L'écrivain éprouve, de temps à autre, un violent besoin d'amour. Dans le meilleur cas, l'éditeur compatissant lui affirme que ses livres se vendent. Pas autant qu'avant, bien sûr - c'est la crise, tu comprends, et il y a vraiment beaucoup de titres - mais quand même. Hélas, trois fois hélas ![...:]
Published on September 20, 2010 11:10