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La Cellule: Organisation Fonctionnelle et Integration des Signaux Extracellulaires
L’objectif de cet e-book est de permettre au lecteur d'acquérir des connaissances substantielles en biologie cellulaire et physiologie. Il s'adresse aux étudiants d'université (du L1 au M2) et aux professeurs du secondaire soucieux de réactualiser leurs connaissances.
Il se décline en trois chapitres et 335 figures.
Le chapitre I traite essentiellement de l’organisation structurelle et fonctionnelle de la cellule (131 pages). L’accent est d’abord mis sur les fonctions de la membrane plasmique qui est à l’interface entre le milieu extracellulaire et intracellulaire. Sa structure moléculaire lui confère des rôles très variés tels que la régulation des flux ioniques, l’intégration des signaux extracellulaires provenant de facteurs solubles et des interactions cellule-matrice extracellulaire et cellule-cellule qui sont à l’origine de la diversité des réponses biologiques. Le second volet est axé sur l’organisation structurelle des compartiments intracellulaires en soulignant leur interdépendance fonctionnelle et la spécificité des activités biochimiques .
Le chapitre II est axé sur la communication cellulaire et la signalisation intracellulaire (124 pages). Les modalités de la communication et la nature des signaux sont d’abord exposées. Puis, le chapitre est consacré aux récepteurs membranaires et nucléaires et les voies de signalisation. Le lecteur y verra comment de nouveaux concepts se sont forgés tels que : le « dialogue », la « neurosécrétion », le «rapport des signaux », la « pléiotropie », « l’atténuation du signal »…
Les signaux extracellulaires qui émanent de la matrice extracellulaire sont discutés.
Le chapitre III est axé sur l’étiologie de trois pathologies : cancer, diabètes et obésité (152 pages). Le contenu de ce chapitre permet au lecteur d’acquérir de solides connaissances sur leur étiologie.
Le cancer est une pathologie très complexe et bien que les causes soient multiples elles ont un dénominateur commun : imprimer à une cellule une prolifération incontrôlée. C’est une rupture de l’homéostasie tissulaire. Bien qu’il y ait une composante génétique la carcinogenèse est essentiellement due à des lésions de l’ADN (physiques, chimiques, biologiques) non réparées. Elles sont à l’origine d’une instabilité génomique qui est une cause de mutations et celles-ci sont l’’élément déclenchant du processus de tumorigénèse. Le processus métastasique et les traitements des cancers sont longuement détaillés.
Le diabète de type 2 est une maladie multifactorielle. Il y a une composante génétique, une insulinorésistance (les réponses biologiques à l’insuline sont diminuées) et un défaut de sécrétion d’insuline. Le développement de l’inulinorésistance est dû, dans de nombreux cas, à l’accumulation ectopique de métabolites lipidiques, dans le foie, les muscles et le tissu adipeux. Dans la cellule β cette accumulation de lipides a pour effet de diminuer la sécrétion d’insuline.
Le diabète de type 1 est un exemple de maladie auto-immunitaire.
Il se décline en trois chapitres et 335 figures.
Le chapitre I traite essentiellement de l’organisation structurelle et fonctionnelle de la cellule (131 pages). L’accent est d’abord mis sur les fonctions de la membrane plasmique qui est à l’interface entre le milieu extracellulaire et intracellulaire. Sa structure moléculaire lui confère des rôles très variés tels que la régulation des flux ioniques, l’intégration des signaux extracellulaires provenant de facteurs solubles et des interactions cellule-matrice extracellulaire et cellule-cellule qui sont à l’origine de la diversité des réponses biologiques. Le second volet est axé sur l’organisation structurelle des compartiments intracellulaires en soulignant leur interdépendance fonctionnelle et la spécificité des activités biochimiques .
Le chapitre II est axé sur la communication cellulaire et la signalisation intracellulaire (124 pages). Les modalités de la communication et la nature des signaux sont d’abord exposées. Puis, le chapitre est consacré aux récepteurs membranaires et nucléaires et les voies de signalisation. Le lecteur y verra comment de nouveaux concepts se sont forgés tels que : le « dialogue », la « neurosécrétion », le «rapport des signaux », la « pléiotropie », « l’atténuation du signal »…
Les signaux extracellulaires qui émanent de la matrice extracellulaire sont discutés.
Le chapitre III est axé sur l’étiologie de trois pathologies : cancer, diabètes et obésité (152 pages). Le contenu de ce chapitre permet au lecteur d’acquérir de solides connaissances sur leur étiologie.
Le cancer est une pathologie très complexe et bien que les causes soient multiples elles ont un dénominateur commun : imprimer à une cellule une prolifération incontrôlée. C’est une rupture de l’homéostasie tissulaire. Bien qu’il y ait une composante génétique la carcinogenèse est essentiellement due à des lésions de l’ADN (physiques, chimiques, biologiques) non réparées. Elles sont à l’origine d’une instabilité génomique qui est une cause de mutations et celles-ci sont l’’élément déclenchant du processus de tumorigénèse. Le processus métastasique et les traitements des cancers sont longuement détaillés.
Le diabète de type 2 est une maladie multifactorielle. Il y a une composante génétique, une insulinorésistance (les réponses biologiques à l’insuline sont diminuées) et un défaut de sécrétion d’insuline. Le développement de l’inulinorésistance est dû, dans de nombreux cas, à l’accumulation ectopique de métabolites lipidiques, dans le foie, les muscles et le tissu adipeux. Dans la cellule β cette accumulation de lipides a pour effet de diminuer la sécrétion d’insuline.
Le diabète de type 1 est un exemple de maladie auto-immunitaire.
633 pages, Kindle Edition
Published November 23, 2017
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