Life is short, and Art long; the crisis fleeting; experience perilous, and decision difficult. The physician must not only be prepared to do what is right himself, but also to make the patient, the attendants, and externals cooperate.
Hippocrates of Cos or Hippokrates of Kos (ca. 460 BC – ca. 370 BC) was an ancient Greek physician of the Age of Pericles, and was considered one of the most outstanding figures in the history of medicine. He is referred to as the "father of medicine" in recognition of his lasting contributions to the field as the founder of the Hippocratic School of medicine. This intellectual school revolutionized medicine in ancient Greece, establishing it as a discipline distinct from other fields that it had traditionally been associated with (notably theurgy and philosophy), thus making medicine a profession.
However, the achievements of the writers of the Corpus, the practitioners of Hippocratic medicine, and the actions of Hippocrates himself are often commingled; thus very little is known about what Hippocrates actually thought, wrote, and did. Nevertheless, Hippocrates is commonly portrayed as the paragon of the ancient physician. In particular, he is credited with greatly advancing the systematic study of clinical medicine, summing up the medical knowledge of previous schools, and prescribing practices for physicians through the Hippocratic Oath and other works.
Yazıldığı tairh nazara alındığında, babası gibi doktor olan Hipokrates'in gözleme dayalı bu metnini okumakta ve takdir etmekte fayda olduğunu düşünüyorum. Mutlaka tıbbın gelişimi ile birlikte bazı çürütülmüş hiptezleri olsa dahi, hurafelerden uzak, ve gerçeğe yatkın bir çok temel belirtiyi barındırıyor içinde.
Zamanın ötesinde, çağdaş tıbbın atası olan; büyüyü ve boşinancı, masalı bırakıp akla, deneye, gözleme ve yönteme dayalı bir tıbbın temelini atan Hipokrat'ın çeşitli tıbbi konulara dair söylediklerinden oluşan kitaptaki aforizmaların hepsinin ona ait olduğu tartışmalı olsa dahi; bu kadar zaman ötesinden gelen bu bilgeliğin kıyısından geçmek gerek.
Doktor, böyle kitaplar kalbimde sancıya neden oluyor.
"Aforizmalar"ı, içinde ne olduğunu bilmeden aldım. Birkaç sayfa karıştırınca adının aforizmalar değil, "ampirik veriler ışığında teşhis ve tedavi metotları" olması gerektiğine karar verdim. Çünkü kitap tümüyle bu konu üzerine.
İlk yaptığım iş kitabın sunuş bölümünü dikkatle okumak oldu. Çünkü madem tıbbi teşhis ve tedavilerden söz ediyoruz, Hipokrat'ın önerilerinin bugünün tıp anlayışında geçerliliğini ne ölçüde koruduğunu bilmemiz gerekir. Aksi halde okuduğumuz şey bir masaldan öteye gitmez. Sunuş bölümünde bu hususta hiçbir bilgiye rastlayamadım. Dolayısıyla masal gibi okumaya niyet ettim.
Kitap ne yazık ki bu şekilde de okunmaya müsait değil. Çünkü tümüyle teknik bir eser, üstelik sağlığını korumak insanlara değil doğrudan doktorlara hitaben yazılmış. Dolayısıyla içinde kendinize yarayacak bir bilgi bulmanıza da imkan yok. Adet sancısı geçiren kadınlara hoş kokulu buhar banyosu tavsiyesini saymazsak. Bunu aklımda tutacağım.
İnsanların yorumlarına "Hayat kısa, sanat uzun..." şeklinde başlayan cümleyi insanın başına ağrı saplayacak denli çok yazması sizi yanıltmasın. O sadece tek cümle. Ona benzer başka cümle yok. Emin olun işinize yarayacak başka bir cümle de yok. Bu kitabın tek okunma amacı Hipokrat'ın kurguladığı fizyolojik sistemi anlamak olabilir, o da ne ölçüde işinize yarar bilemiyorum.
M.Ö. 400 yıllarında tıbbın babası olarak kabul edilen Hippocrates tarafından alınan notlarla hazırlanmış olan "Aphorisms / Aforizmalar", tıp bilimin nereden nereye geldiğini gösteren canlı bir kanıt niteliğinde adeta. Hippocrates'in sadece gözlem ve araştırmalarına dayanarak hastalara yardım ettiğini okuduğumuz eserde bir sürü doğru kabul edilen bilginin doğal olarak şimdi zaman aşımına uğradığını görüyoruz. Yine de bir takım bilgilerin hala geçerliliğini yitirmemesi gerçekten hayranlık uyandırıcı. Rivayete göre öldükten sonra bile şifa dağıtmaya devam eden Hippocrates'in "Aforizmalar"ı oldukça çağ dışı belki; ama zamanında hastalıklarla nasıl savaşıldığını okuyucuya sunması sebebiyle kendi içinde oldukça büyük bir değer taşıyor. Antik Yunan edebiyatı severler mutlaka bir göz atmalı.
"1.3. Chez les athlètes, un état de santé porté à l'extrême est dangereux ; car il ne peut demeurer à ce point, et, puisqu'il ne peut ni demeurer stationnaire, ni arriver à une amélioration, il ne lui reste plus qu'à se détériorer. C'est pourquoi il faut se hâter de faire tomber cette exubérance de santé, afin que le corps puisse recommencer à se nourrir ; il ne faut cependant pas pousser l'affaissement à l'extrême, car ce serait dangereux; mais le porter à un degré tel que la nature de l'individu puisse y résister. De même les déplétions poussées à l'excès sont dangereuses, et à leur tour les réplétions poussées à l'extrême sont dangereuses"
1.14. Dans l'âge de croissance, on a beaucoup de chaleur innée; il faut donc une nourriture abondante; autrement le corps se consume; chez les vieillards, au contraire, il y a peu de chaleur innée, voilà pourquoi ils n'ont besoin que de peu de combustible (d'aliments) (11), car une trop grande quantité l'éteindrait; c'est aussi pour cela que les fièvres ne sont pas aussi aiguës chez les vieillards [ que chez les jeunes gens ], car leur corps est froid.
1.18. En été et en automne, les aliments sont très difficilement supportés, en hiver très facilement; vient ensuite l'été
2.11. Il est plus facile de réparer [les forces] avec des boissons [alimentaires] qu'avec des aliments solides.
2.15. Quand le pharynx est malade et quand des abcès apparaissent sur le corps, il faut examiner les excrétions, car si elles sont bilieuses, le corps participe à la maladie [et il ne faut pas donner d'aliments]. Si elles ressemblent à celles des gens en santé [le corps n'est pas malade et] on peut nourrir le corps en sûreté.
2.38. La boisson et la nourriture un peu inférieures en qualité, mais plus agréables, doivent être préférées à celles de meilleure qualité, mais qui sont moins agréables.
2.43. Les pendus détachés de la potence, quand ils ne sont pas encore morts, ne reviennent pas à la vie s'ils ont de l'écume à la bouche (37). 2.44. Ceux qui sont naturellement très gros sont plus exposés à mourir subitement que ceux qui sont maigres.
2.49. Ceux qui sont accoutumés à supporter des travaux qui leur sont familiers, les supportent plus facilement, quoique faibles ou vieux, que ceux qui n'y sont pas habitués, quoique forts et jeunes.
2.50. Les habitudes de longue date, quoique mauvaises, sont ordinairement moins nuisibles que les choses inaccoutumées ; il faut donc changer quelquefois [ses habitudes] en des choses inaccoutumées
2.54. Une taille élevée et noble n'est pas disgracieuse dans la jeunesse, mais dans la vieillesse, elle est incommode et plus désavantageuse qu'une petite.
3.1.Ce sont surtout les vicissitudes des saisons qui engendrent les maladies, et principalement dans les saisons les grandes variations de froid, de chaud et aussi, par la même raison des autres qualités
3.8. Dans les saisons bien constituées, où chaque chose arrive en son temps, les maladies marchent régulièrement et se jugent très bien. Dans les saisons mal constituées, les maladies marchent irrégulièrement et se jugent difficilement.
3.9. En automne, les maladies sont très aiguës et en général très meurtrières. Mais le printemps est très salubre et la mortalité n'y est pas considérable.
3.18. Quant aux saisons, c'est au printemps et au commencement de l'été que les enfants et ceux qui se rapprochent de cet âge se trouvent le mieux et jouissent de la meilleure santé. Pendant l'été et le commencement de l'automne, ce sont les vieillards; pendant le reste de l'automne et pendant l'hiver, ce sont les personnes d'un âge moyen.
4.2. Évacuez avec les médicaments purgatifs les matières dont l'issue spontanée soulage [en pareille circonstance] ; mais faites cesser les évacuations qui ont un caractère opposé. 4.4. En été, il faut surtout purger par en haut, en hiver par en bas
4.21. Les déjections noires, semblables à du sang noir, qui viennent [depuis longtemps] spontanément, avec ou sans fièvre, sont très mauvaises. Plus la couleur en est dépravée, plus elles sont mauvaises. Quand il en est ainsi par l'effet d'un purgatif, c'est meilleur. Alors, quelque variété de couleurs qu'elles présentent, elles ne sont pas funestes.
4.49. Dans une fièvre qui n'a pas d'intermission, si la lèvre, le sourcil, l'oeil, la narine se dévient; si le malade, déjà affaibli, ne voit plus, n'entend plus, quel que soit celui de ces signes qui apparaisse, la mort est proche.
4.78. L'apparition spontanée du sang dans les urines, indique la rupture de quelque petite veine des reins. 4.79. Chez ceux dont les urines déposent des matières sablonneuses, la vessie ou les reins contiennent des pierres. 4.80. Si les urines contiennent du sang et des grumeaux, s'il y a de la strangurie, et s'il survient des douleurs au périnée, à l'hypogastre et au pubis, c'est un signe que la vessie et ses dépendances sont malades. 4.81. Si on rend avec les urines du sang, du pus et des matières furfuracées, et si elles ont une odeur fétide, c'est une preuve que la vessie est ulcérée.
5.39. Quand une femme qui n'est ni enceinte ni nouvellement accouchée, a du lait, ses règles sont supprimées. 5.40. Chez une femme, un afflux de sang sur les mamelles présage la manie. Note du traducteur : Galien doute de la vérité de cet aphorisme, du moins dans la pratique ordinaire. - Étienne, p. 465, dit que Galien déclare cet aphorisme faux; mais il ajoute : « Comme Hippocrate n'a pu se tromper, il faut admettre que nous n'avons pas vu ce qu'Hippocrate a vu quelquefois. »
5.48. Les foetus mâles sont surtout à droite, les femelles à gauche. 5.50. Si vous voulez arrêter les règles d'une femme, appliquez sur les seins une ventouse aussi grande que possible.
5.60. Si les menstrues apparaissent [en abondance] chez une femme enceinte, il est impossible que le foetus se porte bien.
5.61. Chez une femme, si les menstrues manquent sans qu'il survienne ni frissons ni fièvre, et si elle éprouve des nausées, jugez qu'elle est enceinte.
6.10. Chez celui qui a une douleur locale et chez celui qui a des douleurs générales à la tête, un écoulement d'eau ou de sang par les narines, ou par la bouche, ou par les oreilles, résout la maladie
6.23. Si la crainte ou la tristesse persévère longtemps, cela tient à la mélancolie.
6.43. L'éternuement survenant chez un individu pris de hoquet le fait cesser."
Yapılan çalışmalar sonrasında Hipokrat'a ait olduğu varsayılan aforizmalar derlenmiş. Hipokrat'ın tıp bilimine yaklaşımını anlayabilmek adına güzel bir kaynak kitap.
Hipokrat modern tıbbın atası sayılıyor ama ondan bugüne kesintisiz bir gelişim çizgisi olduğu düşünülmesin. Arada çok uzun ve karanlık bir dönem var. Biz daha ziyade modern tıp ondan feyz almış, onu idol seçmiştir desek daha doğru olacak sanırım. Bu kitaba gelirsek, aslında hastalıklar ve tedaviler, metodlar üzerinde gayet ayrıntılı ve teknik bilgiler veriyor. Yani tıp bilgisi olmayan sıradan okuyucuya hitap etmeyen bir kitap, yine de tarihi değeri sebebiyle okunmalı.
Modern tıbbın babası olarak bilinen Hipokrat'ın yaşadığı dönemde hastalığı doğaötesi sebeplere yoran anlayışa karşı hastalığı akılcı bir yaklaşımla açıklaması isminin günümüze kadar gelmesini sağlamış. Günümüzde hala hekimler ve diğer sağlık çalışanları mesleklerini onurla uygulayacaklarına dair Hipokrat yemini ederler. Çok önemli bir isim olduğuna şüphe yok fakat yine de kitapta geçen aforizmalarından bazıları akıl alır gibi değil. Bazılarını not alıp eklemek istedim.
Sayfa 37, 42. aforizma: "Erkek çocuğa gebe kadınların teni güzel olur, kız çocuğa gebe kadınların teniyse çirkin." Sayfa 38, 59. aforizma: "Bir kadın gebe kalamıyorsa ama gebe kalıp kalamayacağını öğrenmek istiyorsan, onu örtülere sarıp altından bir tütsü ya; eğer koku bütün bedenini geçip ağzından ve burnundan gelir gibi oluyorsa, bu kadının kısırlığı kendisinden kaynaklanmıyor demektir." Sayfa 43, 32. aforizma: "Kekemeler genellikle müzmin ishale yakalanır." Sayfa 50, 43. aforizma: "Bir kadın iki elini birden kullanamaz."
Quick read, highlighting the beginnings of medicine as observed. Aphorism comes from the Greek word meaning definition, and such general truths, which is really what they are, form an interesting read, however, I did expect more. Expectations are a funny thing. I used to say to someone long ago that all we needed to do was lower our expectations.
Bir defada okunabilecek, bana kalırsa aynı cümlelerin tekrarlandığı bir aforizma kitabı. Çeviride ise hoşlanmadığım noktalar var. Örneğin; "müzmin" yerine "kronik" kelimesi hastalıkları belirtmede daha uygun olabilirdi.
Okay. Some of the rules of medicine are interesting; many are outdated, but some still hold somewhat true for today. The best line of the book is the first - read it, then put this down and find a new book to read