C’est pas moi, je le jure ! étonne par sa fraîcheur et sa verve, par sa vision du monde de l’enfance, par son imaginaire débridé. À trente-neuf ans, soit l’âge qu’aurait aujourd’hui son petit héros, l’auteur est manifestement resté très près de ses premières années. Marie-Claude Fortin, Voir
On a peine à croire que C’est pas moi, je le jure ! est un premier roman, tant la langue est sûre, agile, l’action bien conduite, les personnages convaincants. Bruno Hébert ne l’a pas écrit à la sortie du cégep. Il a lu, il a vécu. C’est pas moi, je le jure ! n’est pas seulement un remarquable premier roman ; c’est l’un des meilleurs romans de la saison. Gilles Marcotte, L’actualité
Bruno Hébert né en 1958 à Montréal, est un écrivain et un acteur québécois. Il a notamment écrit le roman C'est pas moi, je le jure !, adapté au cinéma par Philippe Falardeau en 2008.
Le pire livre que j’ai jamais lu de ma vie…Mentions de pédophilie, viol, zoophilie et racisme… Le livre débutait bien avec un beau style d’écriture mais à mesure que l’histoire avançait tout devenait complètement chaotique. Clarence qui joue nue avec des barbies dans une maison random??Un homme-tronc dans une poussette qui pisse par un tube?? Des photos montrant une femme se faisant sodomiser par un chien?? Cheyenne qui voulait se faire sodomiser par Léon et son cousin à elle voulant le sodomiser?? Certaines parties était tellement difficiles à suivre qu’elles restent encore totalement incompréhensibles. Je n’ai d’ailleurs toujours pas compris si tout était un rêve à la fin…
Aussi, l’auteur sonne tellement prétentieux… C’est clair qu’il cherche seulement à provoquer en incluant toutes sortes d’événements choquants et insensés qui arrivent les uns après les autres…
J’ai lu ce livre une première fois au secondaire comme lecture obligatoire et c’est en faisant du ménage dans mes livres que j’ai décidé de le relire mais avec mes yeux d’adulte (je ne me souvenais d’absolument rien).
J’ai bien aimé la première partie du livre, elle est super bien écrite avec des analogies qui reflètent bien la pensée d’un enfant de 10 ans ! C’était vraiment amusant de voir que Léon ne comprenait pas du tout le sens figuré des expressions exprimées par son entourage, tel un enfant… jusqu’au bout de la rue de l’Anse où mon intérêt pour l’histoire est tombé en chute libre. Cette deuxième moitié du livre est remplie de moments bizarres un peu WTF qui, au final, ne sont jamais réellement expliqués. Et la fin elle-même, je ne l’ai pas du tout comprise, elle manquait de précisions et ce, même si l’auteur souhaitait avoir un fin ambiguë… dommage !
J’ai aimé l’originalité de l’histoire et du style de l’auteur en général, mais j’ai ressenti certains malaises au fil de ma lecture, concernant la façon dont le narrateur parle des Noirs, des autochtones et des femmes (une image en particulier qui compare une porte d’armoire qui se brise à une femme violée m’a particulièrement choquée). On voit que la société a beaucoup évoluée depuis 20 ans, ce qui fait que le livre a moins bien vieilli à certains égards.
La grande première partie du livre est vraiment bien écrite et se tient bien, on se laisse emporter par l'histoire et la belle écriture. Mais vers les 50-60 dernières pages, on dirait que tout change et le monde du livre devient trop étrange pour être réaliste et on se perd dans l'histoire. L'épilogue par contre boucle bien l'histoire.
Va falloir m'expliquer pourquoi l'auteur a pensé que c'était une bonne idée d'inclure une scène où une fille de quatorze ans montre au protagoniste d'environ dix ans des photos d'une femme se faisant sodomiser par son chien, et lui propose de faire de même pour cinq dollars. Quel gâchis, ce livre. L'histoire débute de manière prenante, avec un style original, imagé et plaisant à lire, puis ça tombe en chute libre à la moitié du livre. Mes sympathies pour celles et ceux qui ont eu à lire ce roman pour un cours de français/littérature.
Drôle de livre, je ne savais pas à quoi m'attendre en le lisant. Je dirais que oui, il y a des trucs vraiment cancellables et étrange qui ressortent, ce qui met très mal à l'aise. Mais c'est un beau livre à analyser en sachant la fin, ce qui devient un peu intéressant?
“Alors Clarence m’a embrassé sur la bouche et nous avons continué notre route en nous tenant par la main, moi sur un nuage, et Clarence sur la terre ferme pour empêcher que je parte au vent.”
Ouin j'ai de la misère à me faire un avis... Autant j'ai aimé le style et la façon dont s'est écrit, autant il y a des affaires vraiment whack dont je me serais passé. Et j'ai pas aimé la fin. Mais ouais ça reste intéressant de par son étrangeté et sa perspective d'enfant sur un monde fucké
Je ne sais pas trop quoi penser après avoir lu ce livre. Il est même difficile de dire si j'ai aimé ou pas. L'écriture était bien travaillée, le ton était très juste pour un enfant. Certains passages m'ont éblouie. La page blanche a maintenant une nouvelle apparence à mes yeux. Si ça n'avait été du passage à l'Anse, j'aurais donné 4 ou 5 étoiles. Mais ils arrivent à l'Anse et rencontrent d'autres personnages et la justesse, la poésie, même la psychologie du personnage, m'ont semblé ébranlés. Puis l'épilogue superbe m'a réconciliée avec le récit.
Je ne sais pas si j'ai aimé, dans l'ensemble, ce roman, mais j'en ai aimé la plus grande part. C'est pour sûr un roman très bien écrit et je n'ai aucune difficulté à voir pourquoi c'est devenu un classique étudié en Lettres. Il est très intéressant, très beau, très troublant par moments. Et si, pour moi, ce passage du roman n'a pas fonctionné, je ne crois pas que ce soit le cas pour tous les lecteurs.
‘’ Je compris clairement que je n’étais plus moi-même, je n’étais plus l’autre non plus, j’étais devenu un inconnu.’’
J’ai toujours bien aimé les livres avec un narrateur enfant, même si je trouve que c’est dure à faire pour trouver le milieu entre avoir une bonne écriture et être réaliste. Ce livre avait non seulement ce défi, mais en plus le narrateur ici était un narrateur non fiable ce qui entraine un défi supplémentaire. Mais étonnamment, l’auteur a bien relever le défi et on sentait à la fois la présence juvénile du narrateur et la maitrise linguistique de l’auteur.
J’ai rapidement embarqué dans le livre, le personnage était un bon mélange d’attachant et méprisant et on lui excusait beaucoup de chose par le fait qu’il avait 10 ans, même si on se doute bien que son comportement n’est pas normal même pour un enfant. Il y avait une bonne touche d’humour dans le récit sans pour autant tomber dans le ridicule et la touche touchante venait bien balancer le tout pour créer une belle variété d’émotion. Si je ne me suis pas toujours attaché à Léon, je ne voulais pas pour autant le quitter et j’ai beaucoup aimé sa relation avec son amie qui venait apporter une nouvelle profondeur au roman. Autant nos deux jeunes héros vont se ressembler, autant elle va apporter à Léon un point de vue différent par l’amitié et va l’aider à si pas être une meilleure personne, apprendre à au moins être une bonne personne pour quelqu’un.
J’ai beaucoup aimé toute la première partie, je dirais même les deux tiers, mais vers la fin, lorsqu’ils vont sur l’îles et rencontre les autres enfants, ça devient super absurde et je n’arrivais plus à y croire ce qui m’a vraiment fait décrocher. Je ne sais pas si je devais croire que c’était vraiment ce qu’il arrivait à Léon où s’il était juste en délire et que je ne pouvais pu lui faire confiance dans sa narration. La dernière option aurait pu être vraiment intéressante, mais je pense qu’elle a été mal aborder, je pense que l’ile et les enfants sauvage était une bonne idée, mais pourquoi les sexualisé? Si c’est un délire de Léon, il a 10 ans ce n’est pas la première chose qu’il aurait dû inventer et c’est super wrong de la part de l’auteur qu’il s’imagine que sa le soit. En plus même dans le récit il n’est pas intéressé par le sexe (heureusement c’est littéralement un bébé) alors je n’ai vraiment pas vu le point et ça m’a vraiment dérangé. Surtout ce mélange de zoophilie et de pédophilie gratuit dans un livre aussi bien entamé je pense que ça a vraiment gâché mon appréciation littéraire.
J’ai beaucoup aimé la toute fin, les quelques dernières pages, qu’on reste sur une fin ouverte sans jamais savoir la vérité et qu’on doive remettre tout le livre et ce qu’on y a compris en question avec les nouvelles informations reçues. Le rythme du livre était plutôt bon, c’était un court livre qui nous donnait envie de ne pas quitter Léon et bien que j’aie eu besoin de quelques pages pour me mettre réellement dans l’histoire je fus rapidement projeté dans le roman. C’était fluide et plaisant à lire, et malgré une histoire plutôt banale et des thèmes déjà vu, la manière de traité sa vie et la vie des autres sortait du lot.
Un livre qui se lit en un après-midi et même s’il n’était pas parfait, m’a plu et divertie le temps de ma lecture. Il m’a un peu rappelé Je ne suis pas fou que j’ai adoré. Mais je pense quand même que certain passage était trop problématique pour que je lui donne une meilleure note malheureusement. Il y a des sujet tabou lorsqu’on fait un livre avec des enfants ou du moins a aborder avec délicatesse, il n’y en avait pas ici, c’était pris à la légère presqu’à la blague.
Comment puis-je décrire ce livre? Je ne sais pas comment le faire, je sais juste que je ne l’aime pas. Je ne recommende pas ce livre. Mais je dois admettre l’écriture et la fin était intéressant mais n’équivaut pas de lire le livre en entier. J’ai lu ce livre à cause de mon cours de français, mais ils donnent tout le temps des livres bizarres. Il y’a des parties qui sont juste trop bizarre, avant l’épilogue et le ch.18, les choses étaient complètement dégueulasses. Ouais, c’est tout. Encore, je déconseille de lire ce livre, si vous voulez quand même, à votre propre risque et péril.
Comme tout les autres personnes sur Goodreads qui ont écrit ce qu’ils pensent de ce livre: je n’ai pas vraiment aimé. À la fin on est pas trop sûre de ce qui est vrai ou ce qui est faux (comme la mention de “le docteur m’a dit que je t’avais inventé). j’ai aussi l’impression que l’auteur voulait choquer le lecteur sans que cela fasse vraiment de sens. Surtout quand Léon rencontre Cheyenne, Damien et l’autre. C’est court mais ça m’a paru trop long.
Pire lecture de mon année. Perte de temps total. L'histoire ne mène nulle part, les personnages sont désastreux, la fin est décevante et il y a tellement de passages inutiles et inappropriés. On dirait un livre qui a été écrit dans le seul but d'enfiler les figures de style et métaphores une par derrière l'autre. Ne lisez jamais ce livre.
One of the best book I’ve ever read, I had to present my favourite book in cegep and I picked this book as it is absolutely incredible. You truly get into the mind of a troubled child and it’s extremely powerful. I’d recommend reading it as I’ve related so much to the book when reading it first at 16. If you can, read it, you’ll feel loads of buried emotions I’m sure!
C’est... spéciale. J’ai quand même aimé, mais en lisant se livre faut s’attendre à quelque chose qui se rapproche du trip d’acide. L’écriture est bonne, les personnages sont intrigants, mais l’histoire est vraiment vraaaaiment étrange. Bonne chance !
4,5* Belle écriture riche en figures de style, personnage principal attachant, dans toute sa naïveté d’enfant, malgré son côté sombre. La fin m’a surprise, mais elle est somme toute logique, j’aurais dû la voir venir.