hatte auf einen wirklichen Plottwists gehofft und das Ende hat mich jetzt zwar nicht enttäuscht, aber auch nicht umgehauen. Insgesamt ein sehr interessantes Buch, das wirklich mal anders ist, als was ich gewöhnt war, sonst zu lesen.
Une enseignante de littérature française dans une université aux États Unis, recoit un jour un manuscrit dans sa boîte aux lettres. Elle commence à le lire et s'aperçoit que ce manuscrit raconte sa vie à elle, en détails. Elle lit et se demande QUI a pu écrire et lui envoyer ce manuscrit et pourquoi ? Le problème de ce livre c'est que l'héroïne n'est pas attachante. Elle est même assez crispante et on a du mal à s'intéresser à son histoire. La deuxième partie du livre et plus captivante que le début. C'est pas toujours bien écrit mais on ne sait pas si c'est l'auteur, Catherine Cusset, qui écrit comme ça ou si c'est pour discréditer l'auteur anonyme du manuscrit. De plus, le scénario est improbable. Ce "manuscrit" détaille la vie de Jane, l'héroïne, jusque dans ses pensées profondes, son intimité, ses émotions, ses sentiments, forcément inaccessibles à un tiers.
Ich habe echt mit dieser Geschichte gekämpft. Einerseits ließt sich der Text sehr fließend, andererseits fehlt absolut jegliche Emotion. Es wird erotisch ja, aber emotionale Tiefe habe ich irgendwie vermisst. Trotz aller Intimitäten zwischen Jane und ihren diversen Partnern, blieb sie mir extrem fremd und unnahbar.
Allein das Manuskript, das die Romanform ihrer Affairen ist, hat mich bei Laune gehalten. Ich wollte unbedingt wissen, wer dieses nun geschrieben hat. Das Ende war tatsächlich überraschend, die Auflösung nicht schlecht.
"Janes Roman" ist keine neue Geschichte, sondern stammt von 1999 und erschien am 27.Juni als neue Adaption im Eisele Verlag.
Le problème avec Jane était assez amusant. Jane est un personnage assez facile à suivre même si la plupart du temps elle ne sait pas ce qu'elle veut. Pendant la majore partie du livre on voit qu'elle a une tendance à vouloir faire passer ce que les autres veulent avant ses propres désir, ce qui la rend très malheureuse sans que personne ne se rende compte pourquoi. Je ne suis pas très satisfaite avec la fin du livre. Le grand mystère semble un peu forcé et Jane n'a aucun moyen de vérifier si elle a raison ou pas. Le fait que le personnage soit un caractère vraiment mineur dont on ne connaît presque rien avant les derniers chapitres n'aide pas.
It is my second novel by Catherine Cusset. I like the theme of both books I've read so far, the problem of the French intellectual in America, struggling to succeed and usually failing both personally and professionally, in spite of the protagonists' intelligence. They never seem to find their way or fit..
Named Le Monde (newspaper) Best Books of 2002. Has not aged well. Or maybe the humor doesn't land well with me as a man. The observations of humanity reminded me of Sex in the City (tv) and Slaves of New York (book). I did like its simple scope. If you took John Barth The End of the Road and removed the 60's guy thing (Philip Roth, John Updike) maybe you would have The Story of Jane.
J’ai hésité entre un 3 et un 4 4 : ça se lit facilement , ça distrait et l’histoire est pas inintéressante ni le contexte (US, années 90) 3: les allers retours dans le temps avec des phrases parfois mal tournées , des personnages clichés , et j’ai pas trop compris la fin . L’auteur n’a pas assez décrit ce qu’il se passait dans son cerveau sauf que nous ne sommes pas devins
Mon problème avec Jane, c'est que je me suis forcée à le finir pour savoir qui avait écrit le manuscrit, mais que sa vie et ses déboires amoureux m'ont beaucoup ennuyée. Rendue au dévoilement final, je voulais simplement en finir.
C’était cool, dynamique, y avait quelque chose qui me donnait envie de tourner les pages pour découvrir plus la vie de Jane, on s’attache facilement à elle surtout parce que elle est défaillante et pas lisse, on peut se retrouver en elle. Mais une fois terminée je me suis un peu dis, ok et ?