Dans Bérénice, Bérénice ou la fois où j'ai failli mourir sur scène, Catherine Trudeau explore un univers qu'elle connaît et affectionne tout particulièrement : le théâtre. Dans cette nouvelle histoire, la jeune Bérénice découvrira ce monde fascinant, comme l'a fait Catherine Trudeau à son âge. Sa muse, cette fois, sera Clémence Desrochers, comme Réjean Ducharme l'a été pour le tome précédent. Un roman que son complice Cyril Doisneau a délicieusement mis en images.
quand on lit l’histoire de Bérénice, il faut être prêt à « entrer dans sa tête » et à suivre la jeune fille dans toutes ses pensées et dans tout ce qu’elle vit. personnellement, l’histoire m’a étourdie et c’est moins mon genre de lecture. j’ai toutefois apprécié l’authenticité du personnage et les illustrations accompagnant le tout.
J’ai moins embarqué cette fois dans les aventures de Bérénice et je n’arrive pas trop à m’expliquer pourquoi..
Son langage que j’avais trouvé coloré m’a paru tellement loin des ados et les illustrations (est-ce la faute du vert du deuxième tome?) m’ont beaucoup moins plu.
L’histoire est intéressante, mais loin de la réalité des jeunes je trouve. Je suis contente d’avoir découvert davantage Clémence Desrochers qui est une grande dame du Québec, mais j’ai surtout apprécié lire la note explicative de la fin.
Pas un mauvais roman graphique, mais pas mon préféré non plus 🤷♀️
C'était donc Ben ennuyeux. J'avais aucun intérêt une chance que ce n'était pas long comme livre. J'ai bien aimé les illustrations mais Bérénice tappe donc Ben sur les nerfs. Je n'étais pas capable d'apprécier les bon coup du livre à cause de sa personnalité et son vocabulaire ma foi .... Dérangeant. Bref, peut être que ce livre pourrait plaire a certaine personne mais pour moi ça ne l'a pas fait pentoute.
J’ai trouvé celui-ci meilleur que le premier… mais god que c’est intense. Je ne sais toujours pas à quel public cette série s’adresse, mais de mon côté, j’ai besoin de deux advils. Heureusement, c’est comique!
J’ai eu bien de la difficulté à m’imprégner de l’histoire. C’est que Bérénice, l’adolescente qui tient le rôle de personnage principal, a une façon de s’exprimer pour le moins particulière. Tournures de phrases originales et expressions imagées composent en grande partie le texte. On se perd dans les détails plutôt que de centrer sur l’essentiel: l’histoire.
N’étant pas non plus une adepte du théâtre, le sujet me collait peu à la peau. J’ai trouvé que le personnage principal ne ressemblait pas aux personnages adolescents qu’on nous propose habituellement dans la littérature ciblée pour ce groupe d’âge. Peut-être ne suis-je pas prête pour ces jeunes qui sortent du cadre? Pourtant, j’en ai lu d’autres des romans avec des ados inspirants: Victoire Divine d’Edith Kabuya ou Fab d’Emilie Ouellette m’avaient énormément plu…
J'aime tellement l'écriture de Catherine Trudeau ! Plusieurs mots riches, agréable à lire et à apprendre. Et Bérénice a telelment une belle personnalité ! Très agréable de la voir s'inspirer de Clémence DesRochers pour apprivoiser le théâtre.
Je n’ai pas lu le premier tome, mais j’avoue avoir bien aimé celui-ci. J’aime l’humour utilisé en tout temps et le fait que nous sommes toujours dans la tête du personnage. Il n’y a pas de faux semblants et tout a l’air "vrai". Je lui donne une 3.5 ⭐️
Délicieuse parlure, références complices, héroïne sympathique. Un livre sans prétention apparente qui se consomme comme une paire de biscuits aux « tchépites » avec un grand verre de lait.
Bérénice est imagée autant par sa prose et sa manière poétique de parler, c’est une jeune fille remplie de culture qui trouve sa voix théâtrale dans la première femme humoriste. Amusant à lire.
Catherine Trudeau met en scène une jeune fille attachante mizairnouère 😀par laquelle on peut faire découvrir l’unique Clémence Desrochers aux jeunes Québécoises et jeunes Québécois. 👏🏻👏🏻👏🏻
J’ai aimé suivre Bérénice une seconde fois dans ses péripéties du quotidien. J’ai trouvé que la trame narrative de ce tome rejoignait davantage les jeunes adolescents en quête de surmonter la bête noire qu’est le stress.
J’adore le registre de langue avec les expressions comme mizairenouère ! Toutefois, j’ai préféré, quand Bérénice faisait la grève pour son nom. C’était à mes yeux plus divertissant.