Les machines du monde tournent grâce à des programmes informatiques qu'on appelle le code. J'ai passé l'âge mais je veux apprendre à coder. En Python, à cause du nom, mais surtout pour comprendre ce qui se passe sous les doigts des codeurs qui pianotent jour et nuit. Car les codeurs sont optimistes, à défaut d'aimer la vie, ils aiment le futur, l'avenir commence ici. - Très bien, alors écris un biopic, l'histoire d'un codeur qui fait fortune, ce sera romanesque, les gens aiment ça. - Non, je veux comprendre comment ça marche. Par où commencer ? Je ne sais pas, je me noie, mais Python m'obsède alors je m'obstine. Je prends des cours, je me faufile parmi des bataillons de geeks. Python devient le nom d'une initiation, de cette soute où je descends pour mieux voir vivre entre eux les garçons
Le titre et le sujet de ce roman m’ont intéressés, je les ai trouvés originaux. Je me suis dit que l’on pouvait noircir quelques centaines de pages avec des anecdotes sur le conflit de générations face à la technologie en général.
Je me suis retrouvé très rapidement devant un roman où l’homosexualité occupait une place centrale !…Dommage car le sujet ne méritait pas une telle bifurcation.
Qu'est-ce que je viens de lire, parce qu'il y en a des choses à dire.
L'autrice tente de comprendre ce qu'est Python. En réalité, est-ce que c'est vraiment le cas ? On se retrouve finalement dans un roman où une femme d'une cinquantaine d'années érotise des jeunes hommes qui codent, en faisant des références à la pornographie, au sexe, etc. À plusieurs reprises, ce livre m'a mise plus que mal à l'aise. Ce qui est dommage c'est qu'on reste dans les clichés des jeunes hommes qui "geek". Cela reste très caricatural pour une enquête qui est encensée s'immerger sur le sujet de Python.
Alors oui, on en apprend plus sur l'informatique, le codage et Python. Mais l'autrice se perd dans des détails sur la vie sentimentale ou personnelle des personnages secondaires, si bien qu'on perd le but de ce roman. Ça fait finalement assez brouillon et trés biographique. Une bonne partie du roman conte son amitié (ou son amour plus tôt ?) avec Simon, puis vient Enzo, une copie de Simon, tous deux homosexuels. Elle entretient les clichés des personnes homosexuels en utilisant des mots discriminants tels que "pédés" à plusieurs reprises.... En 2024, sérieusement ?
On se retrouve finalement avec une femme qui a une obsession sur Python, et qui entretient des clichés et des préjugés. La fin est perturbante et on se dit tout ça pour ça ? Je ne l'ai pas forcément compris. Finalement, Python pour elle était une manière de retrouver sa jeunesse et de revivre une jeunesse. Tout le long du roman, elle est obsédée par son âge et de passer pour une femme has been. Elle veut revivre ses amours de jeunesse et compare Python à ce qui lui plaît chez un homme. Ce n'est pas tant une histoire sur Python, qu'une sorte de thérapie pour l'autrice.
Et finalement, quel était le but du livre ? De parler codage ou amour ?
As rewritten by CHAT-GPT.3, when I received it from a fellow enthusiast, this recent manuscript by Nathalie Azoulai is touted as a captivating computational experiment. It swiftly parses, and I sequentially traversed its contents during my recent journey, processing it in one uninterrupted session. At its core, the narrative embarks on an intriguing quest to decrypt the intricacies of programming paradigms and the programmer’s mindset. However, its execution fails to trigger the desired engagement, encountering crashes and bugs along the way. Azoulai’s documentation chronicles her [character’s] endeavor to master Python, facilitated by a chain of mentors who, regrettably, encounter runtime errors in their attempts to elevate her beyond the rudimentary “hello world” commands—a fundamental subroutine in the lexicon of programming vernacular. The narrative raises questions about the intrinsic motivations driving one’s pursuit of programming prowess, encountering recursive loops of introspection. Rather than delving into the depths of coding intricacies, the manuscript deviates into an extensive discourse on the historical evolution of programming—a divergence that, while intellectually stimulating, detracts from the central narrative focus. Interspersed amidst this cerebral exploration are fragments of introspection, reflections of past affections interwoven delicately into the fabric of Azoulai’s discourse, yet they fail to meet the conditionals of relevance. Yet, as the narrative unfolds, it descends into a labyrinth of self-reflection, where the author grapples with the constraints of artificial intelligence—a poignant reflection on the interplay between creativity and the digital frontier, encountering exception handling challenges along the way. In conclusion, Azoulai’s manuscript presents an intriguing blend of literary and computational exploration, yet falls short of achieving transcendence. While it beckons towards the precipice of profound inquiry, its meandering narrative trajectory ultimately leaves the reader yearning for a more cohesive and resonant exploration of its thematic landscape, perhaps requiring debugging and refactoring for optimal performance.
Alors je triche : je n’ai pas fini ce livre. Je ne suis même pas vraiment allé très loin si l’on considère que, passé les 3/4 premiers chapitres, j’ai commencé à vraiment survoler les pages tellement la lecture en était pénible. Je passe sur le style « contemporain » fait de phrases simples et de style indirect libre. Plat et sans intérêt. Mais qu’il est pathétique de devoir subir les élans réprimés de cette cougar qui ne s’assume pas déguisés en intérêt subit pour le codage informatique! Cela donne un mélange entre mauvais journalisme sur le langage informatique et les états d’âme d’une bourgeoisie nombriliste. Bref, un pensum.
au départ poussé par la curiosité je pensais que le livre raconte le parcours de l'écrivaine dans l'apprentissage du langage de programmation python , mais au fur et à mesure qu'on avance je me perds .
J'avais entendu parler de ce roman dans La grande librairie ou Le code a changé, je ne sais plus, et j'avais compris que c'était une analyse du code par une écrivaine, ce que je trouvais très intéressant, mais j'ai été un peu déçu car le roman n'est pas centré sur ce sujet.
https://itunes.apple.com/WebObjects/M... Belle chronique qui racontera mieux que bon Un très bon livre de Nathalie AZOULAI qui emmène le lecteur dans un monde de data et de littérature avec un peu sexe et d’humour!
Une belle histoire d’amitié intergénérationnelle. Il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances informatiques poussées pour apprécier ce choc littéraire-informatique et on termine cette lecture avec de nouvelles connaissances sur l'histoire du code. Une plume habile, poétique, pleine d’humour et satirique sans pour autant tomber dans les clichés habituels sur les Geeks et GAFAs.