Nisio Isin (西尾維新 Nishio Ishin), frequently written as NisiOisiN to emphasize that his pen name is a palindrome, is a Japanese novelist and manga writer. He attended and left Ritsumeikan University without graduating. In 2002, he debuted with the novel Kubikiri Cycle, which earned him the 23rd Mephisto Award at twenty years of age.
He currently works with Kodansha on Pandora, the Kodansha Box magazine, and Faust, a literary magazine containing the works of other young authors who similarly take influence from light novels and otaku culture. He was also publishing a twelve volume series over twelve months for the Kodansha Box line; Ryusui Seiryoin was matching this output, and the Kodansha Box website stated that this is the first time in the world two authors have done twelve volume monthly novel series simultaneously from the same publisher.
In February, 2008, his novel Death Note Another Note: The Los Angeles BB Murder Cases was released in English by Viz Media. Del Rey Manga has already released the first volume in his Zaregoto series. His Bakemonogatari, Nisemonogatari and Katanagatari novels have been adapted into anime series. Nekomonogatari (Kuro) has been adapted into an anime TV movie, and Kizumonogatari will be release in theaters this year. Monogatari Series: Second Season, adapted from 6 books in Monogatari Series will air in July 2013. Another of his works, Medaka Box (manga), has been adapted into a two-season anime series.
Petit mot sur Mayoi Snake (un mini arc très court à la fin), c’était très sympa de revoir Nadeko, le perso a bien évolué, et sa relation avec Yotsugi est vraiment mignonne. Très hâte de voir comment Kana Hanazawa interprétera sa nouvelle personnalité. Maintenant passons au plus gros du roman, à savoir Mayoi Snail.
Shinobumonogatari était décevant, sans une scène, j’aurais pu le considérer comme le pire volume de Monogatari. Du coup Yoimonogatari c’était soit le volume qui confirmait qu’il n’y avait plus rien à raconter sur Araragi, soit le volume qui allait prouver l’intérêt de la Monster Season.
Déjà, c’est mieux que Shinobu, beaucoup mieux, à plein de niveaux. Tout d’abord c’est mieux rythmé, il y a beaucoup plus de rebondissements, et ça rend l’enquête mille fois moins chiante que dans le tome précédent. En plus, si l’humour méta marche pas dans 90% des cas, Yotsugi est totalement en roue libre et ça fait plaisir ! L’enquête est plus intéressante, aussi car moins répétitive, et surtout le gros point fort du tome, c’est qu’il sait ce qu’il aborde. On parle de passage à l’âge adulte, et on s’y tient. Ce n’est peut être pas forcément subtil, mais c’est bien fait, tout ce questionnement sur ce que cela fait d’être un adulte relie très bien Araragi, Hachikuji, les nouveaux personnages et les thématiques inhérentes à cette saison. Et même si Hachikuji n’est pas vraiment « développée », il n’empêche que ça ne me gêne pas, elle tient un peu le même rôle que dans Mayoi Jiangshi, et ses apparitions sont très sympa (ça changeait du rôle de figurant qu’avait Shinobu dans le tome précédent).
La globalement c’était les points forts, mais le volume a aussi des problèmes. L’humour meta qui encore une fois ne marche pas, et si l’enquête est bien menée, sa résolution est un peu sortie de nulle part (même si on pouvait le déduire). Les nouveaux persos bien que sympas sont pas forcément assez développés et encore une fois : pourquoi Nisio a-t-il introduit si tôt Higasa si elle est totalement inutile ??!!
En fait le tome souffre un peu des mêmes problèmes que son prédécesseur : Monogatari est en train de devenir un roman policier, et j’ai vraiment l’impression que Nisio écrit « pour le fric », et qu’il fait ce qu’il est censé faire le mieux, à ceci près que la on est vraiment sûr du Zaregoto éco +, moins d’enjeux (Monogatari c’est quand même une œuvre fantastique, qui parle à certains moments de destruction du monde, là c’est ridicule), un protagoniste qui n’est pas pertinent en tant que détective, et dès enquêtes moins intéressantes.
On introduit des nouveaux persos qui ne réapparaîtront jamais (Harimaze, Benikujaku, et apparemment ça continue dans le prochain avec Iesumi), la série ne sait absolument plus où elle va, Araragi n’est plus un bon protagoniste, on a des suites, uniquement pour des suites, et alors que Nisio aurait pu choisir de continuer dans un ton semblable à celui de la Off, il est revenu sur Araragi....
Du coup Yoi souffre des mêmes problèmes que Shinobu, mais est carry par sa meilleure fin (infiniment meilleure) et par sa thématique claire et décidée. On m’a dit qu’Amari était bien meilleur, mais je vais en tout cas pas me presser pour le lire en japonais, même si je lirai la traduction. Dommage... (ça reste un bon volume donc le 3/5 est justifié pour la fin de Mayoi Snail, mais j’hésite franchement à mettre 2...)
Besides starting work I have blasted through this book when I have had the time to read it. Time on the train definitely helps and with each book I find my confidence growing :)