Six degrés de liberté c’est l’histoire d’une jeune fille qui désire repousser les limites de l’expérience humaine, d’un hacker qui veut optimiser la circulation mondiale des bananes et des coussins, d’une employée de la gendarmerie qui rêve d’en finir une bonne fois pour toutes avec la géographie, d’un conteneur fantôme qui sillonne les mers et les écrans d’ordinateurs, d’un septuagénaire qui perd un boulon, d’une acheteuse compulsive bipolaire, de six perruches et d’un chat intermittent, tous unis dans un jeu de société à l’échelle planétaire dont personne ne connaît les règles. En somme l’histoire d’un voyage qui échappe aux lois de la gravité, au-delà, bien au-delà de ces six degrés de liberté.
Nicolas Dickner est né à Rivière-du-Loup, a voyagé en Amérique latine et en Europe avant de jeter l’ancre à Québec puis à Montréal, où il vit aujourd’hui avec sa famille. Il signe en 2005 Nikolski, qui remporte le Prix des libraires du Québec, le Prix littéraire des collégiens ainsi que le prix Anne-Hébert et qui est, à ce jour, traduit dans une dizaine de langues. Tarmac, son deuxième roman paru en 2009, est également traduit dans plusieurs pays. En compagnie de Dominique Fortier, il signe Révolutions en 2014. Six degrés de liberté est son troisième roman.
Jai haïs ce livre! Pourquoi? Il m'a tenue captive!!! Étrangement, même si les personnages me laissaient un peu indifférentes et que l'histoire ne me rejoignait pas dans les enjeux... La plume de l'auteur est si vive... Nicolas Dickner a su entrer dans ma tête et me happer!
Livre parfait quand on a besoin d'évasion A éviter en fin de session ! ;)
3.5 stars but closer to the 4 stars because the writing was superb, the translation like butter and the characters Dickner created were wonderful. It lost me a little in the middle and by the end it was almost like a "what is the point/meaning here"? What is it that Dickner was trying to show in the end? I really did enjoy reading this one - something completely different from what I would normally read and I loved the characters and the writing - but I lost some interest toward the end.
Thank you to Penguin Random House Canada for sending this one for review. Will this one be on the Giller longlist this year? Is it eligible? I believe this was released before?
If you find this book a bit odd; don't worry it is. I am sure that you also found Montreal a bit peculiar on your last visit. Dickner better than anyone else captures the zeitgeist of Quebec in the twenty-first century. This book is must reading for any English Canadian.
Ce roman assez bien écrit a emporté le prix du Gouverneur Général sans doute parce que le comité de sélection regrettait de ne pas avoir donné le prix à "Nikolski". La vision de Dickner a quand même avancé. Dans "Six degrés de liberté" il fait le constat que la solitude humaine n'est pas seulement un phénomène canadien mais global. Heureusement il croit toujours au pouvoir rédempteur de l'amour.
Ce qui m'a dérangé au début du roman est que Jay, une des protagonistes majeurs du roman, est la doppelgängerin de Lisbeth Salander des " Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes" de Stieg Larsson. Finalement j'ai décidé de pardonner cet emprunt à Dickner. Lisbeth est peut-être l'icône de notre époque. Il faut s'attendre à ce qu'elle paraisse dans biens des romans et de téléseries pour un certain temps.
Quelle belle surprise! J’ai été captivée par cette histoire tellement originale! Je l’ai lu presque d’un seul coup, merci au congé-tempête d’aujourd’hui!
I have to be honest: this book was boring. Sooo boring. The greatest interest I had in it was learning more about container shipping. I recently began working for an intermodal transportation company, but my understanding of the business is still limited.
Lisa and Eric are soul-mates--their story, in essence, a splendid account of Lisa's self-determination. The tone is blue, but a very light blue. A metallic blue--a spark blue. Things aren't all that great, so let's fix them.
'Tis marvelous! As is the way in which Jay, an RCMP employee who remains a mystery throughout the book, learns about Lisa's secret scheme and determinedly intervenes to help.
One-of-a-kind!--and yet, for all that, I have to remark on its close resemblance to one of my other favorite reads: William Gibson's superb Spook Country. "Spook" is more of a sci/fi thriller; but with both works featuring oddball characters, quirky humor, nerdy brilliance and monitored moving shipping containers, the similarities seem so stark I'm almost tempted to send all readers who rated either book five stars a recommendation to read the other.
Un roman particulier, avec des personnages qui veulent juste voir si c'est possible. Et bon, on retrouve quand même un personnage de Nikolski. Juste pour ça, j'étais contente!
Six degrés de liberté, par Nicolas Dickner. Les destins d’une jeune fille curieuse et allumée, d’un hacker agoraphobe, d’une employée de la GRC qui égrène jour après jour le temps qu’il lui reste à occuper son emploi s’entrecroise dans un récit savoureux, à la fois lourd et léger, sur la géographie, la mobilité, la technologie.
La plume de l'auteur est sublime, mais je dirais bien humblement que cette lecture ne m'a pas convenue. Je risque d'avoir oublié le contenant (🤭) demain matin... oopsi.
Un de mes coups de coeur de l'été 22. Une histoire déjantée avec des personnages hauts en couleur et une intrigue bien ficelée et surtout bien racontée. Un auteur que je souhaite absolument relire.
J'ai bingé ce livre si une telle chose est possible en littérature. L’histoire en temps réel de Jay, ponctuée de, on le devinera, flashbacks à propos de Lisa et Éric érige une belle architecture de narration. La saveur internationale des histoires parallèles est fraiche et il fait bon de quitter le Québec. Lisa et Jay, deux beaux personnages féminins, comme je les aime. Les chapitres se succèdent en exposant leurs vies et leurs audaces, sans jugement ni artifice. Au contraire, les commentaires doux çà et là apportent humour et poésie. Rapidement, l’intrigue principale prend forme. Où est se foutu conteneur? On le saura mais les vraies questions demeurent libres de réponse toute faite. Pourquoi Jay risque-t-elle sa liberté pour une enquête qui ne la concerne pas? Quel est l’objectif véritable de Lisa (si elle en a un)? Il y a six degrés de liberté. Six dimensions. Le geek en moi aurait aimé que le roman l'explique. Ou n'ai-je pas compris?
Que j'aime son style, j'avais déjà été charmé par Nikolski, un autre de ses romans. C'est plein de vignettes savoureuses comme l'espionne qui cherche le chemin de Huntington au départ de Valleyfield, si vous l'avez déjà fait vous savourerez comme moi, les noms de rue qui donnent: coin béatitude et allégresse. les perruches, les chambres secrètes, Ikea, la rénovation...Des personnages exotiques mais familiers: le père bricoleur et sa collection d'outils, la mère acheteuse, le junkie de Whippets, etc.Mais la fin tombe à plat, elle est prévisible et pas intéressante.
Wow. A good, intricate plot, very interesting characters, and beautifully written. For some reason this was at the bottom of my reading pile — the back of the book blurb didn’t grab me. I finally read it because it was due back at the library — so I thought I’d give it a try, and then couldn’t put it down.
And an excellent translation — it didn’t read like a translation at all. The author commends him, saying he “gets even my most obscure allusions.”
Every once in awhile you come across a book that defies description and Six Degrees of Freedom is that book. The idea of being able to avoid the limitations of geography is so intriguing. I loved reading it and sad to have reached the end. Thanks to Goodreads for the giveaway.
4/5 J'aime l'écriture et les histoire de Dickner, c'était mon deuxième. Cependant, je l'ai trouvé un peu long, j'ai un peu perdu intérêt en cour de route.
L’histoire d’un duo d’amis d’enfance qui ont des idées scientifiques hors du commun. Ils explorent des concepts de la physique, des mathématiques et du codage par des expériences scientifiques farfelues, qu’aucun enfant de leur âge ne pourrait imaginer.
Leur chemin va croiser une prisonnière, qui travaille pour la GRC pour continuer de purger sa peine en étant utile pour la société. Bien qu’on ne comprennent pas très bien son passé, ce qu’on peut déceler c’est que Jay, de sa nouvelle identité, est admirative du gros coup finale que Lisa et Éric on été en mesure de mettre en place.
J’ai encore du mal à bien comprendre le passé de Jay, avec son ex beau-père Horacio et qu’est-ce que ça ajoute à l’histoire, mais les quelques passages d’espagnol étaient sympathiques.
Aussi, je ne suis pas certaine, mais je pense qu’il y a un parallèle à faire entre la façon compulsive que la mère de Lisa achète des objets chez IKEA, comment ça brime ses relations amoureuses, notre société capitaliste de consommation et l’industrie portuaire d’import export.
Pour finir, j’ai embarqué facilement dans cette histoire qui se déroule entre Montréal et Copenhague en passant par plusieurs autres pays. La fin plutôt douce ne m’a pas émerveillé, mais tout au long du livre j’avais hâte de savoir la suite, un roman parfait pour me divertir pendant mes vacances !
C'est une histoire pour les detectives en herbe, pour les hackers, pour les constructeurs, pours les gens interesses par les systemes de transport, d'expedition et les frontiers. Au centre il ya deux femmes. Une qui a grandi parmis des outils, et qui est capable a construir tout. Et une autre qui tombe sur une enigme qui la reveille et se met a resoudre.
J'ai vraiment apprecie l'intrigue de ce livre. Le terme "claustronaut cookbook" est parfait!
C’est fascinant et intelligemment construit. Un thème à cent mille lieux de mes intérêts habituels mais je me suis surprise à aller Googler des conteneurs maritimes réfrigérants haha. C’est assez épeurant de s’arrêter pour penser à tout ce grand système de commerce, de mondialisation …
C’est comme un immense puzzle, pis tu cherches le dernier p’tit maudit morceau jusqu’à la toute fin.
Not bad. Slow in parts, the ending was kinda meh, and I don't quite get the point of Lisa's plan with the container, but I kinda liked the police chase aspect and Eric and Lisa's GPS balloon int he beginning.
Je n’ai rien à dire sur la plume de l’auteur. Elle est magnifique! Cependant, je n’ai pas tout compris sur les conteneurs et machin chouette. C’était un peu trop poussé pour moi. Je n’ai pas complètement embarqué...
J'ai aimé le style d'écriture, les personnages sont intéressants et l'histoire était quand même plaisante à suivre dans le sens que j'avais hâte de poursuivre ma lecture pour savoir où ça s'en allait mais j'ai été déçu du dénouement. Le concept n'est pas exploité à son plein potentiel et je m'attendais à un punch final qui ne s'est jamais manifesté. Il y a beaucoup d'éléments de l'intrigue qui auraient pu être utilisés davantage et desquels on attendait une suite ou une contribution plus grande au récit mais malheureusement non.
Pas un mauvais livre mais pas de facteur wow qui pourrait justifier une note supérieure à 60%
Une histoire vraiment différente de ce que j'ai l'habitude de lire, et probablement différente de ce qui s'écrit. On reste tout de même intéressé.e, le rythme est bon, et les personnages ont un « je ne sais quoi » qui ajoute quelque chose à l'histoire simple et complexe à la fois!
On dirait que Dickner a lu Stieg Larsson en se disant que ce qui est génial dans la trilogie Millenium ce n'est ni la superbe intrigue, ni la tension, ni la prose effacée mais efficace. Non, ce qu'il aime c'est le personnage improbable de Lisbeth (tiens, on va en rajouter 2-3 couches) et les gens qui passent leur temps à boire du café et manger des gâteaux.
Même si j'ai de la difficulté à ne pas être méchant, je vais avouer que Dickener sait écrire, et il sait maintenir l'attention. Sa prose est agréable, mais il essaie très fort d'être drôle et cute tout le temps. Si racoleur, et si peu profond. En fait, l'auteur donne l'impression d'un gars fort éduqué et fort brillant, mais qui veut te le rappeler à chaque page (au lieu de, tsé, construire une intrigue et des personnages crédibles).
Aussi, Dickner souffre d'un syndrome propre à bon nombre d'écrivains québécois: la franchouillardise (voir Jean Barbe, etc). Kossé ça ce language? À qui veux-tu le vendre ton livre? Lisa est "vannée" ? (au moins 3 fois), des trucs "lovés" (soupir), "siffler" du café (tout le temps) et on passe.
Par contre, j'ai bien aimé la recherche sur l'économie et la logistique des conteneurs, sauf que ça vient tard dans le livre. Anyway: l'idée était bonne, malgré le worship apparent de Larsson, mais les personnages sont si improbables, pas seulement Lisa ou Éric mais Jay aussi: quelle est sa motivation dans toute cette histoire au juste? À l'intrigue déficiente, cette pauvre caractérisation et la présence toujours racoleuse du narateur me font conclure que Six degrés de libertés devrait être lu par des jeunes ados de 12-14 ans, pas plus. Que ce livre ait reçu le prix du GG n'envoie pas un bon signal à notre littérature nationale: le comité aime les gimmicks!
Bien, mais je m'attendais à plus avec le «buzz» que ce roman avait produit. L'intrigue est présente, mais pas très prenante et semble même accessoire par moment. Les personnages ne m'ont pas accroché plus qu'il ne le faut non plus. Les deux points forts de ce livre selon moi sont l'exploration du monde du transport par cargo que j'ai trouvé franchement original et intrusctif, fascinant même. Le deuxième point est le style d'écriture, la plume de l'auteur, qui est capable de rendre une histoire relativement simple très accrocheuse, par son style, ses descriptions et l'âme qu'il met dans son livre. Un bon roman, sans toutefois être un chef-d'oeuvre, mais un auteur que je relirai certainement et avec plaisir.
Dickner est certes un bon conteur. Mais il est question ici de repousser les limites de l'expérience humaine dans ce conteneur intelligent. Or, on y entre à peine! Dickner se contente de quoi, deux pages autour des premiers moments avant le commencement du voyage de Lisa. Et c'est tout. On se sent comment, après plusieurs semaines dans un conteneur? On ressent quoi, physiquement, et au plan psychique? Il y a beaucoup de blabla autour de la mécanique de la chose, bien des noms de ports qui sonnent vachement inconnus. Mais le romancier observe son sujet d'un point de vue objectif, avec distance.
Il n'entre pas dans le coeur de son projet. C'est dommage.
Je suis tombée sous le charme de la plume de Dickner. Mon nouvel auteur Québécois préféré? Possiblement! Il joue dans ce livre avec deux lignes de temps, et deux personnages féminins à la fois réels et hors des clichés féminins, avec brio. Je vais certainement ajouter ses autres livres à ma pile de choses à lire! Ma seule critique? J'avais lu récemment un Cory Doctorow qui exploitait la même idée de base. L'effet nouveauté était donc moins présent pour moi, mais le sera sans doute pour les autres lecteurs!
Een verhaal, drie personages, een personage dat er geen is en toch een grote rol speelt. Een verhaal op basis van een waargebeurd verhaal en een thema dat vandaag de dag meer en meer in onder onze neus geschoven wordt. Automatisering, systemen, flaws en niet weten vs de mens die zoekt, grenzen overschrijdt. Tegelijk realistisch en spannend geschreven. Fijn vakantieboek als je niet wil ingaan op het systemische dat aangekaart wordt en gewoon wil lezen.