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Hyper
Miriam tient deux journaux intimes : l'officiel pour sa mère et l'officieux qui contient toute la vérité... ou presque.
Je ne suis qu'une grousse de dix-sept ans. C'est Dimitri, un mec de ma classe, qui a inventé le terme. Grosse + rousse = grousse. C'est aussi lui qui a lancé mon surnom officiel : " MiamMiam " au lieu de " Miriam ". Bien trouvé, non ? Et sinon, je m'habille comme un maître-chien, parce que ma mère dit qu'avec ma morphologie, faut éviter les motifs et les couleurs. Je hais le lycée. Au pire, on m'y déteste, au mieux, on m'y méprise. J'ai le coeur dur et la peau molle alors que ça devrait être l'inverse. Je m'aime pas. Je m'aime plus. Alors je veux juste rompre.
Je ne suis qu'une grousse de dix-sept ans. C'est Dimitri, un mec de ma classe, qui a inventé le terme. Grosse + rousse = grousse. C'est aussi lui qui a lancé mon surnom officiel : " MiamMiam " au lieu de " Miriam ". Bien trouvé, non ? Et sinon, je m'habille comme un maître-chien, parce que ma mère dit qu'avec ma morphologie, faut éviter les motifs et les couleurs. Je hais le lycée. Au pire, on m'y déteste, au mieux, on m'y méprise. J'ai le coeur dur et la peau molle alors que ça devrait être l'inverse. Je m'aime pas. Je m'aime plus. Alors je veux juste rompre.
- GenresYoung Adult
288 pages, Paperback
Published May 22, 2025
6 people are currently reading
117 people want to read
Ratings & Reviews
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 41 reviews
May 27, 2025
Oh wow. La claque. C’était à la fois immensément drôle et infiniment triste. Dans les deux cas, c’était beau, décalé, décapant, prenant, touchant, important… un roman qui te percute et te brise en morceau aussi vite qu’il te recolle et répare. Une nouvelle pépite signée Emilie Chazerand quoi. 🤍
May 31, 2025
Un roman hyper tout court : hyper intense, hyper puissant, hyper barré, hyper touchant. On passe par toutes les émotions, des plus désagréables (on déteste la protagoniste, on la détester de détester tout et tout le monde) aux plus agréables (la douceur de l'espoir, la joie, la résilience). Je recommande d'avoir le cœur bien accroché pour entamer cette lecture. C'est un livre intense et puissant, porté par la jolie écriture d'Émilie Chazerand qui décrit et illustre très bien toute la palette des émotions que ressent sa protagoniste. Ce n'est pas doux, ce n'est pas tendre, c'est cru, cruel et acide. Il y a beaucoup de colère, de cynisme et de mal-être.
June 12, 2025
"Je suis un oignon. Quand on me coupe, c'est pas moi qui pleure."
"On ne se rend pas compte du courage que ça exige, d'être moi."
"On ne se rend pas compte du courage que ça exige, d'être moi."
June 30, 2025
C'était vraiment très chouette, Miriam est une ado hilarante et vraiment réaliste de la gen z. Ado je me serais sentie so seen. Le format journal est intéréssant même si je trouve qu'il vire vite aux éclats et est plutôt un pretexte narratif. Jaurais ailé voir des choses dans la fin explorées différemment mais globalement cest une très bonne lecture. La littérature ado regorge de pépites.
June 25, 2025
4,5✨ une lecture très touchante, importante, notamment la fin qui m’a beaucoup émue 🫶🏻
Read
May 25, 2025Je suis infichue de lui donner une note… Emilie Chazerand a une plume très aiguisée, qui peut apaiser comme trancher dans le vif. J’ai adoré retrouver son style bien entendu mais alors ce livre fait mal je tiens à prévenir. Il est dur, coupant et lourd de colère. Le personnage principal en bave réellement et l’autrice a vraiment bien retranscrit sa douleur et sa haine. Je peine réellement à expliquer mes émotions parce que vraiment je suis vidée, elle nous a vraiment fait traverser des choses horribles, j’ai manqué de pleurer à plusieurs reprises et vraiment pendant toute ma lecture je me disais « mais comment c’est possible de traverser tout ça ? ». En tout cas c’est sûr c’est une lecture qui m’aura marqué.
May 22, 2025
Décidément, Émilie Chazerand réussit à chaque fois à me convaincre ! Que d'émotions dans ce livre, c'est une belle découverte, à la fois pleine d'humour et de tendresse, un peu triste aussi... Une chouette réussite à ne pas rater !
September 11, 2025
4,5/5
C'était HYPER bien ! Et oui, le jeu de mot est voulu ;)
C'est drôle, ça dépote, c'est par moments too much, mais c'est aussi ça qui fait le charme du livre. Un style maîtrisé, un personnage attachant et touchant. C'est un roman contemporain jeune adulte unique en son genre, un peu barré, décalé, mais satisfaisant car tout sert le propos et la sensibilisation autour de la santé mentale.
Un des retournements de situation m'a eu, j'ai fais un ascenseur émotionnel. La profondeur des émotions est bien présente, ça bouscule, ça nous fait grincer, mais le style saisit et touche juste a chaque fois.
Bref, c'était hyper lumineux comme livre !
C'était HYPER bien ! Et oui, le jeu de mot est voulu ;)
C'est drôle, ça dépote, c'est par moments too much, mais c'est aussi ça qui fait le charme du livre. Un style maîtrisé, un personnage attachant et touchant. C'est un roman contemporain jeune adulte unique en son genre, un peu barré, décalé, mais satisfaisant car tout sert le propos et la sensibilisation autour de la santé mentale.
Un des retournements de situation m'a eu, j'ai fais un ascenseur émotionnel. La profondeur des émotions est bien présente, ça bouscule, ça nous fait grincer, mais le style saisit et touche juste a chaque fois.
Bref, c'était hyper lumineux comme livre !
June 3, 2025
3,5 ⭐️ Très drôle, mais version cynique. Les thèmes abordés étant très lourds, cela offre un regard neuf sur la question.
June 5, 2025
Je suis littéralement passée du rire aux larmes, de la joie à la tristesse… c’est à la fois jouissif et irrévérencieux, et en même temps important !
July 30, 2025
C'était touchant, on s'attache au personnage de Miriam qu'on a du mal a cerner et qui peut paraître comme une vraie connasse. C'était sympa à lire et très marrant
July 2, 2025
Hay cosas que no entendía mientras leía, y cosas que no podía creer. Me encantó el final. Creo que es un gran regalo para muchas jovenes, adolescentes, mujeres.
June 21, 2025
une pépite
July 5, 2025
wow ! intense ! j'ai plongé dans ce roman assez facilement. l'humour sarcastique est délicieux, le jeux des deux journaux intriguant... et puis le choc le deuil, la douleur. j'ai été incroyablement en colère aussi, contre la mère, contre les flics, contre tout le monde, tous ceux qui ignorent une ado qui a terriblement mal. j'ai pleuré dans le métro en lisant, les gens m'ont regardé bizarrement, j'ai ri aussi, fort, pareil, mais peut-être moins bizarrement. j'ai lu partout. je voulais la suite. j'avais besoin de la suite. ce roman il m'a pas ratée, il m'a chamboulée de dingue et m'a emmenée là où j'avais pas envie d'aller. il m'a surprise aussi. et puis je l'ai finis et je sais qu'il m'a fait du bien. malgré les larmes et les sujets durs. même si j'ai eu envie de le mettre dans le bac à glaçons une ou deux fois... je m'attendais pas à aimer être secouée comme ça. mais wow !
December 16, 2025
« Hyper »… est un adverbe bien difficile à définir. Paradoxalement, il possède le super pouvoir de changer en profondeur le sens d’une phrase. Utilisé sous la forme de préfixe, il double sa puissance pour flirter avec le « très » et le « trop », hyperémotivité, hyperactivité, etc.
Miriam la bien-nommée, celle qui élève ou celle qui est qui aimée, 17 ans, a l’impression d’être née défectueuse. Elle se sent « trop » tout. Trop rousse, trop grosse, trop sensible, trop bruyante. Habituée à subir les moqueries de ses camarades de classe, à composer avec une mère aimante, mais maladroite. Miriam tente de survivre à chaque journée.
Son psy, le docteur Matsuno l’encourage à mettre ses émotions par écrit, mais Miriam sait qu’un journal intime finit toujours par être découvert… Elle en tient donc deux : l’officiel et l’officieux. Le premier sera destiné aux indiscrétions de sa mère, incontestablement. Le second lui sert de déversoir, elle y confie ses émotions, ses pensées les plus intimes. Les plus dures aussi.
Dans « Hyper », Emilie Chazerand raconte la traversée de l’adolescence dans un corps « trop » où gît un coeur fissuré. Par la voix de Miriam, elle parle du rapport à ce corps, des troubles alimentaires, des humiliations quotidiennes, des relations compliquées, des pensées noires. Le tout avec un humour parfois corrosif, parfois tendre. Car derrière cette armure faite de sarcasmes et d’autodérision, Miriam cherche un moyen d’exister, de créer des liens, de réussir à regarder le monde avec des yeux différents.
« Hyper » est le récit de ce chemin chaotique, et ce voyage vers soi, vers l’intime, m’a bouleversée de façon totalement inattendue. Car, si j’ai attentivement écouté la fille, j’ai énormément pensé à la mère, Barbara, dont le portrait est fait en marge du récit. Cette mère imparfaite, vacillante, mais déterminée, pleine de défauts, qui a fait comme elle a pu. Ainsi, le roman esquisse un double portrait : celui d’une adolescence en souffrance et celui d’une mère qui tente d’agir au mieux.
Ce qui m’a émue au-delà du raisonnable est l’écart vertigineux qui réside entre leurs deux vérités. Tout le récit d’« Hyper » passe par le filtre parfois déformé de Miriam : la haine de soi, la certitude que sa seule présence et son corps sont un problème, l’hyperémotivité. Ainsi, Barbara apparaît souvent comme envahissante, égocentrique, maladroite, décalée ou indifférente face au mal-être de sa fille. Miriam lit et décrypte sa mère. Elle interprète tous ses comportements comme des preuves d’indifférence ou d’incompétence. Or, dès lors que nous sommes mères, nous savons bien que les maladresses et les tentatives bancales de donner de l’amour sont notre lot quotidien.
J’ai vu s’esquisser le portrait de Barbara derrière la caricature. Pleine de douceur, attentive, Barbara s’inquiète sincèrement. Elle tente désespérément de créer du lien. Elle aime avec excès, inconditionnellement. Car, elle aussi doit vivre avec son passé, ses blessures et ses deuils. « Hyper » raconte ces deux vérités parallèles, ce décalage entre mère et fille, une vision tunnel qui ne permet jamais de se mettre à la place de l’autre.
Mais, « Hyper » développe surtout la question de la santé mentale et ose laisser s’exprimer la pensée dysfonctionnelle. Miriam se flagelle, Miriam se déteste, elle parle d’elle-même avec une violence inouïe, s’insulte et se juge sans cesse. Sa souffrance est faite de contradictions, toutes montrées, tout en laissant passer la lumière de l’espoir par l’humour. Pleine de paradoxes, Miriam s’aide et se sabote, réclame de l’aide et la rejette…
Que ce temps adolescent est complexe quand le corps devient le lieu central du conflit… Corps « Hyper » visible, « Hyper » commenté, « Hyper » moqué. Il est le lieu où tout se joue. Il concentre honte, colère, peur d’exister, tristesse… et ce corps qu’elle subit, qu’elle regarde comme un objet trop encombrant, devient un argument à charge contre elle-même. Le rapport à l’alimentation se transforme alors en langage, un champ de bataille où se rejouent la violence sociale, la honte, le deuil, l’hyperémotivité. Tout l’enjeu du roman consiste à apprendre à le considérer comme un allié plutôt qu’un adversaire.
L’arme utilisée par Miriam est l’humour. Dans la version audio lue par Lise Gillet et Angélique Heller, le lecteur/auditeur rit. Mais il ne rit pas contre elle, il rit avec elle. Grâce à cette arme de diversion massive, Miriam combat la douleur afin qu’elle ne s’installe pas. J’ai été très touchée par cet humour qui prend de vitesse la honte et qui désamorce les attaques.
L’écriture d’Emilie Chazerand donne à « Hyper » tout son pouvoir et sa justesse. C’est une écriture qui colle à la peau et aux pensées de son personnage. Elle maîtrise à la perfection le langage contemporain, traversé de références culturelles, d’autodérision et de sarcasmes. Elle parvient même à faire coexister la vie quotidienne d’une adolescente et la poésie. En exprimant l’intériorité de Miriam, par différents moyens qui vont du rire aux larmes, l’autrice fait confiance à l’intelligence émotionnelle de son lecteur.
« Hyper » remue des zones sensibles. J’ai souvent été ballotée entre rires et trop-plein d’émotions, grâce à une intensité qui sonne toujours juste. Il y a dans ce roman une proximité troublante entre cette période adolescence et la petite voix intérieure adulte qui s’entremêlent. « Hyper » montre bien la complexité des émotions, la lenteur nécessaire pour les apprivoiser, et le droit d’être fragile à tout âge. Un joli texte qui montre la difficulté de « grandir » quand tout est ressenti trop fort, à chaque étape de l’existence. Apprendre à vivre avec ses failles n’est-ce pas le but de la vie ?
Miriam la bien-nommée, celle qui élève ou celle qui est qui aimée, 17 ans, a l’impression d’être née défectueuse. Elle se sent « trop » tout. Trop rousse, trop grosse, trop sensible, trop bruyante. Habituée à subir les moqueries de ses camarades de classe, à composer avec une mère aimante, mais maladroite. Miriam tente de survivre à chaque journée.
Son psy, le docteur Matsuno l’encourage à mettre ses émotions par écrit, mais Miriam sait qu’un journal intime finit toujours par être découvert… Elle en tient donc deux : l’officiel et l’officieux. Le premier sera destiné aux indiscrétions de sa mère, incontestablement. Le second lui sert de déversoir, elle y confie ses émotions, ses pensées les plus intimes. Les plus dures aussi.
Dans « Hyper », Emilie Chazerand raconte la traversée de l’adolescence dans un corps « trop » où gît un coeur fissuré. Par la voix de Miriam, elle parle du rapport à ce corps, des troubles alimentaires, des humiliations quotidiennes, des relations compliquées, des pensées noires. Le tout avec un humour parfois corrosif, parfois tendre. Car derrière cette armure faite de sarcasmes et d’autodérision, Miriam cherche un moyen d’exister, de créer des liens, de réussir à regarder le monde avec des yeux différents.
« Hyper » est le récit de ce chemin chaotique, et ce voyage vers soi, vers l’intime, m’a bouleversée de façon totalement inattendue. Car, si j’ai attentivement écouté la fille, j’ai énormément pensé à la mère, Barbara, dont le portrait est fait en marge du récit. Cette mère imparfaite, vacillante, mais déterminée, pleine de défauts, qui a fait comme elle a pu. Ainsi, le roman esquisse un double portrait : celui d’une adolescence en souffrance et celui d’une mère qui tente d’agir au mieux.
Ce qui m’a émue au-delà du raisonnable est l’écart vertigineux qui réside entre leurs deux vérités. Tout le récit d’« Hyper » passe par le filtre parfois déformé de Miriam : la haine de soi, la certitude que sa seule présence et son corps sont un problème, l’hyperémotivité. Ainsi, Barbara apparaît souvent comme envahissante, égocentrique, maladroite, décalée ou indifférente face au mal-être de sa fille. Miriam lit et décrypte sa mère. Elle interprète tous ses comportements comme des preuves d’indifférence ou d’incompétence. Or, dès lors que nous sommes mères, nous savons bien que les maladresses et les tentatives bancales de donner de l’amour sont notre lot quotidien.
J’ai vu s’esquisser le portrait de Barbara derrière la caricature. Pleine de douceur, attentive, Barbara s’inquiète sincèrement. Elle tente désespérément de créer du lien. Elle aime avec excès, inconditionnellement. Car, elle aussi doit vivre avec son passé, ses blessures et ses deuils. « Hyper » raconte ces deux vérités parallèles, ce décalage entre mère et fille, une vision tunnel qui ne permet jamais de se mettre à la place de l’autre.
Mais, « Hyper » développe surtout la question de la santé mentale et ose laisser s’exprimer la pensée dysfonctionnelle. Miriam se flagelle, Miriam se déteste, elle parle d’elle-même avec une violence inouïe, s’insulte et se juge sans cesse. Sa souffrance est faite de contradictions, toutes montrées, tout en laissant passer la lumière de l’espoir par l’humour. Pleine de paradoxes, Miriam s’aide et se sabote, réclame de l’aide et la rejette…
Que ce temps adolescent est complexe quand le corps devient le lieu central du conflit… Corps « Hyper » visible, « Hyper » commenté, « Hyper » moqué. Il est le lieu où tout se joue. Il concentre honte, colère, peur d’exister, tristesse… et ce corps qu’elle subit, qu’elle regarde comme un objet trop encombrant, devient un argument à charge contre elle-même. Le rapport à l’alimentation se transforme alors en langage, un champ de bataille où se rejouent la violence sociale, la honte, le deuil, l’hyperémotivité. Tout l’enjeu du roman consiste à apprendre à le considérer comme un allié plutôt qu’un adversaire.
L’arme utilisée par Miriam est l’humour. Dans la version audio lue par Lise Gillet et Angélique Heller, le lecteur/auditeur rit. Mais il ne rit pas contre elle, il rit avec elle. Grâce à cette arme de diversion massive, Miriam combat la douleur afin qu’elle ne s’installe pas. J’ai été très touchée par cet humour qui prend de vitesse la honte et qui désamorce les attaques.
L’écriture d’Emilie Chazerand donne à « Hyper » tout son pouvoir et sa justesse. C’est une écriture qui colle à la peau et aux pensées de son personnage. Elle maîtrise à la perfection le langage contemporain, traversé de références culturelles, d’autodérision et de sarcasmes. Elle parvient même à faire coexister la vie quotidienne d’une adolescente et la poésie. En exprimant l’intériorité de Miriam, par différents moyens qui vont du rire aux larmes, l’autrice fait confiance à l’intelligence émotionnelle de son lecteur.
« Hyper » remue des zones sensibles. J’ai souvent été ballotée entre rires et trop-plein d’émotions, grâce à une intensité qui sonne toujours juste. Il y a dans ce roman une proximité troublante entre cette période adolescence et la petite voix intérieure adulte qui s’entremêlent. « Hyper » montre bien la complexité des émotions, la lenteur nécessaire pour les apprivoiser, et le droit d’être fragile à tout âge. Un joli texte qui montre la difficulté de « grandir » quand tout est ressenti trop fort, à chaque étape de l’existence. Apprendre à vivre avec ses failles n’est-ce pas le but de la vie ?
Read
August 24, 2025DNF - 40%
June 23, 2025
Insta : the.books.of.hope
Sublime. Tout bonnement sublime 🙌
Lu dans le cadre du Prix des lecteurs PKJ 2025, j’étais impatiente de le débuter parce que comment résister face à ce résumé ??? C’est tout ce que j’aime ! Seul bémol : on me l’a vendu comme un livre où les deux journaux de Miriam se mélangent, bernant ainsi le lecteur dans le vrai et le faux. En effet il y a deux journaux mais on comprend clairement lequel est le plus sincère, d’ailleurs ce n’est même pas l’intention de l’autrice. Une fois qu’on est prévenus on peut commencer le roman sereinement 🧘♀️
« Hyper » est un roman qui aborde de lourdes thématiques avec la santé mentale qui prend une place importante tout au long du récit. Car en effet sa protagoniste est profondément torturée. Miriam se déteste, du moins c’est ce que les autres ont toujours pensé d’elle. Comment se forger lorsqu’on est rejetée de tous ? Eh bien elle va devoir faire avec. En apparence c’est juste une « grosse » qui ne « sait rien faire » alors qu’au fond, c’est juste une ado qui essaye de vivre. Elle doit jongler avec les remarques grossophobes, la disparition de sa sœur et l’abandon de son père (et encore je n’ai pas tout cité ✋). Comment réussir à garder foi en l’existence ? Miriam est un personnage fort qui va malgré tout se battre pour préserver son essence. Bref vous avez capté je l’adore. Plus les pages passent et plus on se demande comment elle fait pour supporter son quotidien. Les autres personnages sont également intéressants notamment Saravanel (mon petit chouchou 🥹). la mère de Miriam (même si j’ai eu du mal au début ça s’est amélioré par la suite…) et même le psy Matsuno. J’aurais peut-être apprécié en savoir plus sur Lórant, vraiment je suis intriguée par son vécu. Vous le voyez bien, les personnages sont tous incroyables ✨
En ouvrant le roman j’ai été surprise : la plume est vraiment originale. Le style me faisait penser à « Réel », un autre livre de la sélection ! L’autrice utilise un langage parlé, c’est un peu comme si Miriam était à nos côtés et parlait dans nos oreilles 😂 Il faut aimer les tournures de phrases particulières pour pleinement apprécier l’histoire, si vous êtes plutôt vieux jeux alors ce n’est pas un univers pour vous. Néanmoins la plume est ouverte à tous par ses mots simples, parfait pour un adolescent qui à mon sens peut facilement s’identifier ! Une autrice à suivre !
Par contre on en parle des plot twists ??? Pas de spoil mais je ne m’attendais pas à avoir des retournements de situation dans ce livre 😭 Faut voir comment mon sourire a vite disparu ✋ Bref en plus d’avoir une histoire incroyable vous avez des surprises si c’est pas magnifique ? (petit conseil : prenez une boîte de mouchoirs à proximité 🙂↕️)
Envie d’un roman original avec une protagoniste au cœur des problèmes actuels ? Vous êtes au bon endroit, je vous en prie installez-vous 🪑
Sublime. Tout bonnement sublime 🙌
Lu dans le cadre du Prix des lecteurs PKJ 2025, j’étais impatiente de le débuter parce que comment résister face à ce résumé ??? C’est tout ce que j’aime ! Seul bémol : on me l’a vendu comme un livre où les deux journaux de Miriam se mélangent, bernant ainsi le lecteur dans le vrai et le faux. En effet il y a deux journaux mais on comprend clairement lequel est le plus sincère, d’ailleurs ce n’est même pas l’intention de l’autrice. Une fois qu’on est prévenus on peut commencer le roman sereinement 🧘♀️
« Hyper » est un roman qui aborde de lourdes thématiques avec la santé mentale qui prend une place importante tout au long du récit. Car en effet sa protagoniste est profondément torturée. Miriam se déteste, du moins c’est ce que les autres ont toujours pensé d’elle. Comment se forger lorsqu’on est rejetée de tous ? Eh bien elle va devoir faire avec. En apparence c’est juste une « grosse » qui ne « sait rien faire » alors qu’au fond, c’est juste une ado qui essaye de vivre. Elle doit jongler avec les remarques grossophobes, la disparition de sa sœur et l’abandon de son père (et encore je n’ai pas tout cité ✋). Comment réussir à garder foi en l’existence ? Miriam est un personnage fort qui va malgré tout se battre pour préserver son essence. Bref vous avez capté je l’adore. Plus les pages passent et plus on se demande comment elle fait pour supporter son quotidien. Les autres personnages sont également intéressants notamment Saravanel (mon petit chouchou 🥹). la mère de Miriam (même si j’ai eu du mal au début ça s’est amélioré par la suite…) et même le psy Matsuno. J’aurais peut-être apprécié en savoir plus sur Lórant, vraiment je suis intriguée par son vécu. Vous le voyez bien, les personnages sont tous incroyables ✨
En ouvrant le roman j’ai été surprise : la plume est vraiment originale. Le style me faisait penser à « Réel », un autre livre de la sélection ! L’autrice utilise un langage parlé, c’est un peu comme si Miriam était à nos côtés et parlait dans nos oreilles 😂 Il faut aimer les tournures de phrases particulières pour pleinement apprécier l’histoire, si vous êtes plutôt vieux jeux alors ce n’est pas un univers pour vous. Néanmoins la plume est ouverte à tous par ses mots simples, parfait pour un adolescent qui à mon sens peut facilement s’identifier ! Une autrice à suivre !
Par contre on en parle des plot twists ??? Pas de spoil mais je ne m’attendais pas à avoir des retournements de situation dans ce livre 😭 Faut voir comment mon sourire a vite disparu ✋ Bref en plus d’avoir une histoire incroyable vous avez des surprises si c’est pas magnifique ? (petit conseil : prenez une boîte de mouchoirs à proximité 🙂↕️)
Envie d’un roman original avec une protagoniste au cœur des problèmes actuels ? Vous êtes au bon endroit, je vous en prie installez-vous 🪑
May 27, 2025
Ce roman, c’est un coup de poing en pleine face. Brutal, sans filtre… et tellement juste. Il m’a rappelé des souvenirs pas si lointains, parce que ce qu’il raconte, je l’ai vu, je l’ai vécu, ou je l’ai ressenti de près. Et franchement ? Ça remue.
C’était ma première rencontre avec la plume d’Émilie Chazerand, et clairement ce ne sera pas la dernière. Elle a une manière de raconter l’horreur du quotidien avec un humour acide, cynique, mais terriblement efficace. Myriam, notre héroïne, n’a peut-être pas le moral, mais elle a de la répartie, et pas qu’un peu. Elle m’a fait rire, pleurer, lever les yeux au ciel et serrer les poings. Parfois tout ça en même temps.
À travers deux journaux intimes (un officiel, et un autre plus… disons, sans filtre), on plonge vraiment dans le quotidien de cette adolescente harcelée pour sa différence, pour son physique, cette victime de grossophobie … Cette ado qui n’a rien demandé, qui essaie juste de respirer dans un monde qui la pousse à s’éteindre. Et pourtant, au fil des pages, elle se relève, doucement, avec l’aide d’un professionnel, et une force intérieure qu’on ne soupçonnait pas au départ.
Ce roman, c’est une claque d’émotions, une tempête d’humanité, un cri du cœur qui mérite d’être entendu. C’est difficile à chroniquer parce que c’est viscéral. C’est le genre de livre qui te transforme un peu, qui ne te laisse pas repartir tout à fait comme tu es venu.
À lire. À faire lire. À relire. Et surtout à partager aux adolescents !
Parce qu’on a tous connu une Myriam. Parce qu’on a peut-être été une Myriam. Parce que ça compte.
C’était ma première rencontre avec la plume d’Émilie Chazerand, et clairement ce ne sera pas la dernière. Elle a une manière de raconter l’horreur du quotidien avec un humour acide, cynique, mais terriblement efficace. Myriam, notre héroïne, n’a peut-être pas le moral, mais elle a de la répartie, et pas qu’un peu. Elle m’a fait rire, pleurer, lever les yeux au ciel et serrer les poings. Parfois tout ça en même temps.
À travers deux journaux intimes (un officiel, et un autre plus… disons, sans filtre), on plonge vraiment dans le quotidien de cette adolescente harcelée pour sa différence, pour son physique, cette victime de grossophobie … Cette ado qui n’a rien demandé, qui essaie juste de respirer dans un monde qui la pousse à s’éteindre. Et pourtant, au fil des pages, elle se relève, doucement, avec l’aide d’un professionnel, et une force intérieure qu’on ne soupçonnait pas au départ.
Ce roman, c’est une claque d’émotions, une tempête d’humanité, un cri du cœur qui mérite d’être entendu. C’est difficile à chroniquer parce que c’est viscéral. C’est le genre de livre qui te transforme un peu, qui ne te laisse pas repartir tout à fait comme tu es venu.
À lire. À faire lire. À relire. Et surtout à partager aux adolescents !
Parce qu’on a tous connu une Myriam. Parce qu’on a peut-être été une Myriam. Parce que ça compte.
July 4, 2025
4,5 ⭐️/5
Et bien c’était HYPER bien! (On a jamais dû lui faire, celle ci 🤣)
Pas au niveau d’Annie au milieu, auquel j’ai un attachement énorme, mais très haut placé !
L’autrice a le don de parler de sujets bien tristes avec un humour décapant.
En gros, notre protagoniste réalise une TS (tentative de suicide) au début du récit… Elle se retrouve, avec un petit raccourci, chez le psy. Ce dernier lui demande de coucher ses pensées dans un journal. Le problème? Elle estime que sa mère est 1000 fois trop curieuse et risque de le lire. La solution? En tenir 2 versions: 1 pour sa mère, et le vrai pour elle.
Ainsi, chaque chapitre, on alterne entre la version « édulcorée » ou du moins adressée à sa mère puis la version officieuse. Et j’ai pris un tel plaisir à imaginer puis découvrir la réalité à chaque fois! 😂
D’autres chapitres m’ont, en revanche, plus que retournée. Les agressions verbales comme physiques sont d’une monstruosité sans nom… La résilience de cette ado face à tout ça est énorme.
Bref, ouvrir un roman d’Emilie Chazerand c’est se préparer à pouffer de rire puis sortir les mouchoirs quelques chapitres plus loin!
Et bien c’était HYPER bien! (On a jamais dû lui faire, celle ci 🤣)
Pas au niveau d’Annie au milieu, auquel j’ai un attachement énorme, mais très haut placé !
L’autrice a le don de parler de sujets bien tristes avec un humour décapant.
En gros, notre protagoniste réalise une TS (tentative de suicide) au début du récit… Elle se retrouve, avec un petit raccourci, chez le psy. Ce dernier lui demande de coucher ses pensées dans un journal. Le problème? Elle estime que sa mère est 1000 fois trop curieuse et risque de le lire. La solution? En tenir 2 versions: 1 pour sa mère, et le vrai pour elle.
Ainsi, chaque chapitre, on alterne entre la version « édulcorée » ou du moins adressée à sa mère puis la version officieuse. Et j’ai pris un tel plaisir à imaginer puis découvrir la réalité à chaque fois! 😂
D’autres chapitres m’ont, en revanche, plus que retournée. Les agressions verbales comme physiques sont d’une monstruosité sans nom… La résilience de cette ado face à tout ça est énorme.
Bref, ouvrir un roman d’Emilie Chazerand c’est se préparer à pouffer de rire puis sortir les mouchoirs quelques chapitres plus loin!
August 6, 2025
J'ai eu un peu peur en commençant, le langage était moyennement bien écrit, assez passé parfois, de termes voulu jeunes, mais qui ne l'étaient pas vraiment et qui rendaient le discours un peu gênant.
Rien que le terme "tifs" n'est plus du tout utilisé, donc ca faisait perdre de la réalité à l'héroïne, alors que le récit se basait quand même beaucoup sur une expérience d'adolescente. Bcp des termes m'ont fait bloquer et ont freiné ma lecture.
J'ai quand même été agréablement surprise par le contenu, qui je trouve a bien tenu du début à la fin.
J'avais compris que l'affaire de Lise était fausse, sans vraiment comprendre à quel point.
Je me doutais de l'anguille sous roche avec son père.
Ça manquait de réalité. La mort de Saranavel m'a touchée donc c'est bien, moins pour le poto dont elle était full love Lorant Miller
J'ai été très frustrée par la daronne, qui franchement a été absolument affreuse.
Qu'on lâche l'aspect vitrail que j'aimais beaucoup... Bref c'était quand même très très fouillis, comme ce commentaire.
Note : 14.5/20
Rien que le terme "tifs" n'est plus du tout utilisé, donc ca faisait perdre de la réalité à l'héroïne, alors que le récit se basait quand même beaucoup sur une expérience d'adolescente. Bcp des termes m'ont fait bloquer et ont freiné ma lecture.
J'ai quand même été agréablement surprise par le contenu, qui je trouve a bien tenu du début à la fin.
J'avais compris que l'affaire de Lise était fausse, sans vraiment comprendre à quel point.
Je me doutais de l'anguille sous roche avec son père.
Ça manquait de réalité. La mort de Saranavel m'a touchée donc c'est bien, moins pour le poto dont elle était full love Lorant Miller
J'ai été très frustrée par la daronne, qui franchement a été absolument affreuse.
Qu'on lâche l'aspect vitrail que j'aimais beaucoup... Bref c'était quand même très très fouillis, comme ce commentaire.
Note : 14.5/20
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July 4, 2025
comment j'ai chouiné.....
c'est à la fois fun et ultra dur/triste. je trouve le résumé un peu réducteur : je ne m'attendais pas à une telle variété de sujets et de rebondissements ! L’héroïne est vrmt très dure avec elle-même donc jsp quel effet ça peut avoir sur des lecteurices dans la même situation qu'elle, mais la fin est réussie et apaise un peu le tout.
comme d'hab, jsp à quel point les ados se reconnaitront là-dedans (y a vrmt cet aspect "humour décalé" assez typique des écrivains jeunesse français je trouve, qui est peut-être + adapté aux adultes qu'aux ados) mais en tout cas moi j'ai été accrochée jusqu'au bout et je le recommanderai !
c'est à la fois fun et ultra dur/triste. je trouve le résumé un peu réducteur : je ne m'attendais pas à une telle variété de sujets et de rebondissements ! L’héroïne est vrmt très dure avec elle-même donc jsp quel effet ça peut avoir sur des lecteurices dans la même situation qu'elle, mais la fin est réussie et apaise un peu le tout.
comme d'hab, jsp à quel point les ados se reconnaitront là-dedans (y a vrmt cet aspect "humour décalé" assez typique des écrivains jeunesse français je trouve, qui est peut-être + adapté aux adultes qu'aux ados) mais en tout cas moi j'ai été accrochée jusqu'au bout et je le recommanderai !
July 28, 2025
Mais pardon ? Cette lecture m'a fait ressentir 100 émotions différentes. J'ai ri, j'ai versé une larme. Il est vrai, l'écriture est particulière, tranchante. Miriam est une ado qui se déteste et qui déteste le monde. C'est une ado intelligente, drôle, sensible qui en a gros sur le cœur et qui n'a pas peur de dire les choses telles qu'elle les ressent. Que j'ai aimé l'écriture de Emilie Chazerand, je vous recommande cette lecture 1000x s'il faut. Préparez vous à vous plonger dans un tourbillon d'émotions et profitez!
October 16, 2025
Une lecture aussi bouleversante que belle. J’ai adoré l’histoire, pleine de rebondissements et d’émotions, au point d’en avoir les larmes aux yeux plusieurs fois. Par contre, j’ai eu un peu de mal avec la plume — surtout la manière de parler du personnage principal, les conjugaisons, tout ça… Mais franchement, ça n’enlève rien à la force du récit.
Le roman aborde des sujets très sensibles (psychiatrie, harcèlement, tentative de suicide…), donc à lire en étant préparé. Malgré tout, c’est un livre profondément humain et touchant, que je ne regrette absolument pas d’avoir lu.
Le roman aborde des sujets très sensibles (psychiatrie, harcèlement, tentative de suicide…), donc à lire en étant préparé. Malgré tout, c’est un livre profondément humain et touchant, que je ne regrette absolument pas d’avoir lu.
November 13, 2025
Lire du Emilie Chazerand, c'est un peu comme essayer de câliner un hérisson. C'est mignon, on se laisse attendrir, on s'y pique fort des fois, mais on y retourne quand même. Parce que son humour te saigne et te console en même temps, que tu as tour à tour envie de rire, honte d'avoir ri, envie de pleurer. En tous cas, elle sait écrire l'adolescence et la santé mentale comme peu de gens. Bravo madame, et merci !
June 3, 2025
C'est un énorme coup de coeur !
Il y a beaucoup d'humour pour cacher beaucoup de tendresse. Il y a beaucoup de méchancetés jetées au visage pour cacher beaucoup d'amour. Des sentiments et des sujets forts dépeints avec une habile justesse.
PS, merci à #NetGalleyFrance de m'avoir offert l'occasion de le lire.
Il y a beaucoup d'humour pour cacher beaucoup de tendresse. Il y a beaucoup de méchancetés jetées au visage pour cacher beaucoup d'amour. Des sentiments et des sujets forts dépeints avec une habile justesse.
PS, merci à #NetGalleyFrance de m'avoir offert l'occasion de le lire.
June 9, 2025
Comme à chaque fois, Emilie Chazerand nous emporte dans un histoire hyper drôle et hyper touchante à la fois avec des personnages hyper particuliers. Et comme à chaque fois, je lis son roman hyper trop vite et le trouve donc hyper trop court. L'attente jusqu'à son prochain roman va être hyper longue... Bref, j'ai hyper bien aimé.
July 14, 2025
Miriam a 17 ans, victime de harcèlement scolaire – elle est « grousse » comme disent ses camarades : grosse et rousse - mal dans sa peau et jamais remise de la disparition de sa sœur lorsqu’elle était enfant, fait une tentative de suicide. En thérapie, son psychiatre lui conseille de tenir un journal de bord. Ou plus exactement deux journaux : celui qu’elle sait être lu par sa mère, et le vrai, celui dans lequel elle peut s’exprimer sans filtre.
Et si le début est particulièrement drôle, l’ensemble se révèle plus profond, dévoilant des blessures et une vérité que l’on est loin de deviner.
Les dialogues sont enlevés, la relation à la mère intéressante, tout comme celle au psychiatre, réellement bienveillant. J’ai aimé ce personnage féminin qui se débat pour avancer entre ses fantômes, l’absence du père, et ses traumas, et que l’autrice me mène où je ne m’y attendais pas dans la résolution de la disparition de départ.
La technique du journal intime s’essouffle parfois un peu, surtout dans sa version policée destinée à la mère, semblant parfois plus narrative que naturelle.
Un bon roman jeunesse, dès 13 ans.
Et si le début est particulièrement drôle, l’ensemble se révèle plus profond, dévoilant des blessures et une vérité que l’on est loin de deviner.
Les dialogues sont enlevés, la relation à la mère intéressante, tout comme celle au psychiatre, réellement bienveillant. J’ai aimé ce personnage féminin qui se débat pour avancer entre ses fantômes, l’absence du père, et ses traumas, et que l’autrice me mène où je ne m’y attendais pas dans la résolution de la disparition de départ.
La technique du journal intime s’essouffle parfois un peu, surtout dans sa version policée destinée à la mère, semblant parfois plus narrative que naturelle.
Un bon roman jeunesse, dès 13 ans.
December 8, 2025
c’est le meilleur Emilie Chazerand. Il y avait l’humour et les personnages completement décalés de La Fourmi rouge et de Falalala mais avec une profondeur et une complexité des differents personnages qui m’a vraiment mis un uppercut. Par contre faites gaffe aux TW pcq moi j’etais pas vraipent au courant que c’était aussi dur 😅
December 27, 2025
Soyons honnêtes, j'ai trouvé ça mal écrit, grossophobe et juste trop. Ca marchait pas du tout et rien n'était crédible. La fin a un tout petit peu relevé le niveau mais franchement j'ai eu du mal à finir alors que ça fait même pas 300 pages. Et on parle des mentions d'HP? en 2025? franchement... J'aurais dû DNF au lieu d'acheter l'audio pour me forcer à finir
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