Die Silhouette eines Bergfrieds erhebt sich drohend über dem Dorf Sedana. Den Namen des Turms wispert man sich nur ungern zu, und nur die alten Leute im Dorf erzählen gelegentlich Geschichten von mysteriösen Besuchern, deren rubinrote Augen unter Kapuzen hervor blitzen, und von majestätischen Feuerwesen, die zu gewissen Zeiten den Bergfried umkreisen. Noch kennt niemand im Dorf die Wahrheit, weiß niemand von den Adepten, die dort ihr Leben dem sagenumwobenen Phönix gewidmet haben ...
Mathieu Gaborit, né en 1972, s’est imposé d’emblée comme le chef de file des écrivains de Fantasy française avec le succès des Chroniques des Crépusculaires, suivies d’Abyme, Bohème ou encore Confessions d’un automate mangeur d’opium (écrit avec Fabrice Colin). Avec Les Chroniques des Féals, traduites en plusieurs langues, il est revenu à cette Fantasy épique gorgée de magie qui l’a rendu célèbre et dont il a donné une vision unique et fascinante.
Près de trois semaines pour lire un bouquin de moins de 300 pages, c'est dire ce que j'ai accroché… Ayant déjà lu du Gaborit avant celui-ci j'ai été très déçue. Les personnages sonnent creux, l'écriture est d'une platitude soporifique et les bonnes idées se font engloutir par un récit presque systématiquement explicatif et donc lourdingue : tout ce que je déteste dans la fantasy. je ne pense pas lire la suite.
Pour tout vous dire je suis tellement déçu, j'avais aucune attente pour ce bouquin, je me suis lancé sans aucun avis préalable. Et le début m'a énormément plus, j'étais à fond dans ma lecture malgré le fait que à ce moment j'étais malade. Malheureusement, sur les 282 pages à partir de la moitié j'ai complètement décroché, l'univers ne m'intéressait plus, les nouveaux personnages ne me donnais pas envie...
En résumé, je ne compte pas lire la suite, je pensais tellement que j'allais adoré après les 100 premières pages 😢
Le M'Onde imaginé par l'auteur est intéressant et prometteur, malheureusement le récit est banal. Les personnages sont fades et l'intrigue manque cruellement d'originalité.
L'auteur adopte une narration omnisciente et ses changements de point de vue en plein milieu d'une scène sont parfois déroutants. Mais le pire, à mon sens, c'est la manière qu'il a de décrire explicitement les motivations de ses personnages en se mettant dans leur tête, sans faire aucun effort de subtilité. Sans parler de la relation cliché entre Scende et Januel.
Il en résulte un livre médiocre dont la lecture est pénible.
Pénible à lire, les motivations de tous les personnages sont expliquées comme à un enfant de 10 ans. Avec les changements de points de vue, difficile de s'attacher au héros, on n'a vraiment pas l'impression d'être à sa place.
Je n'ai pas réussi à accrocher et j'ai survolé les pages passée la moitié du livre. Je ne saurais pas dire exactement ce qui a cloché. Sur le papier, ce n'est pas mal. Peut-être que je commence à être blasé à force de lire de la fantasy. Je n'ai pas vraiment réussi à m'identifier aux personnages et j'ai eu l'impression d'être en face d'une histoire un peu typique de jeune héros doté d'un grand pouvoir sauvant le monde.
Mathieu Gaborit, après avoir été un des initiateurs de la « NWOFFW » (New Wave Of French Fantasy Writers) par le biais des Chroniques des Crépusculaires et d’Abyme, remet ça avec un nouveau cycle : les Féals que ça s’appelle. Je dois dire que, même si mes souvenirs ne sont plus aussi frais que je le voudrais, Cœur de Phénix est un très très bon souvenir. On y trouve ce qui fait le talent et la spécificité de Gaborit : écriture raffinée, détails d’esthète et soucis de faire transpire chaque page de merveilleux. La relation d’un Phénicier avec son animal est un terreau fertile au déploiement de l’arsenal enchanteur de l’auteur. De très jolies pages émaillent ce premier volume.
Rythm, tension, scope and depth, this book has it all. This is awesome.
The only criticism I could make would be on the character development side, where it feels sometimes that it goes too fast and it's not enough in depth.