Épouser l'ennemi ou le condamner à mort ?Des cris, une explosion, le dôme d’énergie qui vacille… Ceylan, la cité la plus sure au monde, est attaquée. Au cœur du chaos, Arcana découvre le vrai visage des ennemis de son peuple. L’un d’eux, un Saëlien aux iris rouges, est capturé. Déterminée à échapper aux fiançailles orchestrées par son père, la jeune femme décide d’épouser l’ennemi. Un choix qui va bouleverser sa vie et le destin des deux peuples. Pour survivre à Saël, Arcana devra ouvrir son cœur et son esprit.Si vous aimez les dystopies post-apocalyptiques ou la fantasy orientale avec de la romance et des héroïnes au caractère bien trempé, ce livre est pour vous ! La jeune femme devra affronter de nombreuses épreuves pour assurer sa survie. Quand la raison s’oppose au cœur, quelle est la meilleure décision à prendre ? Et comment faire quand celui, qui devrait pourtant être votre allié, décide de vous mépriser ? Action, amour et trahison s’enchevêtrent pour proposer de longues heures de lecture riches en émotions.NB : Ce livre a été écrit comme une histoire entière. Il peut donc se lire indépendamment des tomes 2 et 3. CE QUE LES BLOGS DE LECTURE ONT DIT DES LARMES DE SAËL ✭✭✭✭✭ « J'ai été scotchée du début à la fin, terriblement addictive, cette histoire est juste magnifique, trop belle et surtout permettant à chacun de s'interroger sur le monde qui nous entoure » (STEPHANIE ALLANIC OSWALD BLOG)✭✭✭✭ « Arcana et Ashkan vont vous emmener et probablement emporter une part de votre cœur avec eux. Je me suis régalée. J'ai frémi. J'ai eu peur parfois. Je m'attendais même à devoir détester l'auteure pour ses choix. Mais elle a su tellement bien y faire que j'ai été prise dans le flot de ses mots » (LES PASSIONS D’AELY)✭✭✭✭ « J'ai beaucoup aimé ce rapide à lire, avec un style très fluide et des messages forts surtout […] Enfin, nos personnages évoluent bien et la fin est fort bien trouvée. J'ai beaucoup aimé cette remise en question des deux modes de vie, cette idée qu'un grain de sable puisse changer tout un rouage. » (LA BIBLIO DE LU)✭✭✭✭✭ « J’ai découvert la plume aiguisée de l’auteure avec un plaisir présent du début à la fin de ce roman. Elle sait évoquer avec finesse des problèmes actuels de notre société à travers une histoire pleine d’imagination et des personnages attachants. Le pillage et la répartition des ressources mondiales, le gaspillage des privilégiés, les abus des pouvoirs, les limites de la communication, la solidarité… tous ces thèmes sont présents mais avec subtilité. Elle a trouvé cet équilibre entre le roman dépaysant, la romance légère et une morale à son histoire, les dosages sont parfaits » (LES CHRONIQUES DE CELESTE)✭✭✭✭✭ Les larmes de Saël est un bijou, c’est aussi la découverte d’une plume sensationnelle » (LA LECTRICE COMPULSIVE)
"Les larmes de Saël" de l'auteure française A.D. Martel est une très belle épopée dans un monde dystopique qui se déroule plusieurs centaines d'années dans le futur où les continents actuels ont disparu et où, d'un côté, des gens vivent dans une société hyper technologique, issue des forces hydrauliques de l'eau qui coule à profusion, et de l'autre côté de Ceylan, cette cité hyper protégée, il existe des peuples qui crèvent de soif et de faim...
Arcana, notre héroïne, fait partie des nantis. Elle est fille unique et chouchoutée comme une princesse par une mère aimante et un père haut placé qui a énormément d'ambition. Des peuples qui vivent au-delà des frontières, elle ne connait que ce qu'on lui a appris à l'école....A savoir que ce sont des sauvages, des ennemis de Ceylan qui menacent leur richesse et leur technologie....
Par un drôle de concours de circonstances, Arcana va un jour prendre partie pour Ashkan, un jeune homme qui fait parti de ces peuples "barbares" et qui était venu tenter un acte terroriste avec d'autres jeunes saëliens comme lui....
Notre héroïne va devoir quitter Ceylan pour vivre auprès de celui qu'elle a choisi d'épouser (pour lui sauver la vie...Et aussi pour éviter le mariage arrangé par son père...).
Et c'est à partir de ce moment-là que tout ce que connaissait Arcana, toutes ses certitudes vont voler en éclats. La jeune femme va découvrir la vie très rude du peuple de Saël, qui fonctionne sur le système du matriarcat...C'est qui est l'exact opposé du fonctionnement sociétal de Ceylan.
Dire que j'ai été happée par ce livre est un euphémisme....j'ai vraiment adoré suivre les aventures d'Arcana, qui est une fille très volontaire et sûre d'elle (à Ceylan, elle était parfois agaçante avec son côté "pimbêche") mais une fois parmi les Saëliens, et la famille d'Ashkan, son sale caractère va se révéler être une force parmi toutes les épreuves qu'elle va subir et l'accueil pour le moins "froid" du clan de son époux, vu qu'elle est considérée comme une étrangère, voire pire, comme une ennemie.
Les personnages secondaires sont très importants dans cette histoire. Notamment Donya, la grand-mère d'Ashkan, ainsi que Mina et Zachary, la soeur et le frère de notre beau Saëlien.....Pour ce qui est de la romance entre nos deux héros, ça va mettre du temps à arriver, l'auteure fait monter la pression car, tout comme Arcana, nous ne comprenons pas trop le comportement froid et distant d'Ashkan qui semble vraiment "détester" la jeune femme.
Notre héroïne va devoir apprendre à vivre avec les lois et coutumes de ce peuple qui ont une existence totalement opposée à Ceylan.....
Evidemment, dans ce monde imaginaire, qui m'a un peu fait penser à "Une braise sous la cendre" de Sabaa Tahir, de par son ambiance, il est difficile de ne pas faire de parallèle avec notre monde réel, même si parfois, les codes sociétaux étaient totalement opposés (comme par exemple, avec les femmes qui vivent libres à demi-nues à Saël, et les hommes qui doivent se couvrir de la tête aux pieds et qui sont parqués dans une sorte de harem - pour la plupart - et qui ne sont considérés que comme des reproducteurs pour ce peuple de guerrières amazones....)....
On comprend bien les messages que veut nous faire passer l'auteure, notamment par rapport aux problèmes géopolitiques qui opposent toujours les pays riches avec les pays pauvres. Et surtout, ce problème de l'eau, ou plus exactement de la rareté de l'eau, qui pourrait devenir une réalité et un problème majeur dans notre futur....
Son analyse de l'accouchement est également très "féministe" puisque, en effet, dans nos sociétés modernes (et en parallèle, à Ceylan, dans le livre), les femmes doivent accoucher allongées sur une table, alors que la nature voudrait plutôt que la femme s'accroupisse et marche au maximum pour faire avancer "le travail"....(J'en sais quelque chose car j'ai deux enfants, dont la 2ème, j'ai accouché un 14 juillet alors l'anesthésiste n'était pas dispo pour une péridurale...). A saël, ce sont les femmes qui accouchent les autres femmes. Donya, la grand-mère d'Ashkan est une experte et va de clans en clans pour accoucher les femmes. Et Arcana lui sera d'une grande aide et sera prête à prendre le relève un jour quand Donya ne sera plus là. Ce savoir ancestral se partage de génération en génération de femmes. Il n'y a que dans nos sociétés modernisée où ce sont les hommes - qui n'ont aucune idée de l'enfantement - qui gèrent cela....Mais comment être le plus empathique possible quand on n'a jamais eu d'enfant....C'est très inapproprié de la part de ces hommes de dire aux femmes "ça va aller, vous allez supporter cette douleur", quand eux-mêmes ne la connaîtront jamais....Bref...
Bref, cette histoire est brillante par sa construction narrative, la profondeur des personnages (notamment Arcana, qui évolue tellement tout au cours du récit....Il ne faut pas oublier qu'elle n'a que 17 ans au début du livre !), mais aussi par les aventures vraiment très prenantes que vivent nos héros....Les quiproquos, les trahisons, les réconciliations, les moments de joie, mais aussi de tristesse s'enchaînent pour notre plus grand plaisir de lecteurs !
Et pour les âmes romantiques (comme moi), ne vous inquiétez pas, l'auteure nous sert une belle romance qui est, certes, très lente à éclore, mais comme on dit, plus c'est long, plus c'est bon !
Vous l'aurez compris, "Les larmes de Saël" est un coup de coeur pour moi et je vous conseille vraiment sa lecture !!!
Avis Septembre 2021 : Quelle agréable surprise ! C'est en farfouillant le site Audible.fr que j'ai trouvé ce titre. J'ai tenté le coup par curiosité. Bingo. J'en sors conquise et très satisfaite. J'ai tout aimé : l'univers de fantasy orientale, les personnages, l'histoire. Tout est captivant. Le rythme est prenant. Je ne regrette vraiment pas cette découverte.
Jusqu'à son dix-huitième anniversaire, Arcana menait une existence privilégiée dans la cité de Ceylan. Seule ombre au tableau : la perspective d'un mariage arrangé. Mais suite à une attaque terroriste, la jeune femme agit sur un coup de tête. Elle déclare vouloir épouser l'assaillant pour lui sauver la mise. Cet inconnu - un Saëlien du nom d'Ashkan - lui voue pourtant une haine farouche. Mais son choix n'est pas sans conséquence. Arcana est bannie de sa cité et doit quitter sa famille pour s'installer dans une tribu ennemie (qui lui réserve un accueil tout aussi venimeux).
Malgré tout, Arcana s'accroche et a trop de fierté pour abdiquer. Elle tient tête à la vieille Donya (la grand-mère du clan) et maudit la petite Mina pour les pires crasses subies. Même son mari la fuit. Seule dans son coin, Arcana se sent isolée et incomprise comme jamais. Il n'y a que le doux Zachary pour lui montrer un peu de compassion. Et une jolie bergère, ensorceleuse et espiègle. Il lui faudra donc une bonne dose de patience, d'écoute et d'observation pour cerner le fonctionnement des Saëliens et peut-être trouver sa place parmi eux.
La mise en place va demander du temps (et c'est très bien ainsi) ! L'installation d'Arcana, son évolution, sa relation avec Ashkan et les membres du clan, tout se construit sans hâte. On découvre d'abord une Arcana pimbêche et morveuse (elle vient de tomber de son piédestal et doit se reconstruire un mode de vie loin, très loin de son éducation). C'est beaucoup pour elle qui vivait dans un monde sous cloche. Même son couple lui inspire incompréhension et regret. Du moins, il lui faut dompter l'animosité de son époux et gagner sa confiance. Un rude challenge.
Mais je suis clairement tombée sous le charme de ce premier tome. C'était simple, efficace et entraînant. J'avais sans cesse envie d'y revenir dès que je mettais en pause mon livre audio. Il va sans dire que je lis la suite dans la foulée.
J’ai tout simplement adoré ! Ce fut une lecture rafraîchissante, simple et originale à la fois, traitant plusieurs sujets très importants pour moi, avec une critique très bien amenée du patriarcat, de l’égoïsme des Hommes et du peu d’intérêt qu’ils portent aux terres qui les entourent. Arcana était agaçante au début mais son évolution a été parfaite car on a bien pu voir toutes les étapes de sa remise en question. Les autres personnages étaient très attachants, surtout Zachariah qui était le vrai rayon de soleil de ma lecture !
Une dystopie avec un lore intéressant, une plume très fluide et des personnages attachants, proposant chacun une dynamique intéressante avec Arcana. Si j'ai été un peu dubitative au début de ma lecture car Arcana était très superficielle, son évolution de personnage était superbe ! Le livre est assez bien rythmé pour qu'on ne s'ennuie pas et propose deux sociétés qu'on pense très différentes... Mais qui ne le sont peut-être pas tant que ça. Un joli contraste qui permet la réflexion.
http://alys-read.over-blog.fr/2020/09... Je remercie A. D. Martel pour la découverte de son premier tome que j’ai adoré ! L’intrigue est bien mené, la découverte des deux mondes qui s’opposent bien décrit, la lecture est fluide et les personnages attachants. Arcana vit à Ceylan et ne connait rien d’autre que cette bulle qui entoure la ville. Il y fait beau, ni trop chaud, ni trop froid, chacun est libre de faire ce qu’ils veulent, une technologie protège la ville des « méchants » saëliens. Jusqu’au jour ou la ville est envahis par ces fameux étrangers que personnes n’a réellement vus. Arcana, qui est une vrai tête de mule va protéger et épouser l’un deux et se faire châtier de sa ville natale. C’est la que l’aventure commence. La ville de Ceylan est spectaculaire, la technologie qu’il utilise grâce à l’eau des cascades est super intéressante. Les pouvoirs que cela prodigue pourrait bien sauver le monde entier ! J’adore la dystopie et cette univers m’a rappeler pourquoi je l’aime tant. On peut penser que Ceylan est un petit paradis que les dirigeants protègent leur ville et leurs habitants des sauvages mais au fils du roman au découvre que le coté dystopie est bien présent et que les méchants ne sont pas ceux que l’on croit. Lorsqu’Arcana commence sa vie à Saël, on découvre un autre monde ou les habitants essayent de survivre. J’ai adoré suivre la découverte de Saël avec Arcana. Les lieux ne font pas vraiment rêver contrairement à Ceylan mais j’ai aimé leurs simplicités. Les débuts d’Arcana dans le petit village de son époux est assez intense, elle se fait martyrisé et peux de gens appréciés qu’elle soit là. Sauf Zachary et Salma qui l’aident à s’habituer à sa nouvelle vie. Il se passe énormément de chose dans ce premier tome, la découverte de Saël est la plus importante. Leur façon de vivre est totalement différente de ceux que la jeune fille est habituée. Tout m’a intrigué, l’histoire des larmes sur le visage des femmes, pourquoi il y a aussi peu d’hommes, qui contrôle Saël… La fin du roman est juste parfaite, j’ai hâte de découvrir ce qu’il y a derrière Ceylan et Saël. Arcana est égoïste, impulsive et pourris gâté au début du roman, elle a toujours connu le confort et la vie rêvé sur Ceylan et pensait réaliser tous ceux qu’elle a toujours voulus. Son impulsivité va la mener dans bien des galères. J’ai plutôt bien aimé ce personnage, elle évolué dans le positif et va faire de nombreuses bonnes choses pour les Saëliens. C’est un personnage attachant surtout lorsqu’elle devient amie avec Salma et Zachary. Celui-ci est adorable. Il est le seul à accepter Arcana malgré son passé. Il lui arrive beaucoup de mauvaise chose, mais heureusement qu’il a sa famille pour le soutenir. Ashkan, l’époux d’Arcana est plutôt impatient et plein de haine envers les gens de Ceylan. Ça se comprend. Ce n’est pas une histoire d’amour au premier regard et tant mieux. Arcana se croit irrésistible, sa m’a fait sourire le nombre de fois ou il l’a repoussé. J’aime aussi beaucoup Donya, la doyenne et Mina la petite morveuse qui joue des tours à Arcana. Bref, ce roman à été une magnifique découverte. L’univers dytopique est très bien développé et les personnages intéressants. J’ai hâte de découvrir la suite de cette saga et en apprendre encore plus sur le destin de Saël.
En lisant le résumé, je ne m’attendais pas du tout à une telle histoire, ce qui m’a agréablement surpris, et à probablement contribué à forger un avis si positif.
Tout d’abord, je ne peux que souligner l’univers que l’auteure a réussi à nous proposer. Ce dernier est extrêmement bien construit. A la lecture des premiers pages, on a l’impression de le découvrir tout entier par la ville de Ceylan, présentée comme paradisiaque. Mais en avançant, on découvre que l’on a fait que gratter la surface ! Chaque lieu possède une belle descriptions qui nous plante directement le cadre de cet univers très original par son côté manichéen de prime abord.
Comme de bien entendu, ce côté manichéen disparaît au fil de la lecture et de la découverte du récit. Mais tout d’abord, je me dois de souligner l’originalité de cette histoire. Alors certes, certains détails sont assez prévisibles (mais changent tout de même de ce dont on aurait pu s’attendre), mais l’histoire nous surprend dans sa globalité et sa finesse, malgré ce que l’on pourrait croire à la lecture du début qui est pour moi un peu trop longuet.
Mis à part ce léger détail, on peut vraiment dire que l’auteure maîtrise parfaitement son roman. En effet, elle arrive à créer une véritable atmosphère sur laquelle tout repose, une atmosphère magique sans qui rien dans toute cette histoire n’aurait un rendu si poétique, ce qui la rend complètement unique. Et, entouré de poésie, le message qu’elle nous délivre est également parfaitement maîtrisé. Certes il ne choque peut-être pas le lecteur dès la lecture, mais c’est en repensant à cette dernière que ce dernier va prendre conscience de toute son importance, et de sa puissance dans le récit complet.
Viennent ensuite les personnages qui, même s’ils semblent un peu banals dans l’ensemble, ressortent tout de même avec quelques traits les mettant en valeur. De plus, le personnage d’Arcana, la jeune fille que l’on suit tout au long du roman, évolue et ce dans le bon sens. Bien qu’elle soit difficile à appréhender au début selon moi, elle s’ouvre peu à peu au monde extérieur qu’elle méprisait au début (chose qui avait tendance à m’exaspérer). Ainsi, elle découvre que ses certitudes dont on la martelait depuis toujours n’est qu’une partie de la réalité, déformée par son confort.
Et c’est bien à cause de ces dernières que les relations d’Arcana avec tout le reste des personnages se retrouvent complètement biaisée. Et de ce fait, comme nous suivons uniquement son point de vue, ces dernières apparaissent comme intrigantes, surtout par rapport aux autres personnages. Ainsi donc, notre rêve se réalise enfin lorsqu’aux aussi s’ouvrent à Arcana, et donc à nous, pour nous donner un aperçu de leur point de vue, chamboulant complètement le point de vue d’Arcana. Et pour moi, ce chamboulement est un peu trop abrupte, puisqu’elle change du tout au tout. Alors certes on lui a ouvert les yeux, mais j’aurais aimé avoir quand même un cheminement un peu plus long, bien qu’il ne doit pas précipité.
Je remercie A.D. Martel pour cette lecture. Avant que l’autrice vienne vers moi, je ne la connaissais pas vraiment, j’avais vu vite fait son titre passer deux trois fois sur instagram. Pourtant, c’était tellement dommage, car ce que j’ai découvert en lisant ce livre est une plume extrêmement addictive !
Arcana est une jeune fille qui vit à Ceylan, une des cités les plus sûres du monde. Elle vit sa vie normalement. Elle fait partie de la haute société de Ceylan avec son père qui est ingénieur. Le problème, c’est qu’on lui met la pression, car elle arrive à l’âge où elle doit choisir ce qu’elle souhaite faire pour le reste de sa vie. Pourtant, aucune des options qu’on lui offre ne lui convient.
C’est alors que son père va lui dire qu’il a promis sa main à un des bons partis de Ceylan. Ainsi, elle n’aura pas à trouver une orientation et pourra vaguer à faire ce qu’elle veut de son temps. Même si elle sait qu’au fond l’union qu’il propose l’arrange plus lui qu’elle.
Mais alors que tout a l’air d’aller pour le mieux depuis des années à Ceylan, la terre va se mettre à trembler. Ils apprendront plus tard qu’ils auront été attaqués par leur plus grand ennemi : les Saëliens. Sauf qu’Arcana veut échapper au mariage forcer de son père. Arcana sent que cet homme qu’on condamne sans même un jugement ne mérite pas la mort. Arcana veut s’opposer à tout ça ! C’est ainsi qu’elle va décider d’épouser cet homme, qui représente tout ce que son peuple déteste plus que tout, qui représente l’ennemi !
J’ai adoré le style d’écriture d’A.D. Martel. C’était tellement addictif, que je ne pouvais lâcher le livre. Chaque fois que je le posais, je n’avais qu’une hâte, le remettre entre mes mains. C’est ainsi qu’en une journée, je l’ai complètement dévoré !
L’univers qui nous est proposé est riche et addictif. J’ai adoré le personnage d’Arcana, j’aime les héroïnes fortes et qui ne se laissent pas faire. J’ai aimé découvrir ce monde dystopique qui nous promet encore de belle chose pour la suite ! 😉
En bref, c’est un premier tome vraiment captivant et je n’ai qu’une hâte : savoir ce qui se passera dans le tome suivant. Il y a tellement de révélation vers la fin, on se pose tellement de questions, qu’on a envie de savoir, de comprendre, d’en lire encore et encore. J’ai très très hâte de pouvoir retrouver Arcana ! 😉
Ce roman est juste génial. J’ai plus qu’adoré, il a été un gros coup de cœur. J’ai d’abord été attirée par la couverture, qui est magnifique, puis le résumé m’a intrigué ; je me suis donc lancée. A.D.Martel nous plonge dans un monde reconstruit après la déchéance de celui que nous connaissons aujourd’hui. On est immergé d’abord dans une société riche et évoluée (en ressources, en technologies…). Puis elle nous fait découvrir une société complètement à l’opposé de celle-ci, où les habitants se battent pour leur survie, où ils ne prennent que ce dont ils ont besoin... J’ai beaucoup aimé la manière qu’a l’auteure de nous montrer le contraste entre la richesse de Ceylan et la pauvreté de Saël. Ce monde qui cherche à être différent de l’ancien suit en fait la même voie. : des territoires plus ou moins riches aux classes sociales plus ou moins aisées. On est plongé dans ce monde par le biais d’Arcana, notre personnage principale. J’avoue que j’ai eu un peu peur au début d’être irritée par celle-ci, jeune fille capricieuse, superficielle, habituée à son petit confort. Et puis au final je l’ai adoré. L’élément déclencheur arrive rapidement, lui montrant la face cachée de sa vie facile et faisant apparaître un nouveau fond (de justice) en elle. Au fur et à mesure du roman celui-ci va s’imposer sur son caractère égocentrique. On est donc témoin de la grande évolution d’Arcana qui est maniée à la perfection par l’auteure. Donya, Zachary, Mina et Ashkan, tout ce petit clan m’a attendrit. Même s’ils apparaissent odieux avec elle (sauf Zachary) on comprend leur ressentiment face à une femme faisant parti du peuple responsable de leur misère. Arcana fini par s’imposer auprès des Saëliens et leur inspire le respect, ça m’a réchauffé le cœur. Au fil de notre lecture on rencontre évidemment d’autres personnages qui attirent notre sympathie ou au contraire la repousse fortement. A.D.Martel nous fait vivre cette aventure et ressentir de nombreuses émotions à travers son personnage. Sa plume est juste addictive, elle nous rend accro à son univers et à ses personnages ; c’est pourquoi j’ai eu du mal à quitter tout ce petit monde à la fin du roman. Je comprends mieux pourquoi ses lecteurs ont réclamé une suite ! Vous l’aurez compris : ce roman est une pépite ! Je vous le recommande à 100 %.
Avec ce titre, je sors totalement de ma zone de confort. Le résumé était intriguant mais la couverture est absolument sublime et m’a totalement charmée. Je suis très contente d’être sortie de ma zone de confort pour découvrir ce texte.
Arcana va voir sa vie entière changée en un clin d’oeil. Suite à une explosion, Ceylan va être chamboulée. Une attaque de la part de Saël, elle est face à un regard rouge et se lie avec Ashkan. Sa nouvelle vie sur les terres pauvres de Saël, alors qu’elle ne connaissait que richesses sur Ceylan, va la mettre à rude épreuve. Mais elle sera prête à tout pour montrer sa valeur et sa force.
Moi, qui n’aime pas les héroïnes normalement, j’ai été très étonnée par le personnage d’Arcana. Au départ, une jeune fille assez imbu d’elle-même et capricieuse. Mais au fur et à mesure de notre lecture, on découvre une jeune fille déterminée, prête à tout et surtout une battante. Un coup de coeur pour elle !
Ashkan est le héros mais reste assez secondaire. Pourtant, son attitude m’a plu. Je l’ai beaucoup aimé. Surement le côté mystérieux. J’espère le voir plus souvent ou en tout cas qu’il s’imposera un peu plus prochainement.
Je ne suis pas adepte des Young Adult, et mes lectures dystopiques peuvent se compter sur les doigts d’une main, mais ici l’auteure traite ces sujets avec expertises. Un travail de recherche fabuleux. Une histoire développée, addictive et originale. Débuter ce livre, c’est ne plus vouloir le quitter. Je lirais d’ailleurs le tome 2 avec grand plaisir.
Une autoédition comme je les aime. Un titre qui montre la force de la plume de l’auteure, un genre magnifiquement travaillé. Un très bon moment de lecture.
Que ce soit l’univers, les décors, les intrigues et les personnages (principaux et secondaires), tous se lient. Des émotions fortes, des montagnes russes. Un premier tome qui annonce une saga addictive. Très belle découverte que je recommande à tous.
Les larmes de Saël est une dystopie young adult, mélangeant également de la romance, de la science-fiction et des aventures. Elle se déroule dans un futur lointain où les conséquences de notre société actuelle pourraient tout à fait être plausibles.
J’ai découvert Arcana, une jeune femme vivant à Ceylan, une cité remplie de techologie, de confort et de sécurité. Dès le début, j’ai été plongée au cœur de l’univers de l’auteur et n’ai pas eu le temps de m’ennuyer. Une décision impulsive, une trahison, et voilà qu’Arcana se retrouve à suivre un saëlien froid et insensible dans un monde qu’elle ne connaît pas. Son physique ne laisse aucun doute sur ses origines et les saëliens sont austères envers elle. Arcana devra affronter bien des épreuves, s’adapter, grandir, et elle va découvrir des vérités difficiles.
Son évolution est incroyable, j’ai adoré. Plus j'avançais, plus je comprenais le fonctionnement de Saël qui est une société matriarcale, à l’inverse de Ceylan qui est patriarcale, mais aussi les raisons qui font qu’elle l’est devenue. Je me suis énormément attachée au frère d’Ashkan et à la grand-mère au caractère acéré. Et il y a Ashkan, cet homme qu’elle a épousé sans même le connaître pour lui sauver la vie. J’ai apprécié que ça n’aille pas trop vite entre eux, ça n’aurait pas été cohérent, et mon cœur a fondu par la suite (on l’attend ce moment et on l’apprécie encore plus quand il arrive.)
L’intrigue est prenante, pleine de rebondissements et de personnages surprenants. La trame est vraiment bien ficelée, je ne pouvais jamais deviner ce qui allait se passer. Ce premier tome est un coup de cœur, la fin est étonnante et je me réjouis de pouvoir écouter le tome 2 et de voir ce que l’auteure nous réserve pour la suite.
Je remercie l'auteure pour l'obtention de ce service presse, je suis ravie d'avoir eu l'opportunité de le lire.
La couverture est je trouve vraiment sublime, je trouve qu'elle a un peu côté "Prince of Persia" ( Je suis peut-être la seule lol) en tout cas elle change des couvertures sue l'on voit en général sur les oeuvres dystopiques.
"Les larmes de Saël" est un bijou, c'est aussi la découverte d'une plume sensationnelle.
Bien que ce soit une dystopie, je trouve que l'auteure parle de thèmes de notre vie quotidienne: la peur des autres, l'incompréhension entre les différentes cultures et autres préjugés...
Dans ce roman, A.D.Martel nous propose un univers détaillé plus que fascinant, on ressent le travail de l'auteure autant que la passion de l'écriture et le plaisir de satisfaire les lecteurs.
Nous faisons la connaissance de personnages intéressants, Arcana bien sûr notre héroïne, une adolescente qui a du caractère, de la personnalité.Elle évolue tout au long du livre et à la fin elle n'est plus du tout la même qu'au début.Mon petit chouchou est Ashkan, le personnage masculin principal du roman, c'est bien simple j'aime tout chez ce garçon mais tous les personnages de cette histoire sont attachants.
Ce roman possède toutes les qualités que l'on recherche dans un bon livre, il est captivant, plein de rebondissements, d'aventure, d'amour et d'émotions.
"Les larmes de Saël" se démarque des nombreuses dystopies grâce à sa richesse et sa profondeur, un roman à lire absolument!
Je me suis laissé emporter par cette lecture avec plaisir. L'univers est captivant. C'est un récit beau et intense.
Curieuse de découvrir ces deux cultures. Tantôt effrayée, tantôt touchée, je me laisse porter par les découvertes sur les deux communautés et leur histoire qui m’intrigue. C'est passionnant. Les personnages récurent sont tous plus complexes qu'il n'y paraît et c'est plaisant de discerner leurs qualités et leurs travers. J'aime beaucoup ce clan qu'elle découvre et intègre. D'ordinaire, même si j'apprécie tous les protagonistes principaux, j'ai quasiment toujours un.e chouchou. Ici, c'est tout le clan mon chouchou : la grand-mère, les deux frères, l'orpheline et notre exilée. Même la vache Yalu attire ma tendresse. Ils ont gonflé mon cœur d'émotions et d'espoirs. Alors même qu'ils sont parfois insupportables, ils me sont très attachants.
Un roman que j’ai dévoré, tout simplement. J'aime les dystopies parce que j'y trouve toujours, entre les lignes, une mise en avant des travers de notre société. J'ai apprécié ce que j'ai trouvé dans celle-ci. Cette interprétation m’est propre, mais je vous la partage. Je vois Ceylan, la ville comme la communauté, tel une parodie de notre société actuelle. Alors que Sael me paraît l'expression d'un avenir possible où les ressources seront rares et notre planète devenue aride. Cela m'inspire aussi une caricature “pays développé vs tiers monde”. Dans les deux cas, je partage le sentiment d'Arcana : une terrible injustice face à laquelle un grain de sable est le début de quelque chose.
La fin me laisse pleine d'espoirs et de rêves. J'ai besoin de savourer mon ressenti, de maturer les pensées que cette lecture a fait naître.
Arcana est une jeune fille riche de la cité. Bientôt majeur, ses parents la presse pour faire un choix pour son futur. Quand une attaque sur la cité lui offre l'échappatoire rêver pour éviter le mariage arrangé par son père, elle décide de choisir de s'unir à l'envahisseur saélien. Mais sa joie d'avoir annihiler les projets de son père est de courte durée car elle a oublié que dans son monde, la femme appartient à l'homme. Elle se retrouve donc bannie et doit quitter le royaume avec Ashkan. Son époux ne la remercie pas de ce sauvetage bien au contraire, Et c'est avec difficulté qu'ils rejoignent Sael. Dans ce Nouveau Monde Arcana rencontre des gens durs, froids, et elle a pour seul allié le petit frère de son époux et une jeune paysanne. Mais la jeune fille n'est pas au bout de ses découvertes : et si tout ce qu'elle croyait savoir n'était que des mensonges? Et si toutes ces croyances étaient loin de la réalité ?
Un roman très agréable, le fantastique est la, très bien détaillé, on plonge dans ce royaume inconnu ou on découvre petit à petit les tenants et les aboutissants de l'histoire. Les personnages sont vraiment très différents et attachants à leurs façons bien particulières. Et que dire de cette fin...😱 Je vous laisse découvrir!😉
Les Larmes de Saël est ma troisième lecture du partenariat avec Les plumes de l’imaginaire. Pour rappel, il s’agit d’un groupe sur Facebook rassemblant des autrices autoéditées ou hybrides qui s’allient pour promouvoir leurs romans et échanger avec les lecteur.rices. N’hésitez pas à nous rejoindre. Ce roman fait partie d’une saga en trois tomes. Toutefois, il peut se lire comme one-shot. En effet, l’écrivaine n’avait pas prévu d’en faire une série et malgré la fin, il se déguste très bien en solo.
Arcana réside dans la ville prospère de Ceylan protégée du monde extérieur par un bouclier. L’air, les températures, les énergies sont mesurés au millimètre près pour en faire un havre de paix où les habitants puissent vivre sans crainte. À l’approche de l’âge adulte, elle ne sait toujours pas ce qu’elle souhaite pour l’avenir. Ce choix lui est enlevé par trois faits : son père qui veut la marier, l’explosion qui endommage le cœur de Ceylan et le jugement des terroristes devant la population. Mues par ses envies de liberté, elle s’engage à épouser avec Ashkan selon les lois à l’étonnement de toute la citée. Leur union à peine célébrée, ils sont expulsés à Saël. Arcana va devoir apprendre à survivre dans ce Nouveau Monde aussi austère que galvanisant.
A.D. Martel propose un univers mêlant le post-apocalyptique et la fantasy orientale. On comprend qu’une catastrophe et des guerres ont propulsé la terre à l’époque où se déroule le récit. Mis à part Ceylan et Saël, on ne sait rien des contrées alentour. Et pour cause, les citoyens de la première ville demeurent à l’intérieur d’une bulle de protection contrôlée dans sa globalité et possédant une technologie avancée. Les connaissances d’Arcana découlent uniquement de ses professeurs et du gouvernement. C’est pourquoi, elle va débord découvrir Saël à travers ses préjugés qui vont tomber au fur et à mesure qu’elle appréhende le territoire et son fonctionnement empreint d’orientalisme rustique avec son soleil de plomb et le clanisme, mais aussi la signification à la fois terrible et belle des larmes de Saël.
Vous l’aurez compris, les deux nations sont l’opposée l’une de l’autre. La prospérité de Ceylan est contrebalancée par un système politique profondément patriarcal, qui régule le quotidien et la vie de ses citoyens par des mesures strictes telles la loi de l’enfant unique et la gestion des cultures raisonnées. Toutefois, la cité exploite la denrée la plus précieuse avec excès : l’eau. Leur technologie repose entièrement sur elle. Chacun possède un bracelet, une sorte de montre connectée, qui permet de contacter ses proches, prendre des notes ou activer les passerelles entre la basse et la haute ville. Il s’agit d’un outil de dépendance dont Arcana arrivera à se priver sans trop de mal.
Saël, quant à elle, a une politique presque matriarcale. Je dis presque, car les hommes ont un pouvoir décisionnaire conféré par leur statut spécial et involontaire. Le peuple vit en tribus sous la tutelle d’une assemblée d’anciennes. La vie ou plutôt survie est archaïque, la technologie n’existe pas et l’eau est précieuse.
Arcana se retrouve donc confrontée à un changement radical suite à sa décision d’épouser Ashkan et sa naïveté ainsi que son égo démesuré. Cette prétentieuse fille de conseiller possède une haute estime d’elle-même et un caractère fort. Je crois n’avoir jamais rencontré un pareil personnage au cours de mes lectures. Durant le premier chapitre, je ne l’appréciais pas du tout. Dès le deuxième, je l’ai adoré, adoptée. Pourtant, elle revêt toujours son côté princesse aux penchants superficiels et capricieux, mais sa soif de liberté et son courage pour se dresser face à l’adversité (son père représentant l’autorité parental et gouvernemental pour son statut), puis les politiciens, m’ont tout de suite subjugués. Aucune incohérence ne se glisse dans son personnage. Son caractère fort se révèle nuancé et logique, bien qu’elle pèche aussi par orgueil. D’ailleurs, la confiance en ses capacités va en prendre un coup quand elle se rendra compte qu’on la manipule. Malgré cela, elle ne baissera jamais les bras. Elle évoluera au fil de ses contacts avec sa nouvelle famille dont les relations sont tendues au début et des habitants de Saël. Les erreurs parcourent son chemin d’apprentissage et d’intégration. Erreurs qu’elle n’avouera pas toujours à haute voix, mais qu’elle prendra à cœur de réparer. Un comportement bien plus efficace qu’une faute confessée, d’autant plus qu’il reste cohérent avec sa personnalité et lui confère une part d’ombre réaliste.
Les autres protagonistes sont tout aussi profonds et nuancés, surtout les féminins que j’adore. Commençons par les masculins : Ashkan est ténébreux est intriguant. Toutefois, son côté bougon et ses problèmes de communication m’ont un peu refroidie. Son petit frère, Zachary est l’exact opposé grâce à sa douceur, sa compréhension et cette timidité adorable. Donya est la matriarche du clan. Sa langue ferme et sévère convient aux vieilles femmes qui doivent porter l’honneur et le respect des leurs, en dépit des années et de la méchanceté qu’elles ont vécues. Enfin, nous avons le troisième membre de la famille, la mutique et espiègle, Mina, qui se révèle touchante derrière la solitude qu’elle subit en raison de sa différence.
L’autrice aborde de nombreux thèmes et les consolide grâce à son savoir d’historienne. Elle emploie la fameuse gloire des vainqueurs qui embellissent leur victoire en dissimulant leurs exactions et leurs horribles stratégies. Dans le roman, chaque détail a son importance, même ceux qui semblent les plus anodins comme les sculptures du ministère de Ceylan. L’endormissement de la population sous couvert de bien-être, l’assouvissement des femmes, mais aussi des hommes. Elle opère un inversement plus qu’intéressant, je vous laisse découvrir de quoi je parle, car je n’ai pas envie de spoiler.
En bref, A.D. Martel m’a conquise avec ce premier tome qui a grignoté mes heures de sommeil. Les larmes de Saël nous plonge dans un univers oscillant entre science-fiction et fantasy orientale teinté des couleurs de l’importance de l’intégration dans une nation étrangère, l’ouverture d’esprit, le féminisme et le respect.
dès les premières lignes, la plume de l'auteur a su m'accrocher et j'ai trouvé l'univers hyper interessant et il m'a de suite happée. Puis, j'ai rencontré une héroine detestable au possible et j'ai eu peur que cela ne me gâche ma lecture. Les premiers chapitres avaient quelques longueurs mais je pense qu'elles sont dues à la mise en place de l'univers, qui est super bien travaillé, et qu'il est important de bien comprendre ( car on ne découvre la cité de ceylan que sur peu de chapitres). Et puis, à partir du départ d'Arcana, l'héroine, pour Saël, j'ai totalement été entrainée : nous allons comme elle découvrir cette citée, ce peuple, les coutumes et nous allons de surprise en surprise tout comme elle ... et on s'attache à elle ! Mais aussi aux personnages secondaires, qui sont tous très bien travaillés avec un caractère fort. J'ai vraiment adoré ce roman, prise de rebondissement en rebondissement, souffrant pour notre héroine ... l'auteur a su, à travers lui nous envoyer des messages de féminisme, des messages sur les différentes sexualités ... j'ai trouvé qu'il y avait de beaux messages dans ce roman !
Un petit YA rapide et sympa même si pas unique ou exceptionnel. Il est plaisant à lire.
Au début l’héroïne est volontairement hyper agaçante: superficielle, égoiste, égocentrique, bornée et se croyant plus intelligente que tout le monde on se dit qu'on ne va pas la supporter. Mais le fait qu'elle doive épouser son ennemi et se faire à sa vie va la faire beaucoup réfléchir et évoluer. C'est ce qui rend le récit intéressant. Ses changements sont bien maîtrisés et au moins on a a faire à une gamine de 17 ans qui se comporte comme tel et a les illusions de son âge, souvent brisées par la vie. Le roman aborde des sujets vraiment intéressants: l'écologie, la technologie, la surconsommation, l'égoïsme des pays développés envers ceux défavorisés, le racisme, la peur de la différence, etc. Au début on se dit juste que c'est une lecture légère et facile mais le dernier tiers nous donne une claque et nous fait réfléchir. Les personnages sont attachants. Ce n'est pas l'intrigue de l'année, on reste sur des conflits politiques qui séparent deux peuples, mais c'est bien mené. La lectrice d'Audible est agréable à écouter malgré des voix masculines parfois pas top. Bref : Je vais continuer!
Une bonne lecture dans l'ensemble, dans un univers vraiment intéressant et intriguant. L'action est bien dosée, tout comme les moments de révélations, et j'ai été prise très rapidement dans le récit !
L'intrigue et les enjeux m'ont bien plus, en plus de personnages assez sympa à découvrir. Arcana possède une bonne évolution, on ressent bien qu'elle mûrit de part l'expérience qu'elle vit, et ça m'a rassuré (car par moment, au début, elle avait un côté un peu agaçant, qui s'explique, qui n'en était pas moins agaçant 😅). Je me suis retrouvée prise par sa cause, avec l'envie de suivre ses aventures et voir où elles la mèneront ! Je regrette de ne pas m'être attachée plus que ça à Ashkan, cependant, je l'ai trouvé un peu transparent, finalement. Peut-être est-ce parce que ce n'est que le premier tome, je ne sais pas, mais il ne m'a pas paru très présent 🤷🏻♀️ Quant à Zackary, il est super attachant, et Mina aussi sur la fin !
Par rapport à Ashkan "peu présent", j'ai regretté le changement qui m'a parut brutal dans sa façon de voir son mariage avec Arcana. J'ai trouvé que c'était dommage de ne pas avoir développé un peu plus leur rapprochement 👀
En somme, un univers que j'ai vraiment aimé découvrir, avec de belles descriptions, une plume fluide et prenante, et parsemé d'actions 👌🏻 Maintenant, j'ai très envie de découvrir la suite 🙌🏻
e suis très mitigée sur cette lecture. Du positif et du négatif se mélange, me laissant sur un sentiment en demi-teinte.
En effet, d’un côté nous avons un univers que j’ai vraiment beaucoup apprécié. Il s’agit d’une dystopie post-apocalyptique qui se démarque des autres selon moi. Ce face à face entre deux cités diamétralement opposées, l’une semblant être un idéal, l’autre un désastre qui finalement s’inverse pour montrer les défauts et les qualités de chacune d’elle. J’ai énormément apprécié le cheminement qui menait à ça qui était amené progressivement.
En revanche, j’ai beaucoup plus de mal sur les personnages et les événements du récit.
Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages quel qu’ils soient. J’ai pratiquement détesté Arcana jusqu’à la fin et je ne trouve pas son évolution très bien amené… La relation Arcana et Ashkan avait beaucoup de potentiel mais elle n’était pas suffisamment appuyée au début, et sur la fin, le tournant qu’elle prend me semble complètement sorti de nul part.
Durant l’entièreté de ce premier tome, j’ai attendu l’évènement perturbateur. Celui qui viendrait mettre en difficulté nos protagonistes. J’arrive à identifier ces événements une fois le récit terminé, mais durant ma lecture je ne l’ai pas ressenti comme tel. Ils n’étaient pas suffisamment source de stress, de peur pour nos personnages et pour nous. Ils réussissaient trop facilement à s’en sortir. Ce ressenti est il dû à mon non attachement aux personnages ? Je ne saurai le dire.
La fin de ce premier tome ne m’invite pas à lire d’urgence la suite. Le premier tome aurait très bien pu n’être qu’un tome unique que cela ne m’aurait pas surprise. Cependant, je lirai tout de même les deux autres. Ils existent et c’est forcément pour nous raconter quelques choses. J’ai tout de même hâte de les lire pour comprendre l’engouement que je perçoit autour de cette saga.
Je ne peux pas donner mon avis sur l'œuvre, car j'ai abandonné dès le début. Je trouve l'héroïne insupportable. Je sais que ça peut offrir une superbe évolution et j'aime suivre un personnage sur la voie de la maturité, mais là, le ton de l'histoire est beaucoup trop immature à mon goût. Et bien trop contemporain aussi. Honnêtement, je n'ai pas eu l'impression d'être dans un autre monde et l'héroïne m'a plus fait penser à la peste superficielle et clichée d'une série pour adolescents, sans intérêt.
Bref, l'écriture et l'héroïne que je n'ai absolument pas envie de découvrir ou de suivre, ont fait que j'ai préféré abandonner.
Toute la deuxième partie du livre vaut le début douteux. Car ce début douteux posait des bases pour une superbe évolution, au niveau du caractère du personnage principal, de ses croyances, de son mode de vie et de ses relations. Beaucoup d’aspects du livre relève de scénarios vus et revus, mais je l’ai trouvé tout de même rafraîchissant. Je l'ai écouté d'une traite! Un bon divertissement qui m’a fait pensé à Rozenn. Il y a quelques similitudes entre les deux. Tous ceux qui ont aimé l’un, aimeront l’autre!
Des personnages attachiants. L’héroïne est pimbêche, mais devient vite une femme forte (ce que j’aime, pas le temps de niaiser) j’ai tout particulièrement aimé le concept, le monde créé. À Ceylan, le monde est patriarcal, riche et colonisateur. À Saël, le monde est matriarcal, pauvre, mais fort. Petit bémol : on ne s’attache pas trop à la romance, à Ashkan. La relation aurait pu être plus poussée. Cette fin… je voulais la suite.
Belle lecture divertissante avec une fin "feel good" et ouverture sur le prochain tome. J'ai bien apprécié l'effort qu'a fait l'auteur pour son "world building". Quelques coquilles. 3,5
Beaucoup aimé cette trilogie moderne qui montre les différents pouvoirs de 2 pays dirigé par le patriarcat et le matriarcat. Les personnages nous démontrent avec passion que ce n'est pas l'idéal.
La très belle épopée dystopique de A. D Martel est un très très bon livre, avec un univers fort, et des personnages hyper attachants ! J'ai adoré l'insupportable et indépendante Arcana, qui a une magnifique évolution, j'ai adoré toutes les connotations ecologiques... Bref, A. D. Martel est est une autrice à découvrir de toute urgence !
Ma dernière lecture est un mini coup de cœur, même si au début, l'histoire ne me passionnait pas. C'est qu'en fait, au début, il y a cet héroïne, Arcana. Et Arcana est détestable. Elle est immature, frivole, et égoïste. Jusqu'à ce qu'elle doive faire face à ses actes. Et le monde dans lequel elle vit est trop parfait. Heureusement, je n'ai pas abandonné, parce qu'après, il m'a été impossible de lâcher le livre. La trame est plutôt classique, mais elle marche. Car elle est bien écrite. La plume de l'auteur est légère, sans fioriture, et agréable à lire. J'ai détesté l'Arcana du début du livre, mais j'ai beaucoup apprécié de la voir grandir et changer. De la voir devenir + mature. Il y a beaucoup de personnages très différents dans ce livre, et l'auteur a su leur donner à chacun un petit quelque chose de très personnel. Ils sont tous importants, et ils ont tous leur rôle à jouer. A.D. Martel a dressé un monde vraiment à elle, un monde innovant. À partir du moment où l'héroïne est banni de son monde, je n'ai pas pu m'arrêter de lire. Je voulais absolument savoir ce qu'allait devenir chacun des personnages, si l'histoire allait se finir bien ou mal, et enfin si Ashkan allait finir par accepter sa nouvelle femme (rien n'était moins sûr). En bref, j'ai vraiment adoré cet histoire et j'espère que l'auteur en écrira d'autre dans le même genre.
Je tiens à vous le dire tout de suite, vous risquez de détester le personnage principal dès le départ 😂 Mais ne vous arrêtez pas là ! AD Martel nous offre de magnifiques évolutions de personnages, et Arcana n’y manque pas.
Et en plus, cela m’a paru totalement cohérent. Arcana vit dans un monde où tout lui est offert, où elle n’a jamais connu la misère ou la moindre difficulté. Elle est égoïste, superficielle. Mais c’est normal puisqu’elle vit dans un monde où sa seule préoccupation est elle-même !
En effet, le monde dans lequel elle vit pourvoit au moindre de ses besoins, grâce aux progrès de la technologie. Même la météo est réglée de sorte à ce qu’ils n’en souffrent jamais…
Alors autant vous dire que quand Arcana va être chassée de son monde, se retrouver à Saël avec les ennemis de son peuple, ce sera la descente aux enfers pour elle.
Détestée de tous, dans un pays sans aucune technologie et tellement plus hostile (par le décor et ses habitants), elle devra faire ses preuves. Et là, vous verrez Arcana apprendre, faire des erreurs, jusqu’à devenir une personne qu’on a envie de suivre 😏
Juste, je trouve que les événements se sont parfois passés trop vite. Par exemple, un rapprochement au tout début, ou encore le désir de sauver un certain personnage… J’ai l’impression que les choses ont été faites sur un coup de tête et cela m’a un peu gênée. Mais pour autant, avec du recul, je comprends qu’une fissure existait déjà dans l’univers d’Arcana et commençait à tout faire basculer en elle, et donc, la rendait plus impulsive.
Si j’ai tant aimé cette histoire, au-delà du fait qu’elle est addictive (je l’ai lue en 48h pour dire 😂), c’est parce qu’elle montre que la famille n’est pas subordonnée aux liens du sang. Qu’il suffit d’apprendre à connaitre l’autre pour l’accepter. Et que les conflits peuvent se résoudre dès lors qu’on fait un effort pour comprendre autrui.
D’ailleurs, il y a une scène où le love interest explique pourquoi il ne s’était rien passé plus tôt, et elle m’a tant fait rire ! 😂 Cela m’a semblé absurde mais… en même temps, si on inverse les rôles, si on inverse les standards d’une société, cela pouvait sembler offensant pour lui. Et rien que là, un message était passé.
Pour les autres personnages, j’ai adoré tous ceux de son nouveau clan ! Surtout Zachary qui m’a beaucoup touchée 🥺 Et gros point positif, je n’ai pas vu venir une certaine trahison !
Sinon, ce livre est bourré de messages sur la société. Et j’ai le sentiment d’en ressortir grandie. Que ce soit sur l’exploitation des ressources, la lutte pour ce que l’on souhaite, ou encore le sexisme.
Et sur ce point, je peux vous dire que cela était très bien amené. Saël est une société dans laquelle les hommes sont rares, et où les femmes ont l’ascendant. Imaginez tous les poisons du quotidien pour les femmes de NOTRE société, mais inversés ! Et le pire, c’est qu’en lisant ce livre, cela m’a paru tellement étrange, tellement malsain seulement parce que c’était dirigé vers des hommes. Ce qui prouve que mine de rien, je suis habituée à l’inverse… ce qui me désole moi-même 🥲
En tout cas, en terminant ce livre, la transformation d’Arcana est achevée et la suite promet d’être très intéressante 😈
En résumé : Rien que pour tous les beaux messages délivrés, pour les prises de conscience qu’il entraine, je ne peux que vous inciter à le lire !