De l’orpheline qui a perdu sa mère dans les bombardements, à chef de gang puis à geisha, ces deux monstres sacrés du manga que sont Kamimura et Kajiwara nous invitent à suivre le parcours édifiant d’une femme dans le Japon de l’immédiat après-guerre. Avec ce one-shot d’exception, les auteurs nous offrent un récit de lutte pour la survie, mais aussi une histoire de combat contre les abus de pouvoirs en tout genre, de défense des opprimés et de quête de liberté…
Asaki Takamori (高森朝樹, Takamori Asaki), known by the pen names Ikki Kajiwara (梶原一騎, Kajiwara Ikki) and Asao Takamori (高森朝雄, Takamori Asao), was a Japanese mangaka.
Tebeo que une la dureza de la postguerra en Japón con la soledad de una niña en una sociedad donde la empatía es más una carga que una aspiración. A los abusos de las tropas invasoras le añade la violencia extrema de las bandas callejeras, el matonismo en los internados y una serie de personajes caracterizados por su crueldad o su egoísmo. Esto convierte el relato de crecimiento de Shôko, desde que su madre muere por las secuelas de la tortura hasta su madurez, en una sucesión de estampas muchas veces descorazonadoras. El desarrollo de este drama, con apenas cuatro gotas de calor humano, termina siendo un tanto caricaturesco, con un uso de una violencia exagerada (la utilización de objetos punzantes por parte de la protagonista tiene un cariz inintencionadamente cómico). El final es potente, un poco espejo del que pudimos leer en El club del divorcio. Sin embargo, el grueso del tebeo es irregular, con escasas muestras de la elegancia narrativa que suele caracterizar a Kamimura. Para completistas.
Buenos personajes, un retrato fascinante del Japón de posguerra y un dibujo hipnótico. Así es esta obra del maestro Kamimura que lamentablemente quedó inconclusa. Buena lectura que no llega más lejos por problemas de guion en algunas partes se la historia.
He disfrutado mucho esta historia de Kamimura, al dividirlo como en varias fases se pasa muy rapido y casi la entas que no continue. Deseando seguir con las demas historias de Kamimura.
mais c'est quoi ce livre de pédophile de con au juste? on me parle de shoko comme une femme indépendante girlboss etc mais pas du tout, c'est une jeune fille qui a toute sa vie été abusée et rien de plus. y a une romantisation bizarre de sa relation avec son enseignant (cette "relation" est le contenu principal du livre pendant littéralement 180 pages, j'ai compté) sans même parler du fait des scènes de viols, de nu et de violences à repetition. non ce n'est pas parce qu'à la fin elle devient une geisha qu'elle est une croqueuse de diamant girlboss genre??? pas du tout??? on voit clairement que son corps n'est pas formé, que c'est encore une enfant, qu'elle subit beaucoup de choses, qu'elle a des réactions traumatiques etc fin deux étoiles pour la qualité des dessins et pour shoko qui me fait de la peine, le reste 0
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