J’ai toujours condamné ceux et celles qui se laissaient aller à la facilité de cette maxime : les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent. Ou sa variante : les peuples ont des dirigeants à leur image. Ça m’a toujours semblé être d’un mépris facile pour les peuples et d’une complaisance impardonnable pour certains dirigeants égoïstes et cruels.

