Corso é um talentoso, mas indisciplinado piloto da República dos Cães que, após um encontro inesperado com as forças da Monarquia dos Gatos, naufraga em um planeta desconhecido e nada hospitaleiro. Na tentativa de sobreviver e retomar sua missão, nosso protagonista encontra os habitantes desse novo mundo e descobre algo que nunca julgou possível. Escrito e desenhado por Danilo Beyruth (Graphic MSP Astronauta, Bando de Dois, Love Kills), Corso é uma HQ de aventura e ficção científica para todos os públicos, inspirada nas clássicas histórias de Carl Barks, Don Rosa e Jeff Smith. A edição tem capa dura com verniz localizado, 232 páginas em preto e branco, impressas em papel offset de alta gramatura
Na macroesfera da ação dessa história em quadrinhos, o autor brasileiro antropomorfiza cães e gatos abrindo uma discussão etnográfica de valores, costumes e tradições. Em grandes proporções, a guerra interestelar entre cães e gatos questiona o crime de xenofobia como conflito bélico socialmente aceito. Sequer explica-se a causa dessa batalha justamente porque não há justificativas para o especismo. Esse problema existencialista se aprofunda em Corso, personagem principal, intitulado de vira-lata por colegas da frota aérea canina, suporta o racismo diário da apologia do pedigree de sangue azul. Corso é piloto fora de série que arrisca a vida da corporação por quem o respeita, resultado, graves delitos e penas de insubordinação. Contudo, perde-se num acidente aéreo, fazendo travessia pelo espaço-tempo, cai no passado. Ausente da consciência disso, Corso perde a nave aterrissando-a em um planeta pré-histórico de criaturas elétricas. De acordo as circunstâncias de sua independência solitária, ele conhece a única aldeia primitiva do planeta, uma civilização de gatos que o acolhe. Nesse período matriarcal felino, não havia nenhuma definição moral sobre a existência de cães, ou até mesmo, políticas de leis segregacionistas. Essa volatilidade cultural refletida em si e nos outros transforma as paranoias em aprendizado mútuo ao entendimento do valor universal da amizade nas diferenças. Seu retorno espacial representa o possível despertar diplomático da consciência de seu povo.
Corso, héros éponyme de cette bande dessinée en noir et blanc est un jeune pilote de vaisseau spatial (oserais-je dire X-Wing ?) de la République des chiens qui, au détour d'un combat contre la monarchie des chats, va s'écraser sur une planète adjacente et survivre dans un biome inconnu.
L'histoire peut sembler classique dans son déroulement, mais elle peut tout à fait rivaliser avec ces classiques du genre : son exécution est sans faille, il n'y a pas de temps mort, mais il y a quand même le temps de développer la diégèse de ce nouveau monde et de ses habitants.
Le dessin en noir et blanc joue avec les contrastes, les visages sont expressifs et le dessin dans son ensemble est de très bonne qualité.
Un très bon cru pour les fans de science fiction !
Merci aux éditions Soleil pour l'envoi de l'édition numérique 🙏
C'est l'ère spatiale, et la guerre éternelle entre les chats et les chiens est toujours d'actualité. Corso est un pilote de l'espace hors pair doté d'un tempérament hors pair, qui lui vaut les foudres de son patron et un poste ennuyeux de patrouilleur. Mais lorsqu'un vaisseau de la Monarchie des Chats passe en trombe, Corso décide de désobéir aux ordres (encore une fois...) et se retrouve sur une planète inconnue et sauvage, avec un papillon bizarre comme seul ami. Pas d'eau, presque pas de nourriture, aucun lien avec les siens, et un modeste arc pour seule arme - comment va-t-il survivre ?
Danilo Beyruth, l'un des meilleurs dessinateurs brésiliens contemporains, connu pour ses travaux chez Marvel (Venom, Deadpool, etc.) mais aussi pour ses propres œuvres (Love Kills), revient à son genre favori et écrit et dessine une aventure spatiale avec des chats et des chiens qui parlent. Évidemment, ils parlent des langues différentes et leur première rencontre est explosive :)
Blague à part, ce livre est intéressant pour les enfants comme pour les adultes - les enfants apprécieront l'aventure, les adultes approuveront le commentaire social pas si subtil. Le dessin en noir et blanc est superbe, même si je n'ai pas particulièrement apprécié les expressions radicales et les yeux étranges de Corso :)
Dans l'ensemble, un solide quatre étoiles.
Avertissement : j'ai reçu ce livre de NetGalley pour en faire un compte-rendu équitable. Ce qui n'a pas influencé mon opinion de quelque manière que ce soit.
Corso est un pilote de vaisseau chevronné. Il œuvre pour la République des Chiens dont l’ennemi, la Monarchie des Chats, ne cesse d’attaquer. Lors d’une attaque subie sur son vaisseau, Cosmo se retrouve piégé sur une planète inconnue. Commence pour lui une aventure mêlant survie et étranges découvertes. Pourra-t-il s’échapper de cet endroit apparemment hostile et sans habitants ?
Cosmo est un très beau roman graphique réalisé par Danielo BEYRUTH. Dans une atmosphère spatiale et SF, cette histoire aux personnages animaliers est un excellent moment de lecture tant qu’on apprécie l’univers des space opéras.
Cosmo est un personnage fort, presque charismatique. Sa lutte pour sa survie et son envie de retrouver les siens est très bien décrite par l’auteur. Non dénué d’humour et de suspens, ce récit rend hommage à ce style SF avec simplicité et un scénario qui tient la route. Le graphisme est dynamique, vif et très expressif ce qui rend la trame encore plus prenante. Le choix d’avoir dessiné l’ensemble en noir et blanc donne une dimension supplémentaire à l’immersion.
J’ai passé des beaux instants à parcourir ce roman graphique dédié à un public féru d’espace et de survie sans oublier un message de tolérance, d’ouverture d’esprit et de résilience.
O Danilo Bayruth é, de longe, meu quadrinista brasileiro preferido. Esperava que “corso” você bom, o que eu não esperava era que a obre fosse uma mistura sci-fi de “o último samurai” e “inimigo meu”. Bastante diferente de “bando de dois” e “necronauta”, mas igualmente competente em arte e roteiro. Uma elogio final: geralmente HQs colapsam no terceiro ato, mas o final de “corso” é a melhor parte da obra. Recomendação máxima!
Corso foi o primeiro contato que tive com o trabalho de Danilo Beyruth. Sinceramente o li sem pretensão alguma, mas após metade do livro já queria saber mais do universo apresentado e como Corso procurava um propósito e um significado em sua vida, diante das suas responsabilidades e situações que encarou durante sua jornada. Com aquele final, digo que, alegremente, leria mais histórias do piloto vira-lata!