New York, early twenty-first century. Once, they were famous and their bodies were powerful. They were Mister Fantastic, Batman, Mystique, Superman... Now they know the pains of ageing and regret. And as an obscure conspiracy is threatening their lives, making them even more vulnerable, they live out one last, desperate love story.
At once realistic and visionary, here is a novel that revives a pop imagination with a narrative of singular power. Beautifully written, playful and tragic, this is a story about the broken heart of not only a group of former superheroes, but of an entire civilization, an entire world.
Fausse bonne idée. On sent que l'auteur a voulut marquer un coup : le monde des super-héros n'est maitrisé que de façon très superficiel (et pourtant je suis loin d'être un spécialiste) et le livre n'est que prétexte à une accumulation de scènes érotico-perverses : Batamn en adepte du Fist-Fucking, Mister Fantastic (l'Homme-élastique) transformant son appendice à loisirs...sous couvert d'une pseudo réflexion sur...sur quoi en fait ???
Cela aurait pu être drôle, mais il choisit un angle sérieux et poseur. J'ai finit par lire le livre en diagonale. Même la pseudo enquête sur les meurtres des anciens super-héros est bâclés et non-aboutis.
Au pire, il y aurait pu y avoir une réflexion sur un déclin des super-héros, sur le vieillissement, sur l'après age d'or, mais là ça ne tinet pas la route et cela a déjà était fait, et en mieux, dans des comics comme "Dark knight returns" ou "kingdom come".
I picked up Erotic Lives of the Superheroes because the central premise – a look at aging masculinity, mid-life crises and the male body through the lens of past-their-prime superheroes – intrigued me. Plus there was the promise of a bit of intelligent sauciness. However, the novel only infuriated me with its trite iconoclasm, reliance on deeply offensive stereotypes and its outrageous plot holes.
The plot concerns a serial killer who murders prominent former superheroes: first Robin, then Batman, and then at the start of the novel the killer starts gunning for Mr Fantastic from the Fantastic Four and X-Men villain Mystique. The main problem is that it’s hard to see how the killer is finding it so easy to gain access to and kill these people. They are literally superheroes and must have had innumerable attempts on their lives. Also, the moment the killings start, the heroes seem resigned to just…sit back and let the police handle things. Now, critiquing the novel for not being in perfect continuity with the comics it draws influence from would be a weak argument, but even within the continuity of the novel, surely the term superhero means something? It’s frankly baffling that Batman basically does nothing when Robin is murdered. He’s Batman! Why doesn’t he investigate?! That’s kind of what he’s all about, surely?! Similarly, when Batman’s assassin arrives, announcing their intention to kill him, Batman just seems to give up and accept that he’s about to be murdered. Again, individual takes on the character aside, isn’t he’s supposed to be a superhero of some sort?
Speaking of Batman, the author renders him as an awful amalgam of horribly ignorant, negative gay stereotypes: he’s a conceited narcissist and an unrepentant pederast. It’s deeply offensive. Similarly horrible is the section of the book dealing with a super-powered sex worker that is just dripping with loathing-in-the-form-of-pity. When said sex worker is murdered, kicking off the actual plot, I nearly threw my copy across the room, exasperated by the tired, misogynistic genre tropes rearing their heads yet again.
It’s an idiot plot, driven by inaction amongst the characters. One character literally has the ability to precognitively tell when super-powered people are about to die – that’s his one power – and you’d think he’d use that power productively at some point in a novel that’s all about super-people being murdered, wouldn’t you? No-one acts realistically or consistently. Why is Namor, referenced within the novel as literal Atlantean royalty, also working as a cheesy talk show host? Who can say?
When I picked up Erotic Lives of the Superheroes I genuinely never expected to find something so sex-negative, so grim and so utterly and offensively stupid in its approach. There are positive and genuinely clever moments in there but these are ultimately overshadowed by the outrageously dumb plot and deeply offensive portrayals. Don’t bother.
Beaucoup d'avis mitigés probablement dus au titre accrocheur qui ne reflète pas vraiment le ton du livre. Je suis vraiment contente de m'être accrochée et d'avoir poursuivi la lecture après le très long et très lent premier chapitre, au rythme (mortel) de la solitude et du désespoir de Mister Fantastic, l'homme de caoutchouc, meublant sa vie quotidienne, désormais dénuée de sens, d'une indifférence forcée, à peine menacée par l'obsession pour une femme. La plume de Mancassola est très belle, saisissante dans sa capture de la fin d'une ère symbolisée par les super-héros et leur lutte pour une cause ou une autre, une ère en noir et blanc, une ère avec un espoir. Que ce soit donc l'incompréhension du nouveau monde de Mister Fantastic, l'égocentrisme narcissique de Batman, le sacrifice d'une héroïne inconnue d'une part d'elle-même, la solitude de Mystique, on découvre un monde insensible, sans compassion et voyeur, qui se rince un œil indifférent des détails sordides de la vie privée de figures publiques et de la fin de symboles universels qu'elle soit triste, dans l'ignorance totale du reste du monde, grotesque, déchirante ou apaisante... Les deux frères de Villa restent aussi mystérieux qu'étranges et les laisser en suspend sans même sous-entendre leur sort va, ma foi, très bien avec tous les non-dits sur le chemin des super-héros (hormis Robin vu à travers les yeux de Batman) jusqu'à leur fin. Tant à trouver dans ce livre d'une mélancolie poétique. Et en parlant de fin, elle est parfaite. Alors, fin d'une ère, fin du monde?
Roman métaphorique sur la fin d'une époque, d'une Amérique qui se projetait dans ses super-héros urbains. Tout a une fin, même les rêves de puissance et de justice héroïque. Fin à la fois glauque, triste, décalée, assourdissante, mélancolique et nostalgique où le seul qui survit est celui qui prévoit une relève.
Je viens de terminer « La vie sexuelle des super-héros » de Marco Mancassola. Avec un titre pareil, avouez que toutes sortes d’images nous viennent en tête. Ici, on a affaire à une comédie noire et audacieuse aux échos de Bret Easton Ellis et de Tom Wolfe. Oubliez les habituels films-blockbusters où leurs super-héros trônent en tête du box-office et nous servent la même rengaine. L’auteur a ici une histoire intéressante à raconter : « Que deviennent les super-héros lorsqu’ils vieillissent? » Alors voilà une prémisse originale et bien campée dans notre temps. On suit dans leur intimité des super-héros bien américains devenus des reliques du passé se frayant un chemin dans une société en déclin et orchestrée d’une enquête policière où un serial killer s’en prend à eux. Je dois dire que j'ai vraiment apprécié cette aventure inhabituelle et unique (à ma connaissance) sur des super-héros qui ont eux-mêmes tourné le dos à leur mission. Eh oui, Batman, Superman, Mister Fantastic et Mystique peuvent avoir des défauts; surtout cet insignifiant de Namor – que je déteste toujours autant que tu temps où j’étais enfant. Bref, c’est une bonne gifle à quiconque a déjà aimé une bande dessinée mettant en vedette l'un de ces personnages.
Par contre, une chose qui m’a agacé est la partie sur Batman/Bruce Wayne. Le fait qu’il soit décrit comme un narcissique superficiel qui se soucie davantage de son apparence et des relations sexuelles avec des adolescents que de lutter contre le crime. Je veux dire, si vous n’avez lu qu’une bande dessinée de Batman, vous sauriez que sa seule obsession est d’arrêter le crime à cause du meurtre de ses parents.
Ce que je pense avoir le plus apprécié avec ce roman est la façon dont Mancassola utilise le thème de la passion amoureuse doublée d’une obsession mélancolique pour montrer les dimensions entièrement nouvelles à ces vieux héros, ce qui les rend plus humains. La partie avec Mystique l’illustre parfaitement. L'utilisation d'un langage littéraire distinctif en relation avec les personnages de bandes dessinées amène le roman et ses idées à un tout autre niveau.
Bien que les pouvoirs des héros donnent lieu à quelques anecdotes un peu cocasses, la mise en scène de ces personnages est plutôt accessoire. Les chapitres consacrés à Red Richards et Batman se font une réflexion sur la masculinité, la célébrité et le vieillissement. On aurait pu remplacer les héros par des acteurs connus sans impact important sur l'histoire--manoeuvre d'ailleurs effectuée avec Mystique devenue actrice qui se distancie de son passé d'héroïne. Le chapitre consacré à de Villa s'inscrit bien dans cette idée et permet à l'auteur d'explorer les thèmes de la célébrité (et du vieillissement, voire de la désillusion?) du point de vue du fan, bien qu'il détonne avec le reste de l'oeuvre. Au final, l'enquête policière qui devrait relier les différentes parties du roman et la réflexion sur les super-héros reste toujours un peu secondaire, de façon délibérée, sans doute, mais qui laisse quand même le lecteur sur sa faim.
À souligner: la mort de Red Richards est un superbe passage du roman, même s'il ne suffit pas à racheter l'oeuvre au complet.
Questo libro è coinvolgente, e lo si capisce sin dal titolo scelto dall’autore “la vita erotica dei superuomini”, non quella dei “supereroi”. Già con la scelta titolo l’autore chiarisce il suo intento, il volere descrivere i supereroi che noi tutti conosciamo da un punto di vista più realistico, quello di loro come uomini con poteri speciali e debolezze. La descrizione dei pensieri e delle azioni irrazionali dei superuomini che mancassola costruisce non solo mi ha lasciato stupita, mi ha fatto leggere questo libro tutto d’un fiato!
DNF à la page 30. Je m’attendais à mieux pour cette histoire mais les avis n’étaient pas favorables pour ce livre ... déçue mais le roman ne m’a pas coûté cher au moins ! Aussi, ces fameux enquêtes de meurtre de super-héros non, c’est vrm ridicule comme ..
Fascinating. And this coming from someone who thinks superhero movies and comic books should have been left behind in adolescence, along with the cargo shorts and baseball caps.
Un titre accrocheur et une 4° de couv' qui donne bien envie, surtout quand on est fans de polars comme moi. Sauf que... (car il y a toujours un "sauf que") Si vous avez envie de lire ce livre, ne faites pas comme moi. Prenez le comme il vient, comme une petite histoire (pas si petite que ça) sympathique sur certains de vos super-héros préférés, ou plutôt sur leur vie maintenant qu'ils sont devenus grabataires. Laissez-vous porter, l'écriture n'est pas mauvaise, la psychologie relativement bien suivie, et les éléments s'emboîtent bien, jeux de mots scabreux mis de côté. Oubliez juste la partie enquête policière. Il n'en est rien, mais rien du tout.
Sauf que. J'ai été attirée par le côté enquête loué par le résumé. Une lecture qui, je l'admets, a été longue et fastidieuse, notamment par rapport à toute la partie Red Richards qui a duré nettement trop longtemps, entre atermoiements adolescents (un comble pour un sexagénaire endurci) et bêtes histoires de passions. Le petit plus apporté par l'affaire des lettres anonymes, en filigrane aussi épais qu'une feuille de papier à cigarettes, m'a laissée pour ainsi dire perpendiculaire. Toute cette partie m'a, et à plusieurs reprises, donné envie d'abandonner l'ouvrage. Mine de rien, j'ai bien fait de ne pas céder, car la deuxième partie du roman m'a offert le plus beau fou rire littéraire du mois : la mort de Batman. Sauf que je me suis rendue compte après coup que l'auteur se prenait réellement au sérieux en décrivant une mort aussi affligeante que ridicule avec foule de sentiments obséquieux. Autant dire que ça a attisé mon fou rire.
En ce qui concerne le fil d'Ariane du bouquin, laissez tomber : vous n'aurez le fin mot de l'histoire qu'aux 100 dernières pages, une bien maigre consolation pour tout le temps que vous aurez perdu avec les quelques 300 pages de larmoiements poussifs de ce pauvre Mr Fantastic. Un dénouement maigre, des personnages rendus tellement sympathiques qu'ils en perdent de leur superbe (sauf Batman, mais tout le monde sait que Batman est un être exécrable car stéréotypé et riche, comme le montre si bien la Vie Sexuelle des Super-Héros), jusqu'à cette pauvre Mystique obligée de se toucher seule dans son lit pour satisfaire le manque cruel d'inspiration de l'auteur sur la fin. Still a better love story than Twilight, diront certains.
J'ai peut-être été biaisée par mon besoin maladif d'histoires policières. Mais là, j'ai eu l'impression surtout que ce livre était écrit, à la manière de certaines fanfictions, dans le but de faire sortir certains fantasmes cachés de l'auteur quant à ses héros de jeunesse. Et les personnages inventés dans tout ça ? Elaine, Mara, Dennis et Bruce. Passables. Rien à signaler en ce qui les concerne, même l'assassin/commanditaire est poussif, à peu près autant que ce pauvre Superman qui attend que le temps passe en tremblant sur sa canne.
Bref. Je comprends que certains aient apprécié de suivre les péripéties amoureuses voire libidineuses de certains. En ce qui me concerne, ce livre ne restera pas longtemps dans ma mémoire, sinon pour ce qui est de la mort tragique -et tellement drôle- du Chevalier Noir !
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Ce roman est une belle arnaque ! ! ! En effet, la quatrième de couverture annonçait un roman "jubilatoire"... je me demande encore quels pouvaient bien être les passages que l'on pouvait qualifier de "jubilatoires" dans ces 500 pages ... Premier point : le cloisonnement des intrigues. Chaque personnage est traité séparément ce qui rend l'ensemble nettement moins intéressant car nous savons dès la fin de la première histoire de quelle manière les autres parties vont se terminer. Deuxième point: la redondance des propos. La première histoire concernant Red Richards aurait pu tenir en 50 pages au lieu des 200 pages indigestes. Effectivement, pendant ces 200 pages nous assistons aux tergiversations peu intéressants d'un ex super héros qui passe son temps à se demander s'il a encore du sex appeal ... Son histoire devient intéressante à la fin mais hélas, l'auteur, probablement en manque d'inspiration choisit une issue un peu trop facile. Troisième point: l'enquête policière est quasi inexistante et ennuyeuse à mourir. Cela tient aussi au fait que les personnages soient traités chacun dans une partie qui lui est propre. Bref, si vous vous attendez à un roman drôle, passez votre chemin. Le ton est beaucoup trop sérieux, il n'y a aucune auto dérision contrairement à ce à quoi je m'attendais. Marco Mancassola a planté un joli navet dans son maigre potager littéraire mais il a quand même conscience d'avoir rédigé un ouvrage médiocre comme le souligne cette belle mise en abîme que l'on rencontre dans la partie concernant Mystique : "Elle avait déjà son idée quant au contenu de l'ouvrage. L'habituel mélange de ragots, de suppositions morbides et d'écriture bas de gamme." Mais peut-être n'ai-je tout simplement pas réussi à percevoir toute la subtilité de l'humour de l'auteur ...
Vous vous attendez à un livre à la frontière de l’humour noir et du policier un peu scabreux et super-héroïque ? Passez votre chemin cher lecteur. Car La vie sexuelle des super-héros est un livre où l’on ne rit que peu et où le côté policier est expédié dans les ultimes pages. Quand à voir Batman ré-enfiler son costume, ce n’est pas pour tout de suite… Que reste-t-il alors ? Marco Mancassola nous propose ici plus une descente amoureuse aux enfers de chacun des protagonistes, un spleen tragique qui frappe lors de chacune des parties du roman. Déroutant et quelque peu rébarbatif dans sa première partie, le livre gagne en intensité et en intérêt au fur et à mesure de sa progression et de la compréhension de ce que cherche à montrer l’auteur. C’est ici la fin d’une ère (américaine) qui est décrite, mais aussi la chute progressive de chaque héros et leur relation unique(et humaine) à l’amour. Avec un style globalement riche et quelques phrases marquantes, au cœur d’un New-York plus vrai que nature, la vie sexuelle des super-héros constitue un roman qui, s’il n’est en aucun cas un chef-d’œuvre, reste plus qu’agréable...
L'autore, di cui non avevo ancora letto nulla, ha una scrittura eccellente, densa di metafore e similitudini virtuose. I capitoli del libro potrebbero anche essere dei racconti autoconclusivi: ho particolarmente apprezzato le parti di Reed Richards e Bruce De Villa. Certo, dopo Watchmen l'idea del supereroe in decadenza può sembrare non troppo originale, ma Mancassola orienta la sua sensibilità in ambiti della "vita segreta" degli eroi che possono ancora essere esplorati in modo nuovo. In quanto purista della superheroes culture, va detto che il libro è ampiamente comprensibile anche dai non fumettofili: l'autore usa il supereroe e i suoi poteri come un archetipo, dal quale fare scaturire felici riflessioni su stati d'animo e condizioni molto umane e terrene.
Mister Fantastic, Batman e Mystique immaginati vecchi prima di morire assassinati; e poi Superman, luminoso e decrepito. Mancassola si perde in cumuli di parole e paragrafi che adorano la ripetizione di uno stesso termine a inizio frase. Tutti i personaggi sono deprimenti e non condividono nulla dell’idea da cui nasce il concetto di supereroe. Sono persone infelici che a malapena suscitano pietà; impossibile identificarle con i supereroi a cui rubano il nome. Troppi i punti interrogativi senza risposta: Perché non sono più supereroi? Perché la scelta specifica di questi quattro? Qual è il movente degli omicidi? Perché un titolo così ostentatamente di sfida quando il contenuto è un blando soft-porn? Perché il libro finisce sui personaggi marginali e non sui supereroi?
Je n'arrive pas du tout à m'attacher aux personnages et aux problèmes auxquelles ils font face dans ces fanfictions. L'écriture ne m'a pas permis de m'accrocher aux branches, et même si je n'ai pas exactement passé de mauvais moments en lisant ce livre, je n'en ai pas passé de bons. Après avoir abandonné la partie sur Mr Fantastic, je suis passée directement à Batman, dans l'espoir d'avoir moins de mal à m'intéresser à un personnage que je connais infiniment mieux et auquel il me suffit de peu pour m'intéresser, pourtant ça n'a pas pas fonctionné beaucoup mieux pour moi. Je le reprendrai peut-être plus tard, mais il ne sera clairement pas une de mes priorités.
Circonspect. Les deux premiers chapitres sont clairement ennuyeux et s'enlisent dans une intrigue sentimentalo-érotique assez convenue car vue et revue ailleurs. Choisir le monde des super-héros n'est pas forcément une bonne idée quand on ne maîtrise pas le background original des personnages. Du coup, on a du mal à croire aux déboires sentimentaux de Reed Richards ou les délires sexuels de Bruce Wayne. Ça sonne creux. Les chapitres suivants heureusement parviennent à nous faire aller au bout de ces 600 pages avec des personnages plus intéressants et peut-être un rythme mieux maîtrisé. En gros, ça vaut un 2.5/5.
Idée intéressante et bien menée... devrait plutôt s'appeler 'la retraite des super-héros' :) 'Il avait compris qu'il désirerait éternellement cette femme, non parce qu'elle était bonne ou mauvaise,non parce qu'elle savait le faire lanterner ni parce qu'elle était belle et son dos étoilé. Il la désirerait parce quelque chose vibrait en elle, quelque chose que Red reconnaissait, comme s'ils étaient tous deux de vieux émetteurs radio qui se retrouvaient après des années et échangeaient un message crypté.'
Roman étrange, une espèce de comic littéraire. On y retrouve quelques vieux super-héros classiques plongés dans leur vie quotidienne, ou plutôt leur vie amoureuse. Plutôt irrévérencieux, c'est un mélange de fantasme et de critique sociale. Certains passages n'ont pas grand chose à envier à The Boys de Garth Ennis —la mort de Batman est un bel exemple. Ca se laisse lire avec plaisir, même si l'intrigue s'épuise un peu et que la fin laisse un goût de pas vraiment fini.
Un peu déçue. J'aimais beaucoup le titre et la couverture. La première partie est trop longue et les déboires sentimentaux de Mr Fantastic deviennent ennuyeux. J'ai trouvé le livre un peu plus intéressant à partir de la troisième partie et j'ai bien aimé la mise en abyme avec le titre. Par contre le livre se termine un peu en eau de boudin...
Excellent livre qui n'est absolument pas destiné aux fans de super héros mais une vraie réflexion sur le crépuscule de la vie quand on a été dans la lumière et qu'on est maintenant fini. C'est vrai que les scènes de perversion sont un peu crues mais participent parfaitement bien a l'ambiance générale du livre
Un bouquin très décevant. Le titre, plutôt accrocheur, est assez trompeur. Je m'attendais à une œuvre comique, avec un soupçon de gravité. Je me suis embêtée dès les premières pages. Il n'y a aucun rythme, aucune dynamique dans ce roman. En gros, je le déconseille.