La démocratie dans Globalia est universelle et parfaite, tous les citoyens ont droit au " minimum prospérité " à vie, la liberté d'expression est totale, et la température idéale. Les Globaliens jouissent d'un éternel présent et d'une jeunesse éternelle. Évitez aussi d'être, comme Baïkal, atteint d'une funeste " pathologie de la liberté ", vous deviendriez vite l'ennemi public numéro un pour servir les objectifs d'une oligarchie vieillissante dont l'une des devises est : " Un bon ennemi est la clef d'une société équilibré. " Un grand roman d'aventures et d'amour où Rufin, tout en s'interrogeant sur le sens d'une démocratie poussée aux limites de ses dangers et de la mondialisation, évoque la rencontre entre les civilisations et les malentendus, les espoirs et les violences qui en découlent.
Jean-Christophe Rufin is a French doctor and novelist. He is the president of Action Against Hunger and one of the founders of Médecins Sans Frontières (Doctors without borders). He was Ambassador of France in Senegal from 2007 to June 2010.
Rufin was born in Bourges, Cher in 1952. An only child, he was raised by his grandparents, because his father had left the family and his mother worked in Paris. His grandfather, a doctor and member of the French Resistance during World War II, had been imprisoned for two years at Buchenwald.
In 1977, after medical school, Rufin went to Tunisia as a volunteer doctor. He led his first humanitarian mission in Eritrea,where he met Azeb, who became his second wife.
A graduate of the Institut d'études politiques de Paris (Political Sciences) in 1986, he became advisor to the Secretary of State for Human Rights and published his first book, Le Piège humanitaire (The Humanitarian Trap), an essay on the political stakes of humanitarian action.
As a doctor, he has led numerous missions in eastern Africa and Latin America. He is former vice-president of Médecins Sans Frontières and former president of the non-governmental organization Action Against Hunger.
Je donne trois étoiles plutôt que quatre à ce roman à thèse qui est en plus d'être trop long et ennuyant ne nous dit très peu de nouveau. J'aurai bien voulu lui donner une meilleure cotte car je suis d'accord avec la thèse mais les personnages n'engagent pas le lecteur et l'intrigue est dénué de toute surprise.
La thèse de Rufin est que les sociétés des pays développés s'approchent rapidement de l'état de la tyrannie de la majorité telle que décrite par Alexis de Tocqueville. Dans les sociétés démocrates modernes l'individu tout en étant complètement libre doit se conformer entièrement aux normes de la société. Chaque individu a le devoir de se consacrer à la poursuite de son bonheur personnel. En d'autres termes il ne doit rien faire que consumer. Dans ce contexte, les sociétés démocratiques doivent ériger des murs pour empêcher tout contact avec les pays du tiers monde où les gens sont toujours dans la lutte pour la survie. Si les gens ont de la pitié pour les gens moins bien fortunés ils seront moins aptes à jouer leur rôles de consommateurs. On doit considérés les gens du tiers mondes comme des terroristes afin de justifier les murs que l'on érige.
Je trouve la vision de Rufin assez raisonnable. Le problème est que son roman contient seulement des choses que j'ai vu ailleurs il y a longtemps. Surtout il ressemble énormément au 1984 de George Orwell. Les gens parlent anglobal qui ressemble beaucoup à la novlangue d'Orwell. L'état de Globalia comme l'Océania de 1984 supprime l'histoire. Les non-zones qui est anglobal veut dire "le Tiers Monde" jouent le même rôle que les zones de guerre par procuration dans 1984.
Comme le Pape Jean Paul II, Rufin semble croire que la culture de la mort domine les sociétés modernes. En Globalia on trouve que les vieux sont plus beaux que les jeunes et l'avortement est obligatoire dans la plupart des cas.
Globalia n'est pas un mauvais roman mais il est très loin d'être un chef-d'œuvre. ce sera un bon roman à lire pour se désennuyer pendant un long vol d'avion.
Une lecture en dents de scie. Pendant le 1er tiers du livre, malgré l’amorce intrigante et une mise en place des éléments efficace, je finissais par me demander à quel moment on allait nous donner les véritables enjeux de l’histoire et les intérêts des personnages. Puis au 2/3 mon intérêt a été à nouveau piqué, le rythme était un peu plus prenant, mais la dernière partie n’a été que déception.
Tout reste tellement en surface. Le world building, les personnages, les relations qui les lient… absolument tout est très superficiel. Pire que de ne pas aimer les personnages, ils m’ont tous laissés indifférentes. Ce ne sont que des persona “bateau”, posées là pour faire avancer un scénario peu brillant.
On essaye de nous vendre une romance tragique et intense mais c’est sans âme et chiaaaaant. A part le fait qu’ils veuillent constamment b**ser (parfois dans des endroits et à des moments questionnables), on ne nous montre jamais l’intensité de leur relation au delà de ce désir physique.
Par dessus cela, l’écriture est immature et fait souvent appel à des mécaniques scenaristiques grossières. J’ai dû vérifier l’année d’édition du livre et l’âge de l’auteur, tellement certaines expressions me semblaient “datées” ou mal écrites: "Ne faites pas les imbéciles” prononcé dans un moment de colère par le personnage jeune et rebelle - de nombreuses tournures sont ainsi vieillottes ou trop “politiquement correct” et m’ont constamment sorties du texte. "Son silence ne fit (…) qu’épaissir le silence. "hein?
A plusieurs reprises, des descriptions sexualisantes et gratuites, font soudainement lever les sourcils et détonnent avec le contexte du récit. Parfois tout ça semble bien poussiéreux ou tout droit sortie d’un Wattpad : "il avait quelque chose d’épais dans la mâchoire et dans les lèvres qui le rendait à la fois sensuel et inoubliable." "elle avait serré son harmonieuse poitrine dans un bustier moulant qui laissait apparaître la timide voussure de ses tétons. Les autres femmes lui jetaient des coups d’œil venimeux" pardon??
En conclusion, ça se lit pour contrer un ennui mais quel gâchis de potentiel. Le postulat de base était bien posé et avait bien retenu mon attention mais rien n’est assez exploré pour être véritablement engageant. Avec par dessus une écriture vieillissante et qui parfois frôle le malaisant.
Ich habe dieses Buch in deutscher Übersetzung gelesen und vielleicht war dies der Grund, dass mich die Sprache nicht überzeugt hat - sie war schwerfällig, uninsperiert und über große Abschnitte eher laienhaft wirkend.
Das andere Problem, welches ich mit diesem Buch hab,e ist die fehlende Originalität: Es ist eine Mischung aus Zamjatin's "Wir", "New Brave World", "Fahrenheit 451" and "1984", die etwas genauer von unserer heutigen Zeit extrapoliert wurde. Man konnte viele "geliehne" Motive nennen - es geht so weit, dass sogar die Phrase "Überwachung ist Freiheit" auftaucht.
Warum dann dennoch 3 Sterne? Dieses Buch sagt unsere Zukunft genauer vor, als die Klassiker und wir sind viel weiter auf dem Weg nach Globalia als wir es uns eingestehen (wollen).
Globalia laisse un sentiment mitigé et une légère déception à sa lecture.
Ce roman s'inscrit dans la lignée de 1984 et des théories de Tocqueville, en proposant une réflexion intéressante sur les systèmes démocratiques et la liberté qu'ils prônent. Par ce roman, Rufin interroge avec cette image du système Globalien mais aussi les figures de Baikal et d’Altman ; le capitalisme poussé à ses extrêmes ainsi notamment que l’individualisme, la liberté individuelle/collective, questions toujours actuelles ce qui apporte une vraie réflexion.
Cependant, l'action ne démarre vraiment que dans les cinquante dernières pages, et l'histoire d'amour est étouffée par des détails qui nuisent à la fluidité de la lecture. Bien que le début m'ait plu, il a été difficile de terminer ce livre.
En somme, ce n'est ni une véritable histoire d'amour ni un roman d'action palpitant. Cependant, si vous cherchez à réfléchir sur les questions de liberté, de démocratie et de capitalisme, ce livre peut offrir une perspective intéressante.
Un début de livre me rappelant pas mal de livres sur le même thème: 1984, running man, le meilleur des mondes, etc. Bref, a priori un sérieux manque d'originalité... Ça s'améliore un peu par la suite, car le point de vue est assez différent. Par contre trop de contestation tue la contestation: on ne sait plus bien ce que l'auteur critique ou ne critique pas - le jeunisme, l'hyper-consommation, l'écologie, la mondialisation, ... ? Tant de critiques potentielles! C'est trop! Surtout faites de cette manière grossière... Et ça fait un peu passer l'auteur pour un sacré réac... Et puis les personnages sont incroyablement caricaturaux. Et puis l'écriture est crispante de non-littérature. C'est comme ça, on lit trop, on lit trop de bons auteurs, à l'écriture limpide, bien ficelée, on prend de mauvaises habitudes, et PAF on ne supporte plus une écriture un tant soit peu "enfantine" (par manque de terme plus adéquat). Désolée, Monsieur Rufin... Y a guère que le dénouement qui n'est pas mal tourné (si on oublie le sentimentalisme un peu gnangnan).
Was denn? Schon wieder eine Kuppel, die alles umschließt? Parallelen zu Kings "Arena" wollen sich aufdrängen, bewahrheiten sich aber zum Glück nicht. Die Kuppeln, die "Globalia" umschließen, sind von Menschenhand geschaffen.
Zugegeben, beim Kauf hatte ich nicht erwartet, einen Science-Fiction-Roman zu erstehen und leider kommen die Erklärungen für viele Hintergründe zu kurz, bzw. fehlen komplett, aber Rufin liefert hier solide Gesellschaftskritik und bietet Stoff zum Nachdenken, jedoch in einen Schreibstil verpackt, der nicht so recht mein Fall ist.
Rufin se dedica más a fortalecer la tramoya de su historia que a darle una verdadera intención, lo que hace que el esfuerzo final quede afectado y que incluso decepcione al lector. Una lástima porqué la historia y la definición del relato es interesante en un principio, aunque este se vaya lastrando a medida que avanzan las páginas y se lastre definitivamente en un final decepcionante.
Un distopico non male, gli spunti ci sono, alcune riflessioni sono interessanti ma quante, quante parole.. e quanta poca azione, partito come se dovesse essere un libro svelto, agile si trasforma in una lunga lunga lunga camminata a tratti davvero noiosa
Una rappresentazione efficace di un nuovo ordine mondiale fondato sul superamento dei confini (la geografia assassina delle nazionalità), l'appiattimento identitario, la riduzione della libertà a sfera in cui inseguire desideri artificialmente indotti, l'esclusione delle popolazioni delle Non-zone dai benefici delle zone securizzate, la costruzione del nemico e la capitalizzazione della paura come fattori di mantenimento dell'ordine e della coesione. Come molte narrazioni del genere, la distopia nasce da tratti e tendenze dell'attuale sistema socioeconomico che vengono esasperati (o semplicemente portati alla luce) dall'autore al fine di descrivere le contraddizioni del (nuovo?) mondo rappresentato. Le traiettorie dei singoli personaggi tessono un intreccio che consente di immaginare Globalia da differenti prospettive. Nel complesso un libro interessante di un autore che, sia scrittore che operatore umanitario, ha saputo racchiudere nel romanzo la propria analisi delle distorsioni del mondo contemporaneo.
Déçu, je m'attendais à mille fois mieux quand j'ai commencé ce livre. Il est trop long pour ce qu'il présente, c'est à dire une démocratie trop démocratique, qui limite les libertés de chacun etc.. Ensuite, les personnages qui n'ont aucun caractère, aucun passé intéressant et surtout l'histoire entre Baikal et Kate qui est franchement nulle. Enfin, l'auteur cherche à tout critiquer, la mondialisation par exemple, ou la jeunesse, les exemples ne manquent pas, et au final on s'y perd, à force de critiquer des systèmes le livre devient une critique, non plus un livre ayant sa propre histoire. Bref, ce livre n'est pas vraiment intéressant et très long. Dommage.
Livre lu juste après 1984. Écriture beaucoup plus moderne avec un univers moins plausible, même si les bases du genre (dystopie) sont plus que respectées.
"Globalia" ist ein wirklich interessanter Roman, der auf anschauliche Weise das detaillierte Bild einer fiktiven, fernen Zukunft zeichnet. Der beschriebene Zustand, in dem sich die Welt in dieser Zukunft befindet, soll der einer entfesselten, (neo)liberalen Demokratie sein, deren Bürger*innen zu voll umsorgten Konsument*innen geworden sind. "Freiheit, Sicherheit und Wohlstand" sind die grundlegenden Dinge, die "Globalia", wie sich die demokratische Weltordnung nennt, einem jeden Bürger zusichert.
Die Kehrseiten dieser komfortablen Welt tun sich im Verlaufe des Buches auf, als beschrieben wird, dass eben nicht die gesamte Bevölkerung der Erde diesen zweifelhaften Luxus absoluter Sorglosigkeit genießen kann, denn "Globalia" ist durch eine Glaskuppel von der Außenwelt ("Non-Zonen") getrennt. Sicher nicht zufällig wird "Globalia" vorwiegend auf der nördlichen Halbkugel (USA, Europa, China etc) verortet. Der Wohlstand der einen wird durch die Ausbeutung und auf Kosten der anderen ermöglicht, was sich auch als Verweis auf derzeitige Verhältnisse lesen lässt.
Neben diesem klar herausgearbeiteten Problem, welches nicht einfach nur durch die "real existierende Demokratie", sondern vor allem auch aus einem damit verschmolzenen, absolut entfesselten Kapitalismus erwächst, werden andere Probleme jedoch nur mit einer Unschärfe oder schlicht gar nicht berührt. Vage Kritik am Verlust einer "Authentizität" wird geübt, die aber eher den Beigeschmack konservativer Nostalgie hat, als dass es bspw. das Verschwinden von einer mündigen Haltung in der Gesellschaft thematisiert. Ebenso finden Geschlechter-Verhältnisse so gut wie keine Betrachtung. Die beschriebenen Beziehungen sind immer heterosexuell und Geschlechterrollen recht heteronormativ verteilt, was nicht nur per se, sondern insbesondere in einer so liberal beschriebenen Utopie einfach sehr unwahrscheinlich wirkt. Sehr bedenklich finde ich auch das subtil vermittelte Bild einer kleinen, perfiden Elite, die sämtliche Vorgänge überwacht und lenkt, egal wie zufällig, spontan oder widerständig sie erscheinen mögen. Selbst wenn Elitenkritik wichtig ist, und wenn gegen Ende des Buches ein Mitglied dieser Elite den relativierenden Satz sagen: "Alles läuft ganz von selbst.", wird an manchen Stellen die Verschwörung doch zu perfide, die Wirkungsmacht der einzelnen Lobbyisten doch zu groß. An diesen Stellen wird die Chance einer Kritik an gesellschaftlichen und strukturellen Problemen vertan und stattdessen das Bild einer Verschwörung "von oben" und "von innen" umrissen.
Die kritischen Reflexionen der im Hier und Jetzt existierenden realdemokratisch-kapitalistischen Gesellschaft hätten insgesamt mehr Facetten tiefgehender umfassen können, aber so behält sie ihren Fokus auf dem kapitalistischen Ausbeutungsverhältnis des globalen Süden durch den globalen Norden, an die sich vage Kapitalismuskritiken anschließen. Zugegebenermaßen hätte eine solche inhaltliche Erweiterung womöglich den Rahmen des Buches gesprengt und es zu einer ungleich anspruchsvolleren Lektüre gemacht, was einen großen Vorteil zunichte machen würde, den es hat. Durch seine Kürze und Anschaulichkeit schafft es der Roman, ein Bild zu erzeugen, was zur eigenständigen Reflexion einlädt und unweigerlich eine Positionierung der Leser*innen bewirkt.
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Globalia è una storia ambientata nel futuro, ma i punti di contatto con il nostro presente (il terrorismo, il controllo dell’informazione, la libertà di pensiero soltanto teorica) lo rendono un romanzo drammaticamente attuale, da leggere per riflettere e per provare, se non a cambiare il mondo, a guardarlo con occhi più consapevoli e disincantati. Gli spunti offerti da Rufin sono talmente tanti che è impossibile chiudere il libro senza aver almeno messo in moto il cervello; il problema è che l’autore sembra talmente preso dalla sua deriva “sociopedagogica”, e dalla sua missione educativa, da dimenticarsi che sta pur sempre scrivendo un romanzo, e che al lettore interessa sicuramente la riflessione, ma interessa anche proseguire nella storia. Quest’ultima infatti procede in maniera piuttosto lenta e farraginosa, e lo stile molto descrittivo rende difficoltoso l’appassionarsi ai personaggi. Se poi leggo descrizioni come “il sole si arrampicava da est nuvola dopo nuvola e lembi di luce ancora pallida accarezzavano enormi nubi fisse sulle cui armature d’acciaio sventolavano alcuni pennacchi orgogliosamente bianchi” lo scoramento fa in fretta ad impadronirsi di me. In conclusione, un racconto a mio parere coraggioso, destinato però ai pochi che non si perderanno d’animo di fronte allo stile dell’autore.
Une dystopie intéressante, mais dotée d'un rythme lent et de personnages insipides.
La société futuriste de Globalia, ôde à l'obscolence programmée, à la publicité et à la jeunesse éternelle, était intéressante à découvrir et suffisamment étoffée pour donner du corps au récit. La société plus ou moins arriérée des autres zones était moins développée et aussi moins originale, donc elle ne m'a pas plus marquée que cela, à l'exception de quelques points de détails autour des tribus. L'intrigue, tout en s'appuyant bien sur les personnages et les sociétés, était globalement fade. S'il se passe des choses, elles m'ont semblé de faible intérêt et étaient rarement dynamiques, d'autant que le sentiment d'urgence ou d'angoisse, attendu à certains moments clés, était absent. Côté personnages, le constat va dans le même sens, avec une fadeur constante, personne ne brille par sa personnalité et la romance très médiocre ne permet pas de s'attacher au couple présent. Quelques personnages se démarquent un peu, mais restent sagement à leur place, soit conspirateurs soit "amis", n'apportant pas de profondeur réelle à l'ensemble, si ce n'est pour aider à mieux appréhender les sociétés. Je retiendrais donc juste la dystopie développée, dont la découverte a été agréable tout au long du roman.
Si estás aprendiendo francés, este es un muy -muy- buen libro para empezar. Aunque es verdad que son ni más ni menos que 500 páginas, también lo es que está escrito en un francés más que asequible, con construcciones sencillísimas, ideal para aprender vocabulario y coger soltura lectora.
El principio del libro es realmente apasionante. Un nuevo mundo se nos planta cara a cara con Globalia y nos adentra suave en una nueva distopía completamente verosímil como futuro hipotético de nuestro propio mundo. Sin embargo, la lentitud posterior y la falta de coherencia entre la magnitud del asunto y los pobres desenlaces le restan mucha credibilidad a la progresión de la trama. En definitiva, las ideas de Rufin son originales y están bien enmarcadas, pero les falta historia. Como ensayo, Globalia hubiera tenido mucho más interés: la economía como primer motor de poder, la unificación del mundo siguiendo los intereses económicos, el control de las masas a través de los medios de comunicación, la necesidad de un enemigo común, la eterna juventud conseguida a base de operaciones y el desdén hacia la naturalidad y tantos otros son conceptos que lucen reflexión con los personajes, mientras que la progresión de los eventos resta chicha y encanto.
A schematic and unoriginal variation on the anti-utopian novel in the vein of Huxley and Orwell. Globalia is a global state protected by vast glass domes that stretch over most of the northern hemisphere. Under the domes, life is good: breakthroughs in biomedical science allow citizens to reach ages well beyond 200 years, geoengineering ensures year-round good weather, and a frantic consumerism keeps everyone distracted from the fact that they are not, in fact, free at all. The idealistic young Baïkal dreams of escaping into the so-called non-zones, apparently "savage" areas outside the domes that Globalia wields as a political threat to keep the population in line. I won't sum up the story, which is overlong and frequently exasperating; the author's voice intrudes awkwardly via an unsubtle satire of Globalia's preening citizens and, conversely, through the gushing lyricism of his descriptions of the Fraiseur tribe with whom Baïkal organises a (failed) revolution against Globalia. Easily 150 longer than it needs to be, Globalia is didactic and convoluted, though elegantly written and not without much-needed moments of humour.
Globalia is a dystopian book about democracy, freedom, and big corporations—and what happens when the three collide.
While it doesn't add a lot of unique perspective to what we've already seen, and at times, the storytelling gets a bit sluggish and makes me hope for a faster pace, the book does a good job at pointing out the downside of our hopes of living long, young lives. When most of us are old, the young become seen as a threat.
Avete presente le parole alla fine della sinossi? "...rocambolesca successione di colpi di scena". Ecco. No. In questo romanzo non succede niente di niente, o almeno niente di emozionante. Non ci sono colpi di scena, niente momenti eclatanti, di suspence o carichi di tensione. Quando sembra che stia per succedere qualcosa...niente, non succede niente... http://appuntidiunalettrice.blogspot....
Roman d'anticipation dans un monde globalisé et mis littéralement sous cloche (de régulation de climat) dirigé par les chefs d'industrie où la nature n'a plus aucun droit ni accès. Histoire d'une découverte de "nouveaux¨ territoires (non-zones) et d'une nouvelle forme de vie humaine "naturelle" hors de Globalia, recherche du bonheur et du sens de la vie
1984 altermondialiste au rabais... Ça manque cruellement d'originalité... C'est de l'Orwell pastiché et adapté aux préoccupations d'une société qui a pris un demi-siècle de (mauvaise et amère) bouteille. Mais pour peu qu'on ne soit pas déjà lecteur du Diplo et de Philo mag, on peut s'instruire un peu en lisant cet ouvrage. Quelques arômes exotiques relèvent la fadeur du plat principal.
Le sujet est très intéressant, et je ne m'attendais pas vraiment à la fin. Cependant, l'exécution ne m'a pas convaincue : le texte manque de vie à mon sens et est un peu trop lourd. C'est dommage car l'auteur montre bien la société totalitaire, la manipulation qui en découle et comment même les "rebelles" ne sont pas tellement maîtres de leurs décisions.
Con una copertina di un'attrattiva unica ed una sinossi molto promettente, "Globalia" innalza le aspettative del lettore alle stelle, per poi non rivelarsene all'altezza. Noioso, privo di eventi emozionanti ed inutilmente ingarbugliato - in una parola: sconsigliato.
The not so distant future as I more or less expect it to be, for better or worse that's a perspective issue, focusses on the social and commercial versus technology and environment. Made for ideal light summer reading on holiday in 2013.
La force de JC Rufin réside sans aucun doute dans la qualité de ses intrigues. Le style d'écriture est accessible. Les personnages sont attachants même s'ils ne sont pas toujours exploités au maximum de leur potentiel. Globalia est finalement un roman très agréable à lire, qui aborde des sujets tels que les dérives de la démocratie et le consumérisme sans pour autant tomber dans la prévisibilité des nombreux romans d'anticipation consacrés aux mêmes thèmes.
J’ai lu Globalia pour un projet, à l’école. J’ai trouvé cette œuvre parfaite pour un suivi scolaire, mais pour du loisir, vraiment pas. Je me suis ennuyée quelques fois, à la limite de vouloir passer des moments car la description est vraiment trop présente. Je recommande ce livre quand même, car il est super intéressant et la remise en question est pratiquement constante dans ce livre. Mais privilégiez quelque chose de moins long, et de moins ennuyant ! :)
J'ai eu un peu de mal a m'investir au début, le récit me paraissait "cliché" mais des retournements de situation apparaissent au fur et a mesure, et font que le récit devient de plus en plus intéressant Ce livre est agréable a lire, quelques personnages (comme Fraiseur) sont plus attachants que d'autres Globalement, je recommande plus ou moins ce livre si les mondes dystopiques vous plaisent :)